PDV Karma
Je tiens toujours Ichigo dans mes bras. Elle relève soudainement la tête et me regarde dans les yeux.
Ichigo : Karma...je...
Elle est arrêter par le poulpe jaune qui cri dans tous bateau.
Poulpe jaune : Réveillez-vous on est arrivé !
Ichigo se détache et part, je la suis.
Moi : Tu voulais me dire quoi tout à l'heure ?
Ichigo : Rien de spécial.
On va chercher nos affaires et on descend tous ensemble du bateau.
PDV Ichigo
Rio : Pourquoi t'es toute rouge Ichigo ? Il s'est passé quelque chose quand tu étais seule avec Karma ?
Moi : Bah en faite j'étais sur le point d'avouer a Karma que je l'aimais quand Koro-sensei à commencer à crier dans tous le bateau qu'il fallait se réveiller.
Tôka : Oh ma pauvre.
Kaede : T'inquiète pas tu auras d'autres ocasion de lui dire ce que tu ressens pour lui.
Moi : Vous avez peut-être raison les filles.
Okano : Bien sur qu'on a raison.
Un fois arrivé a bon port les profs nous dise à demain. Je suis Karma, ne sachant évidemment pas où il habite.
Karma : Je n'habite pas très loin ne t'inquiète pas.
Moi : Ok.
Karma : Et ton frère sais que tu vas chez moi ce soir ?
Moi : Oui il le sait. Aparemment il te connais et il a dit que tu étais sûrement la personne la mieux placé pour m'héberger se soir étant donner que tu ne pose pas beaucoup de question.
Karma : Bizzare, je ne me souvient pas de quelqu'un d'autres portant le même nom de famille que toi. On a du se croiser par hasard.
Moi : C'est sûrement ça.
Karma : Et puis je sais que si tu voulais me parler de tes problème familiaux tu l'aurais fait. Alors je préfère ne pas te poser de question.
Moi : Merci c'est gentil de ta part.
Le reste du chemin se passe en silence. Mais pas un silence gênant, non, plutôt un silence apaisant.
Karma : Voilà on est arrivé.
On est devant une porte d'appartement. On y trouve deux sac ou on y découvre mes affaires pour demain. Merci onii-san. Il ouvre la porte et m'invite à entrer.
Moi : Merci.
Karma me fait visiter la maison. Il met mes affaires dans ce que suppose être la chambre d'ami. On va ensuite dans le salon et on s'installe dans le canapé.
Karma : C'est si compliqué que ça chez toi ?
Je baisse la tête.
Moi : Tu n'imagine pas à quel point. Disons que c'est en partie de ma faute.
Karma : Comment ça ? Ah pardon j'avais promis de ne pas poser de questions et au final je t'en pose quand même.
Moi : Ce n'est rien. Et puis ça ne me dérange de te répondre.
Karma me regarde. Comment je le sais ? Je sens son regard sur moi.
Moi : En fait...c'est ma faute si ma mère est morte.