Les nuits éternelles

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Les spirales de tes souvenirs dansent dans mes soupirs
Tu étreins mon âme dans tes mains et tu t'enfuis.
Je voudrais te dire de rester mais c'est moi qui suis partie,
J'ai détruit cette flamme que m'offraient tes sourires.

Ces larmes qui se déversent sur mes plaines ravagées par la peine,
Ces sentiments que je veux rejeter mais qui agitent mes sombres heures,
Ces notes de piano qui se dessinent au-delà du prisme de mes malheurs,
Je te les offre au creux de ces nuits où les étoiles sont nos reines.

Les spirales de tes souvenirs dansent dans mes soupirs
Tu étreins mon âme dans tes mains et tu t'enfuis.
Je voudrais te dire de rester mais c'est moi qui suis partie,
J'ai détruit cette flamme que m'offraient tes sourires.

Je peux voir au creux de mes rêves tes yeux embrumés,
Ils éveillent en moi des songes peuplés d'étoiles dorées.
Au creux de ces trêves aux vérités illusoires,
Je dessine des cieux où ne s'enfuit jamais le feu de l'espoir.

Les spirales de tes souvenirs dansent dans mes soupirs
Tu étreins mon âme dans tes mains et tu t'enfuis.
Je voudrais te dire de rester mais c'est moi qui suis partie,
J'ai détruit cette flamme que m'offraient tes sourires.

Mes pas sont menés par les échos profonds de tes mots,
Ils virevoltent dans les volutes de mes souvenirs.
Je te vois t'évader dans les plaines de mes maux,
Que tu réchauffes du feu de tes soupirs.
Ne peux-tu rester dans mes heures éternelles ?
Ton visage s'évade en moi tel une ritournelle. 

L'écrit du coeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant