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On est de nouveau dans le pdv de Hadjuni je tiens à préciser.
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Le soir quand on rentra tous chez nous je mange et m'en vais dans ma chambre j'essaye de dormir mais j'avais la boule au ventre, une personne me vient à l'esprit et j'avais besoin de la voir, désespérément.

Je prend ma voiture et une fois arrivée au pas de sa porte je sonne mais aucune réponse j'attend une minute et toujours rien je décide donc de l'appeler aucune réponse. Je prend le double des clés que je possède et l'introduit dans la serrure pour ouvrir la porte par chance il n'avait pas mis sa clef.

Je referme derrière moi et regarde l'état de son appartement, le salon était en bazard mais aucun bruit dans la maison. Je décide de monter les marches doucement pour atteindre sa chambre.
Elle était ouverte et il était là sur la chaise tournante de son bureau dos à moi.

Moi : Sanzu !

Aucune réponse.

Je m'approche de lui et regarde si il n'est pas endormi mais non il avait les yeux ouvert dans le vide. Il y avait des pillules partout dans sa chambre des lignes de coke entamé et d'autres non et des joints.Je m'assois sur son lit et me mets face à lui pour le regarder et avant que je ne parle il s'exclame.

Sanzu : Alors c'était bien avec Ran ?

Je le regarde tristement et je ne savais pas trop quoi dire.

Moi : Pourquoi tu dis ça ?

Sanzu : Me prend pas pour un con j'ai vue comment vous vous regardiez je ne sais pas ce qu'il c'est passer entre vous au centre pénitentier mais apparement vous ne vous êtes pas oublier.

Aïe il avait viser juste et je n'avais aucunement envie qu'il me mette au pied du mur.Je soupire.
J'étais à présent muette, aucun mots n'arrivais à sortir de ma bouche, qu'est-ce que je pouvais lui dire, il avait raison même si je ne veux pas voir la vérité en face.

Sanzu : Hadjuni je t'aime mais je ne veux pas faire partie d'un triangle amoureux débile, j'ai aussi ma fierté d'homme et je te connais assez pour savoir que tu ne seras pas en mesure de faire un choix donc je le fais pour toi dit-il d'un ton froid et très sérieux.

Mes yeux brillaient.

Sanzu : C'est fini entre nous.

Moi : Quoi mais bébé tu peux pas me faire ça on est complémentaires qu'est-ce que je vais devenir sans toi ?

Sanzu : Y'a Ran maintenant dit-il d'un ton glaciale.

J'étais choquée, abasourdie, désespérée, mon cœur me faisais si mal.

Sanzu : Sors de chez moi.

Je me lève pour partir honteuse et blessée.

Sanzu : Le double des clefs stp il me tendit sa main pour que je dépose les clefs dedans

Je les déposa dans sa main puis quand je retourna les talons vers la sortie pour partir, j'ai sentis une force me tirer brutalement.

C'était Sanzu. J'ai atterris sur le sol et il pris mon visage en coupe. J'étais perdue. Il me regarda dans les yeux un instant puis m'embrassa, il demanda accès à ma langue que je lui donna, ce n'était pas ses baisers pleins d'amour et de tendresse comme il avait l'habitude de me donner. Je ressentais de la colère, de la tristesse à mon égard et je ne pu m'empêcher de lâcher une larme qui coula le long de ma joue.

Il mit fin au baiser.

Sanzu : J'espère que t'as bien profiter de ce baiser d'adieu je ne veux plus rien à avoir à faire avec toi maintenant pars.

Je me lève et m'en vais je retenais un torrent de larmes de dévaler en cascade sur mes joues.
Dans la voiture sur le chemin du retour j'avais la gorge serrée, elle me brûlait et c'était extrêmement douloureux.

Une fois arrivée dans mon lit j'éclate en sanglots, mon cœur était en miettes, Sanzu est plus qu'un plan cul régulier, je l'aime et c'est le seul qui me comprenne totalement quand je vais mal, je n'ai même pas besoin de parler qu'il sait quoi faire, quoi dire pour me réconforter il est généreux et tendre et m'a toujours soutenue quoi que je fasse. Je ne voulais pas voir la vérité en face et lui non plus jusqu'à ce soir, mais je l'aime ... je l'aime tellement mais apparement pas assez pour le retenir et par fierté je ne peux pas revenir. Je suis qu'une putain d'égoïste il a toujours tout fait pour me rendre heureuse et épanouie et moi je balaye tout parce que je revois Ran je me détestait pour ça, j'avais tout gâcher entre nous mais malgré tout je ne pouvais m'en empêcher.

Ça fais mal de se l'avouer mais je n'ai jamais vraiment oublier Ran, on avait une relation tumultueuse au centre pénitentier et le début de relation qu'on mène ressemble plus à une relation toxic qu'autre chose mais je voulais tellement savoir ce que serais notre relation en dehors de 4 murs.

Les années on passés et j'ai cultivé l'espoir de le revoir. J'ai perdue Sanzu pour ça et j'en ai mal à en crever, c'était ma moitié, on étaient tout le temps coller ensemble. Je l'ai sûrement perdu à jamais et je ne sais pas comment je vais me relever de cette échec. Maintenant qu'on fais partie du même gang on va s'ignorer, on sera comme des inconnus l'un pour l'autre je ne peux pas l'accepter.

Cette simple idée me rendait malade j'avais envie de vomir. Je pleurais à chaudes larmes et je suffoquais tellement mes pleurs étaient forts, j'avais la tête qui allait exploser, j'ai pleurer pendant des heures et des heures jusqu'à trouver le repos.

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( note : quand Sanzu dit à Hadjuni c'est fini entre nous il ne parlait d'un couple comme certains/certaines on pu le penser ils ne l'étaient pas lisez les pensées d'Hadjuni ci-dessus et comprenez la nature de leurs relation. Ils s'aiment inconditionnellement et Sanzu à sacrifier son propre bonheur pour que Hadjuni trouve le sien avec un autre.)

Poison 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant