Je suis assise sur mon lit, je suis réveillée depuis plusieurs minutes mais je n'ai vraiment pas la force de descendre de mon lit.
De plus, daïna dort encore.
Je ne vais pas ce que je vais faire pouvoir faire hors de la chambre, sauf me prendre la tête avec mon frère dès le levé du jour comme ça. Je préfère encore rester dans ma chambre.Je fais des étirements sans trop faire de bruit de peur que ma petite princesse se réveille, elle dort avec moi depuis mon arrivé ici. Franchement je l'aime trop et puis, elle est trop mignonne... Un vrai sucre cette petite.
Je lève un sourcil en entendant frapper à la porte. Non mais vraiment? Donc malgré que je veux l'éviter, il débarque en personne. En plus, pourquoi il frappe comme ça? Il se pourrait que l'on dorme ou je ne sais pas.
Je me relève comme un robot puisque les coup persistaient, j'essaie de tirer violemment la porte prête à bondir sur mon frère mais je me rends compte que voilà elle est verrouillée cette porte.
Parce qu'on sait bien que lorsqu'on réveille Miss daïna, elle peut passer trente minutes à pleurnicher avant de se calmer. C'est un calvaire, on a toujours essayé d'éviter cela.
Toute furieuse je déverrouille avant de tirer la porte les sourcils bien froncé mais je me retiens de tomber à la renverse. Dieu du ciel, mais qu'est ce que Adamson vient foudre devant la porte de ma chambre qui plus est au Congo Brazzaville, à Pointe-Noire.
C'est la sorcellerie où bien? Ça n'a aucun sens!
-moi: non mais je commence maintenant à halluciner? Ça sera quoi prochainement? dis je en cognant légèrement ma tête contre le mur.
-adam's: euh waïna, qu'est ce que tu fais comme ça? en voulant poser sa main sur mon épaule.
Je recule spontanément avant de froncer les sourcils et de le contourner pour me lancer dans le couloir. Je marche rapidement vers la sortie menant au salon, je vois Sam assis sur le fauteuil la tête entre ses mains.
Voilà sa position préférée, après qu'il ait commis un délit.
Quant à l'autre malheureux, il me suivait derrière comme un âne perdu à l'entrée du désert. Des conneries comme ça!
-moi: non mais Sam, est ce que ça va? Dans ta tête là, t'es sur que tout est en place? hurlais je en débarquant dans le salon.
-sam: écoute waïna parle moi...
-moi: parles-toi quoi? Hein! Tu laisses un inconnu Sam, une personne méconnu de tous comme ça. Tu l'indiques ma chambre, tu ne peux pas réfléchir? Non mais si tu ne m'aimes pas assez, pense à ta fille qui est dans ma chambre au moins. Non...
-sam: waïna s'il te plaît parle moi autrement, ça fait des heures que le gars est là. Il m'a fait un briefing sur votre histoire alors j'ai jugé qu'il était préférable de lui ...
-moi: n'ose même pas terminer ta phrase bête là. Qu'il était préférable que quoi? Si tu l'apprécies déjà hein, devient donc pd. Des ridicules comme, vous...
Je n'ai même pas terminé ma phrase que je sens ma joue chauffée. Je n'ai pas vu venir cette gifle. Franchement, il m'a tellement pas raté que je me retrouve entrain de verser des larmes silencieuses.
-sam: ÇA SUFFIT COMME ÇA WAÏNA, À MOINS QUE JE SACHE C'EST ENCORE MOI LE GRAND FRÈRE. NON MAIS DEPUIS UN CERTAINS TEMPS, TU T'AGITES TROP ET LE FAIS QUE JE TE REGARDAIS FAIRE NE SIGNIFIE PAS QUE JE NE PEUX PAS AGIR. Je peux très bien te frapper comme avant mais si je ne le fais pas c'est parce que je me dis que tu es assez grande mais apparemment tu n'aimes pas que je te fasse confiance? en me lorgnant. Tu pleurais grande mère ici non et tu penses que si elle était là, elle serait fière de voir celle que tu veux devenir?
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Waïna et le milliardaire.
SpiritualEn voulant fuir les problèmes cette pauvre waïna se jette dans un autre problème plus grand que ce qu'elle aurait voulu fuir. une simple approche qui se fait dans la nuit, crée un grand scandale au journalier. Un scandale qui va chambouler le cours...