Chapitre 4 : Premier Round

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//TW// Lemon

(Ce chapitre est entièrement un lemon)

Changement de PDV uniquement pour ce chapitre.

Une fois arrivés devant la chambre de la c/c, Kokonoï qui portait toujours T/p dans ses bras, ouvrit la porte d'un coup de pied (bah sympa pour la belle porte), et pénétra dans la pièce sombre seulement éclairée par la lumière des lampadaires qui se trouvaient devant le manoir. Les faisceaux lumineux traversaient la fenêtre car les lourds rideaux n'étaient pas tirés.

Sanzu ferma la porte à clef et le brun déposa la jeune fille sur son lit. Elle s'était assise au bord de celui-ci, quand les deux hommes s'approchèrent d'elle, le rose se mettant devant T/p accroupit sur le sol et Kokonoï lui, se place derrière elle sur le matelas, s'attaquant directement à son cou, le suçotant et le mordillant. Sanzu avait commencé à relever le pull de la jeune fille tout en prenant soin de lui caresser le ventre, ce qui l'a fit frissonner de plaisir.

Avant de perdre définitivement la tête, elle se demanda si elle faisait bien de s'abandonner comme ça à peine arrivée ? Mais elle n'eut pas le temps de se prendre la tête, quand elle sentit les mains de Sanzu remonter vers sa poitrine et la bouche de Koko lui laisser une multitude de marques rouges sur la peau de son cou, elle envoya valser ses questions existentielles se disant qu'elle était aussi là pour ça. Même si le faire avec deux mecs en même temps elle ne l'avait pas encore testé. Elle demeurait un peu stressée mais laissait le plaisir prendre le dessus.

La c/c avait réussit à les rendre complètement dingues en un temps record. Sa peau était douce et chaude, elle sentait divinement bon et elle les faisait craquer avec son petit côté pervers qu'elle parvenait facilement à dissimuler. Ils n'avaient qu'une envie, c'était de l'allonger sur ce foutu lit et de la baiser comme jamais personne ne l'avait fait, ils n'avaient jamais eu une érection aussi douloureuse.

T/p sentit son rythme cardiaque s'accélérer alors que la bouche d'Hajime continuait sa balade dans son cou et que les doigts d'Haruchiyo s'égaraient entre ses seins. Elle appréciait les sensations qu'ils lui procuraient et bizarrement elle se sentait en confiance avec eux.
Sanzu se penchait pour embrasser lui aussi son cou, juste en dessous de son oreille gauche alors que Koko s'occupait de l'autre côté.
C'était la première fois qu'elle était embrassée par deux bouches en même temps et la sensation était stupéfiante. Son cœur s'emballa tant et si bien qu'elle se mise à haleter. Son stress toujours un peu présent.

Kokonoï : « Ehh, relax ma belle, tout va bien. Il lui avait murmuré ça à l'oreille, tout en lui caressant la joue.

Sanzu : On va prendre tout notre temps... »

Elle ne pouvait rien répondre, si elle ouvrait la bouche seuls des gémissements en sortiraient. Et puis merde ! Elle était censée tous les satisfaire alors autant commencer maintenant.

Kokonoï sourit voyant ses yeux soudainement pleins de détermination et recommença donc à embrasser son cou tout en passant sa main sur l'un de ses seins, celui avec le bijou en forme de cœur, le malaxant doucement, tandis que Sanzu s'occupa d'attraper l'autre.
Elle gémit tout en penchant sa tête en arrière. Le rose se recula un peu, et la vision qu'il put alors observer l'excita encore plus. Elle avait les yeux mi-clos et ses lèvres laissaient échapper des soupirs de plaisir. Son regard glissa un instant sur son cou déjà marqué de plusieurs traces rouges et ses yeux descendirent plus bas et rencontrèrent Koko qui était en train de flatter sa poitrine à l'aide de sa bouche et de sa main.
Cette vision était super bandante. Le brun mordilla doucement son téton et léchait son piercing, elle gémit un peu plus fort, attirant à nouveau le regard du rose mais cette fois sur sa bouche en particulier. Ses lèvres étaient si douces et sucrées. Il voulait encore les dévorer. Il se rapprocha à nouveau de son visage et repoussa ses longs cheveux qui ne semblaient pas vouloir tenir en place. Il la vit rouvrir ses paupières et ils se fixèrent longuement. Ses yeux vairons s'étaient assombris et le désir en était la cause.
Il sourit et posa sa main sur sa joue.

Bonten : L'échappatoire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant