02.10 :: 𝙅usqu'à ce que la mort les sépare

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nda - mon wattpad bug depuis ce matin (peut-être plus longtemps vu que je ne l'ai pas ouvert depuis dimanche dernier oups) mais j'ai réussi à publier, donc tout va bien.

Comment allez-vous ? Je suis ravie de vous retrouver pour ce dernier chapitre... d'autant plus que ce sera le dernier avant un petit moment :( J'en avais parlé au début, je ne publie les parties qu'une fois qu'elles sont terminées en termes d'écriture ; et la prochaine est bien loin d'être finie pour le moment malheureusement. Les cours me prennent beaucoup de temps, d'autant plus que je valide mon premier diplôme cette année et que je dois penser à mon dossier pour candidater pour la suite de mes études (💀), ce qui a considérablement réduit le temps que j'ai pour écrire cette fanfiction.

Je ne la laisse bien sûr pas tomber, et j'ai bon espoir de revenir au plus tard début 2022 avec une partie flambant neuve sur un libéro et son joueur favori 👀✨ D'ici là, je vous souhaite une excellente lecture ! ❤

CHAPITRE DIX - JUSQU'À CE QUE LA MORT LES SÉPARE
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Dans une toute autre situation, Hajime aurait pu rire au nez et à la barbe des thérapeutes de Tooru. Néanmoins, considérant la situation dans laquelle il se trouvait déjà vis-à-vis d'eux, le jeune attaquant jugeait préférable de se tenir tranquille ― il n'était pas encore autorisé à revenir voir son petit ami, et ce, malgré la baisse de son facteur criminel, et n'était pas spécialement désireux de se faire encore plus remarquer.

Il se sentait cependant assez satisfait de la tournure de la situation ― cette baisse était la première, alors que tout le monde estimait que le cas de Tooru était presque désespéré et elle allait sans le moindre doute avoir un bon impact sur le moral de son compagnon aux cheveux bruns. Et elle confortait l'ancien attaquant dans son idée que la situation allait s'arranger, qu'il allait retrouver son petit ami, enfin. Il était sans doute trop tôt pour crier victoire, surtout que la situation était encore complexe. Néanmoins, cette baisse avait eu lieu et personne ne pourrait enlever ça.

Hajime bouillait d'envie d'aller voir son petit ami, mais n'était pas certain qu'il pouvait pousser le vice jusque-là. Une part de lui avait une forte envie de se présenter en face des docteurs pour se moquer d'eux, mais rien ne prouvait que sa visite était bien la raison de la baisse, et il n'était pas si sadique. En plus, il respectait malgré tout tous ces thérapeutes. Même s'il n'avait pas aimé leur défaitisme, il pouvait reconnaître qu'ils avaient essayé de trouver des solutions.

Il répondit finalement positivement à Miyuko, lui demandant de continuer de lui donner des nouvelles si possible. Celle-ci lui répondit spontanément qu'elle allait essayer de plaider sa cause auprès des médecins ― il lui en était reconnaissant aussi, même s'il n'était pas sûr que cela porte ses fruits. Pour améliorer son cas encore un peu plus, il reprit son chemin vers le chantier pour ses travaux d'intérêt généraux, tout en prêtant une oreille distraite aux bulletins d'information qui emplissaient les rues et les métros.

Apparemment, la porte-parole des Affaires Sociales avait démenti les accusations de la vidéo d'Eitpheil ― sans grande surprise ―, déclarant que les criminels dormants dont il était question avaient montré des traits de caractère inquiétants et qu'ils n'auraient eu qu'à suivre des thérapies pour s'en sortir convenablement. Une réponse qui convainquait peu la population, toujours aussi anxieuse. Le psycho-pass global augmentait dangereusement, entendit Hajime, et une crise sans précédent risquait de se déclarer si la SP n'était pas en mesure de démentir clairement les accusations de Mellori.

S'IL NOUS ÉTAIT PERMIS DE RÊVER - 𝗵𝗮𝗶𝗸𝘆𝘂𝘂Où les histoires vivent. Découvrez maintenant