Poison 🥀

20

Une fois assez loin de nos amis je m'arrête dans l'eau et le regarde les bras croisés.

Moi : Je t'écoute.

Il se gratte la tête gêner.

Ran : Écoute je suis pas bon pour ce genre de truc mais je veux m'excuser j'aurai pas du dire ça j'ai du mal à me contrôler quand je suis en colère et je dis des choses horrible. Je pensais pas ce que j'ai dis.

Moi : D'accord.

Je décroisa mes bras et part en direction des autres.
Je n'avais plus le visage croisée mais impasssibe, neutre mais, il m'attrape le bras et je me tourne vers lui.

Lui : Tu me pardonnes vraiment hein ? Il avait un sourire timide.

Je ne pu m'empêcher de lui sourire à mon tour.

Moi : Oui je te pardonne.

Il s'approcha de moi et me fit un bisous sur la tête ainsi qu'un câlin rapide puis on rejoins les autres.
Purée il m'a eu si facilement avec son sourire je devrais avoir honte.

Eux : Oh les amoureux sont de retours !

On rigole tous les deux. Nous décidons tous d'emprunter un ballon à des gens sur la plage puis on commençons à jouer dans l'eau.

J'étais avec Ran et j'avais bien décider de m'amuser à ses dépens. Pendant de longues heures je le cherchais en me frottant à lui comme si je n'avais pas fait exprès il était si perturber c'était délectable !
Au bout d'un moment je réceptionne le ballon en me plaçant devant lui et le renvoie à Rindou, puis je me baisse tout en m'assurant de bien coller mes fesses contre le sexe de Ran, je feintais de chercher un de mes élastiques qui était tomber dans l'eau. Je savais qu'il ne tiendrait plus très longtemps et j'étais bien décider à le faire craquer coûte que coûte.

Le jeux ce termine et quelques minutes après Rindou et Kakucho ce mirent à construire un château de sable tandis que Koko et Inui discutait et nageait. J'entourais le bassin de Ran avec mes jambes et il avait les mains sur mes fesses et les massait, j'avais la tête dans son cou et c'était calme entre nous, au bout d'un moment je décide de serrer un peu plus mes jambes autour de ses hanche et je lui mord le cou.

Je sens son cœur battre plus fort contre le mien et il n'a pas fallut longtemps avant que je sente son sexe pulser contre mon intimité, il trouve rapidement une excuse bidon pour s'éclipser le plus vite possible. Je sui hilare quand je le regarde rejoindre la plage mains sur le short ce dépêchant d'aller rejoindre les toilettes.

Je décide de le suivre et j'attend qu'il y rentre et nage jusqu'au rivage.

PDV RAN:
Je suis enfin arrivé au toilette je ne pouvais plus me retenir, je baisse mon caleçon et mon short et je débute les mouvements de vas et viens sur mon membre je dois relâcher la pression. Hadjuni va me rendre fou sa manière de se cambrer pendant les jeux, sa façon de frotter ses fesses sur mon pénis de manière désinvolte et maintenant ça je ne peux plus tenir. Je ferme les yeux pour me concentrer et je pense à Hadjuni. J'halète ...

Tout à coup j'entend la porte derrière moi s'ouvrir et ce refermer violemment. Je tourne la tête paniqué pour voir qui c'était introduit dans ma cabine. Je suis surpris et dans l'incompréhension quand je vois Hadjuni. Je me précipite déjà pour remettre mon engein dans mon caleçon quand ses mains parcourent mes abdos.

Moi : Qu'est-ce que tu fais ici ?

Hadjuni : Je suis venue t'aider bien sûr dit-elle d'une voix suave.

Elle fait des bisous sur mon épaule puis caresse mon V du bout des doigts.

Hadjuni : J'aime beaucoup tes tatouages c'est sexy...

Elle attrape la peau de mon épaule entre ses dents et la relâche délicatement tout en continuant de caresser mon corps. Elle n'arrêtait pas de me mordre et sa main descendait dangereusement vers mon caleçon elle baisse ce dernier et caresse ma verge, ses gestes étaient doux.

Tout à coup elle retire sa main de ma verge et pince mon téton de son autre main puis elle alterne. C'était la première fois qu'une femme me pinçait les tétons et je ne savais pas que j'allais aimer ça, je lâche de petits grognements en fermant les yeux et sans que je m'y attende elle commence les vas et viens sur mon sexe et il était à présent mouiller je ne compris pas tout de suite comment, puis je réalise.

Moi : Oh merde Hadjuni t'es une vrai cochonne !

Ma bite devint encore plus dur.

Elle rit tout en me branlant et massant mes testicules de tant à autres. Je gémissais c'était trop bon c'était une chef.

Elle avait utiliser sa mouille pour lubrifier ma queue même dans mes rêves je n'imaginait pas vivre ça un jours. Sa mouille, sa perversion et le risque de nous faire prendre à chaque instants m'excitait au plus au point. J'avais les joues rougis et je n'était pas très loin de l'extase.

Dans un râle rauque je déverse ma semance sur ses doigts et elle va se laver les mains. Puis elle me jette un dernier regard satisfait et un sourire coquin avant de s'en aller.

Putain mais qu'est-ce qu'il vient de ce passer.