PDV Karma
Tiens bon Ichigo on arrive. Tu peux être sur que je vais te sauver.
Nous somme en bas d'une falaise apparemment il faut l'escalader si on veut pouvoir entrée dans la tour oú Ichigo est prisonnière avec un dégénéré mental dont je me ferais un plaisir d'écraser sa face de rat contre un mur jusqu'à ce qu'il me supplie de l'épargner. Il n'aurait jamais du s'en prendre à elle et il va amèrement le regretter.
PDV Ichigo
Je me réveille doucement. Après que Rio est appeler je me souviens qu'il m'a fait inhalé un truc et juste après cela je me suis endormie. Mes mains sont attachées derrière le dos de la chaise et mes pieds sont attachés au pieds de ladite chaise.
??? : Ichigo déjà réveillée ?
Moi : Non non tu vois j'ai les yeux ouvert et je te regarde avec haine mais je suis pas réveillée. Serais-tu con par hasard ?
Et bim une giffle. Bon je sais c'était pas très malin de ma part de le provoquer mais que voulez-vous c'était trop tentant.
??? : Tu va mieux me parler salope ou je te jure que je te tue.
Moi : Alors déjà tu va te calmer tout de suite, t'es pas le premier à me menacer alors tes petite menaces qui valent pas un clou tu te les garde. Deuxièmement quand on enlève quelqu'un souvent on explique qui on est et pourquoi on fait ça.
??? : Je m'appelle Saito Jingugi et c'est tous ce que tu sauras pour le moment.
Moi : Merci de t'être suicidé.
Saito : Mais qu'est-ce-que tu raconte. Ce ne sont que des gamins ils ne pourront rien faire surtout que je leur ai réserve un accueil chaleureux.
Je lui fais mon plus beau regard d'assassin.
Moi : Arrête de les sous-estimer ça te conduira droit à ta perte.
Saito : Comme ta mère ?
Hein ?
Saito : On dirait que tu ne sais rien ? Alors je vais tous te dire sur la mort de ta mère.
Les larmes coulent le longs de mes joues. Comment ce connard peut-il connaître ma mère.
Saito : Je travaillait pour le lieu ou tu as été passer quelques jours. C'est moi qui ai tué ta pauvre mère et qui t'es emmener là bas.
C'est un torren de larmes qui dévalent à présent mes joue. Mon cœur est tiraillé entre colère et désespoir.
Moi : Ordure ! Je vais te buter ! Je peux te jurer que dés que j'arriverais à me libérer de mes liens je te fait la peau !
Saito se met à rire. J'en ai des frissons.
Saito : En attendant que dirais tu voir les caméra que j'ai mis partout et de regarder le beau spectacle que sera l'anéantissement de tous tes amis.
Je lui crache dessus.
Moi : Va crever sale chien.
Il me met un ruban adhésif sur la bouche pour m'éviter de parler.
Saito : Comme ça tu me cassera moins les oreilles.
Mes larmes ne veulent pas s'arrêter de couler. Maman....maman...pourquoi tu m'as protégée ce jour là, c'est toi qui aurait du vivre pas moi. La preuve je ne fait qu'apporter malheur et désespoir à tous ceux qui ont le malheur de m'approcher.