3.

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- "oooh mais c'est super beau ici Je cours un peu partout sur le toit sous le regard étonné de Chifuyu.

Se dernier s'assois sur le bord du toit ses pieds balan au dessus du vide

- "fait gaffe de ne pas tomber !" Il se tourne vers moi sortant de sa poche une cigarette

- "t'en fais pas pour moi. Je fais tout le temps ça quand je dois réfléchir ou alors me vider la tête m'évader un cours instant..." Il marmonne les deniers mots je ne comprends pas ce qu'il veut dire mais je le voit sortir une cigarette de sa poche.

- "tu fumes ?"

- "oui..."

- "ce n'est pas bon pour la santé"

- "je sais" il regarde l'horizon le regard vide

- "tu veux réfléchir à quoi ?"

- "je ne sais pas vraiment...Il me tend le paquet. Tu en veux une peut-être ?"

Je regarde la paquet et en saisi une du bout des doigts.

- "je vais pas te laisser seul ici entrain de fumer" il me donne le briquet et j'allume ma cigarette

- "comment tu vas depuis que tu es sorti de prison ?" Je me mets à ce ses côtés.

- "je m'en sort, je suis libre que depuis hier donc bon...ça fait peu pour se faire un véritable avis."

- "tu as raison, ma question était stupide, pardon"

- "non elle ne l'était pas, tout le monde poserait cette question"

- "Kazutora ?" Je me tourne vers lui

- "oui ?"

- "tu ne dois pas t'en vouloir pour ce jour-là"

- "comment ?"

- "Baji, c'était un suicide. J'ai compris maintenant pourquoi il avait fait ça et surtout je sais que tu n'y ais pour rien" son regard se perd encore dans le vide et ses yeux deviennent humide.

- "comment tu peux dire ça ? Si je ne l'avais pas poignardé il ne se serait pas donnait la mort"

- "peut-être oui mais à ce moment là tu n'étais pas toi même. Tu étais faible psychologiquement et Kisaki en a profité."

- "faible psychologiquement... tu penses que je le suis encore ?"

- "de ce que j'ai vue de toi pour l'instant, non. Mais tu peux prendre des rendez-vous chez une psy. J'ai des contacts si tu veux ?"

- "est-ce qu'il me jugera sur ce que j'ai fais ? J'ai tués des gens"

- "leur travail est t'aider pas de juger les actes commis" il souffle faisait sortir de la fumé de sa bouche. Un vent frais passe dans mes cheveux et me fait frissonner.

- "dans ce cas là je me dis que ça peut être une bonne idée."

- "ne te presse surtout pas, dès que tu le sens tu appelles, d'accord ?"

- "ne t'en fais pas pour moi. Je sais ce que je fais"

- "justement je m'inquiète. Tu es mon ami et je veux que tu sois heureux après tout ce que tu as vécu." Mon expression reste coincé sur le mot ami qu'il à prononcer. Il a dit avec une voix douce et calme comme-ci qu'il le pensait réellement...

Depuis ton départOù les histoires vivent. Découvrez maintenant