Poison 🥀

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Je me réveilla je n'eu pas compris au début ou j'étais puis quelques instant plus tard je réalisa que j'étais dans un lit d'hôpital.Je ressentais un tel vide , j'avais aucune émotion et le visage impassible. Je senti une main bouger sur la mienne et vit que c'était Kakucho.

Kakucho : t'es enfin réveiller j'ai eu hyper peur pour toi !

Je ne répondis rien comme une poupée de cire figée pour toujours.

Il essaya t'en bien que mal de me parler mais aucun son ne sorti de ma bouche.
Je fini par m'emmitoufler dans la couette et regarder la fenêtre toujours les yeux fixer dans le néant .
Les jours passaient et je n'arrivais pas à parler j'étais devenu muette. Les médecins disent que c'est dû à un gros choc psychologique.
Kakucho et Kokonoi venait me voir tous les jours et tentait tant bien que mal de me parler de me faire réagir mais rien n'y fit. Tout les soirs j'étais hanté par cette image, les yeux d'Izana sans vie.

Aujourd'hui je peux rentrer chez moi.
Arrivée chez moi je ferma la porte et me dirigea vers la douche je me fis couler un bain chaud,
Il y'a avait des gilettes dans mon meuble que je saisi et commença à m'entailler la peau des bras le sang coulait à flots mais c'est comme si cette douleur était libératrice et pouvait extérioriser le mal que j'avais au fond de moi. Je plongea peu à peu dans l'eau du bain et m'endormis j'espérais me réveiller au côté de l'homme que j'aime.

Je fus réveiller par des claques.
Je pris quelques seconde à émerger c'était Kokonoi devant mes yeux il avait les yeux embuer de larmes.
Je compris donc que je n'étais pas avec mon bien aimer et mes yeux retrouvèrent leurs teintes sombres.J'étais dans mon lit et j'avais des bandages sur les bras. Je sentais que mon corps ne pouvait pas me porter. Il me prit dans ses bras et je ne pu lui rendre son étreinte je n'étais plus capable de rien de toute façon.

Il s'en fichait.

Koko : putain tu m'as fais peur ne refais plus jamais ça tu m'entends !

Je sentais mon haut se mouiller de ses larmes mais je n'eu aucune réaction. Il se redressa et me remis une baffe puis embrassa le haut de mon crâne et sécha ses larmes.

Koko : maintenant tu vas me faire le plaisir de manger.

Il m'avait apporter un repas et me donnait à manger à la fourchette comme les bébés et me faisais boire de la même façon.

Il souffla.

Koko : putain si j'étais arrivé juste un peu plus tard ...

Il alla débarrasser puis revint au près de moi .
Je m'étais replacer dans mon lit et regardait le mur blanc sans but. Il m'apportait son soutien dans le silence puis partie quelques heures plus tard.
Kakucho entra chez moi me fit la conversation même si je l'écoutais juste et dormi dans le salon.

Le lendemain il parti et resta chez moi toute la journée à fixer le vide jusqu'à ce que la nuit tombe
J'étais comme le mobilier, un objet de décoration sans vie, rien d'autres.

Je me coucha dans mon lit et fut réveiller par ce même cauchemar la mort d'Izana.
Le deuxième jour était pareille que le premier je m'abreuvait seulement de verres d'eau et regardait dans le vide des heures durant sans but. Puis j'alla me coucher à la nuit tombée réveiller par le même cauchemar c'était une boucle sans fin.

Le troisième jour je repris ma place dans mon canapé et regardais dans le vide et je me disais je veux m'en aller d'ici, je suis prisonnière, je ne veux pas vivre si c'est sans lui, c'était mon monde,
Ce fils de pute m'a pris mon amour, ma muse, l'objet de mes fascinations, celui qui apportait un peu de sens à ma vie, avec lui je ressentais la crainte, le doute, la douleur, la joie, la surprise, l'amdiration, l'amour même si au fond de moi j'avais peur que son amour pour moi ne dure qu'un temps je me sentais vivante !