PDV Ichigo
Une fois les course terminées, on rentra directement à la maison. Une fois les courses rangées, et au vu de l'heure, 15h45, on décida de se poser devant la télé avec chacun un verre de jus de fruit et une boîte mochi, mochi au taro pour moi et au matcha pour Karma. Simple mais efficace. Au bout d'un moment je posa ma tête sir son épaule. Je me sentais si bien avec lui à mes côté. Depuis toute petite je me sens bien dans cette maison, mais je penses que la présence de Karma y est pour beaucoup.
Malgrés tous j'ai peur. Peur que mon père apprenne oú je me trouve. Peur qu'il vienne me chercher de force ici. Peur qu'il s'en prennent à Karma parce qu'il m'as aidé. J'ai peur de beaucoup de chose mais perdre mon frère ou Karma est ce qui me terrifie le plus au monde. Je ne peux empêcher un frisson parcourir mon corps tout entier à cette pensée.Karma : Tu as froid ?
Moi : Oh..euh...oui.
Je suis vraiment la pire des menteuses. Je sursaute donc quand je sens son bras m'entourer la taille et me coller encore plus à lui, et je ne peux réfréner un soupir de bien être face à cela. Pourtant ma peur ne me quitte pas. Et elle ne me quittera sûrement jamais.
Karma : Merci.
Je tourne la tête vers mui surprise.
Moi : De quoi ?
Karma : Merci de rester avec moi malgrés toutes les horreurs que j'ai pu te dire. Merci de m'avoir pardonné. Merci de me laisser une dernière chance alors que je ne la méritais même pas.
Je lui souris et pris la main de son autre bras dans la mienne et la lui serra.
Karma tourna la tête vers moi et je ce que je vis me fit très mal au coeur. Il avait les larmes aux yeux.
Moi : Oh Karma.....Tu es celui qui mérite le plus mon pardon. Tu es la personne la plus attentionnée que je connaisse. Tu as certes du mal à exprimé tes sentiments ce qui fait que tu t'emportes et que tu t'énerves. Et comme je te connais depuis un bout de temps je sais qu'après un bout de temps tu vas ressasser ce qu'il s'est passé. Tu vas alors ruminer et tu vas soit être triste soit être en colère contre toi-même et tu vas t'isoler de peur de redire ou faire quelque chose qui empirerait la situation parce que tu ne saurais pas comment t'excuser.
Alors oui Karma je reste avec toi quand tu me le demande. Parce que je tiens à toi, parce que tu compte beaucoup pour moi et parce que je sais que malgrés ce que les autres pensent de toi je sais qui tu es vraiment.Prenant mon courage à deux mains je me redresse un peu et lui embrasse la joue. Et je souris en voyant des petites rougeurs prendre place sur ses joues. C'est vraie qu'il n'est pas très à l'aise avec ce genre de marque d'affection même quand on est qu tous les deux, c'est comme ça depuis qu'on se connait. Je lâche un petit rire à ce constat.
Karma : Oï, qu'est-ce qui te fait rire comme ça ?
Moi : Toi, c'est fou à quel point tu es le même qu'à l'époque. C'est mignon.
Je me fige en entendant les derniers mots sortient de ma bouche. J'ai vraiment osé le dire à voix haute ? Oh mon dieu !
Je sursaute en entendant mon téléphone sonné. Sauvée par le gong Karma allait parler. Je prend alors mon téléphone en main mais me fige en voyant qui m'appel. Mon père. Je me met à trembler. Je ne sais pas quoi faire, dois-je répondre ou pas ?
Karma me fait sortit de mes pensées en posant sa main contre mon épaule. Je tourne la tête vers lui. Il fronce les sourcil, mon visage doit exprimé ma peur. Il regarde alors mon téléphone sur le quel s'affiche un jolie "père".
Il me prend soudainement le téléphone des mains. Je panique en pensant qu'il va répondre à ma place et essaye de le récupérer.