Guess the mafia (FF - ITZY)

Chapitre 3

- Yeji ? Oh !

- So...Sors. Je peine à articuler.

Yuna court et me ramène un rouleau d'essuie-tout.

Malgré son visage enfantin et ses traits crispé elle reste belle.
Tant de talent que je me retrouve à en vomir.

Le nouveau groupe dont je suis en charge à pour concept être une bande de mafieux.

Le destin s'acharne.
Envie de rire.

Leurs décors me rappellent le genre de souvenirs contenant cadavres en piteux états, sang et tout ce qui secoue mon âme.

La dur réalité de la mafia.

Cela fait six mois.
Je dois me détendre.

J'essuie mon visage, me rince la bouche et remercie Yuna que je renvois sur le plateau.

Pourquoi vivre pour ne songez qu'à la mort ?

J'entends jusqu'ici la musique des garçon, en pleine prise.

Je ré-ouvre les yeux sur le le fond du lavabo et me retourne juste à temps pour me prendre un poing dans la figure.

On me fourre un sac de toile sur la tête.

Une vague d'adrénaline traverse mon corps.
Je frissonne.
Ça faisait longtemps.

" respirez "
Un poing s'abat dans mon ventre

" concentrez vous et oublier ce qu'il y a autour "

Jettée sur une épaule comme un sac à patates.

" attendez d'être prêt "

L'est-on vraiment un jour ?
Une larme coule sur ma joue... je ne veux pas y retourner.

« vous connaissez la suite »

Je préfère mourir que de remettre les pieds dans l'enfer de la Terre.
Mourir dans un couloir au lieu du fond d'une cave.

Seconde vague d'adrénaline.

Je suffoque, mon cerveau prend le contrôle.

Non, je n'y retournerai pas.

Je n'ai jamais autant pleuré, on dirait une enfant.

- Non !!! Je hurle

La peur et l'adrénaline se mêlent.
Mauvais mélange dans mes veines.

Je bourre mon agresseur de coups poings, il s'effondre et m'entraîne.

L'odeur caractéristique du sang sur mes mains fait sont retour dans mon nez.

Un coup de poing dans ma mâchoire, je manque de m'en couper la langue.
C'est le deuxième.

Je retire le sac d'un coup sec, chaque mouvement est automatique.
Une machine de guerre.
J'en suis réduite à ça.

À demi allongée, ses mains en profitent pour saisir mon coups.
J'e n'en suis à demi-vivante.

L'ordre est clair : morte ou vive.

Je balance mon genoux et me relève.

Je frappe encore et encore me réjouissant de façon malsaine de son agonie.
Leurs corps ne bougent plus.

Je les ai tués.

La peur n'est là que quand le danger n'est pas visible.

J'analyse leurs pouds.
Silence de mort.

J'en pleure de soulagement.

Je ne mourrerais pas aujourd'hui.

Reprendre le contrôle de mes mouvements me fait prendre conscience de l'horrible douleur dans mes phalanges.

Yuna vint s'enquérir de mes nouvelles.
Morbide sont elles.

Elle ouvrit grand les yeux et hurla à la mort : tout le bâtiment est au courant si ce n'est le pâté.

Et je prends son point de vue : deux hommes mort, du sang partout et son mentor assis au milieu tranquille comme Gandhi.

Un calme que je sais ne pas garder longtemps.
C'était des tueurs.
Des lapins qu'on envoie combattre le loup afin de finir dans sa gueule pour servir d'exemple.
Ça maintien des troupes.

Les assassins ne seront pas décèdenderont pas pour si peu.

L'odeur du sang me monte à la tête et le noir.

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Bon. Il est resté longtemps en stock celui-ci. Je l'ai peaufiner encore et encore !
Je peux faire mieux mais je veux avancer, la suite m'aidera sûrement.
Bref, 546 mots, 20/12/21,

Enjoy
La bise <3

Berry