Je frémissais sous l'égide de la transcendance, celle que l'on ressent devant la beauté d'un ciel étoilé, au fond de nous, émotion qui chancelle et que l'on cherche sans cesse à transmettre à travers nos œuvres. Mais même si on en saisit quelques étincelles, c'est une onde fuyante qu'on poursuit à l'infini. C'est elle qui, au creux de la nuit, nous réveille, agite nos songes et notre âme. C'est le désir au sens le plus pur du terme...
Elle est universelle comme la lune qui scintille dans une nuit d'été, chacun de nous la possède au fond de soi, et certains s'attachent à en transmettre d'infimes frémissements à travers les mots, sans toutefois chercher à l'étouffer sous le flot de la rationalisation.
On ne la touche pas mais on la ressent, on ne l'apprivoise pas mais on la laisse s'immiscer dans chaque parcelle de notre corps, elle a le cœur de la vie, elle a la beauté de la vérité, et le charme du mystère.
Elle est intemporelle, elle continue de naviguer dans le temps. On l'admire, on la chante, on l'écrit, on la danse, on la dessine, on la peint, on la ressent, on la vit...
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L'écrit du coeur
PuisiLes émotions sont comme autant de vagues. Elles vous frappent violemment, et peu importe que votre cœur soit une plage abandonnée... La secousse est d'autant plus puissante que même après l'impact, l'écume continue de s'écouler lentement, larme q...
