- Ne t'aventure pas dans les profonds abysses de la vie Rosalia.
Assise sur ce sable fin, l'océan en face
une eau tellement transparente, sans défaut, calme. Elle aimerait que ce soit pareil pour son coeur mais c'est bien trop tard, il est désormai...
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꧁Confessions. Tension.꧂
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Take a deep breath and read.
Bonne lecture🖤 _______________________
Je ne sens absolument rien.
Mon corps est comme...paralysé.
Peu à peu je reprends conscience, mais ne contrôle plus mon corps.
Ma respiration se bloque instantanément, je sens mes mains devenir moites et mon cœur qui ne fait que de battre à la chamade. Et d'un coup, je me redresse et remarque que je suis allongée sur un lit qui m'est inconnu. J'ai des sueurs froides sur tout l'ensemble de mon corps, je suis littéralement angoissée. Je me recule jusqu'à me cogner à la tête de lit et c'est la que je me souviens.
Billy Anderson.
Mon géniteur.
Des mains sur mon corps.
Mon rythme cardiaque est rapide, mon corps fait face à de violents tramblement qui ne veulent pas cesser.
J'ai l'impression que je vais pas tarder à mourir.
J'essaie de contrôler ma respiration mais rien n'y fait, mes pleurs s'accentue.
Je suis tellement vulnerable.
Mes pleurs se font plus bruyant et ma gorge se noue créant un nœud atrocement horrible. J'ai mal. J'entends des voix près de la porte il me semble qu'il s'agit de celle de Luis.
- J'y vais attendez dans le bureau, fit une voix que je reconnais aussitôt.
La porte s'ouvre lentement et Juan en sort, je ne peux plus contrôler mes larmes. Pourtant, j'essaie de les ravaler parceque je déteste montrer mes faiblesses aux gens. Il s'approche de plus en plus du lit et mon angoisse augmente elle aussi.
- Part...s'il te plaît... Dis-je dans un murmure à peine audible.
Il ne prend même pas la peine de m'écouter et m'ignore complètement. Mes larmes ne veulent plus s'arrêter et ma respiration se fait toujours autant saccader. Il se dirige vers le congélateur près de la fenêtre.
Je ne sais même pas pourquoi il y'a un congélateur dans une chambre d'ailleurs.
Mais je n'arrive même plus à réfléchir, la panique prend place dans mon corps.
