Waïna et le milliardaire.

-trois-

-blanc1: venez avec nous. dit il normalement.

- moi: pardon? demandais je choqué par son culot.

Ces gorilles débarquent chez moi et me demandent de les suivre comme ...un toutou? hors de question.

-moi: je vais....

Je commençais à dire tout en reculant avec l'idée de fermer la porte après... mais on me tire vers l'avant et avant même que je crie, un grand bras avec un mouchoir vient étouffer mes cris.

je commence à me débattre tout en essayant de retirer cette grosse main mais je commence à voir flou et je m'endors sans le vouloir.

............

Je sens vraiment la fraîcheur, je me sens tout engourdis... j'ai mal à la tête, j'ouvre difficilement les yeux et c'est le noir complet..... j'essaie de bouger dans tous les sens mais je suis pire qu'un verre de terre.

Suis couché avec les mains liées derrière le dos et les pieds aussi, ma bouche aussi est scotchée... j'ai peur!

J'ai rien fait alors pourquoi je me fais kidnapper?

Mon Dieu, qu'est ce qu'ils vont faire de moi?

Une porte s'ouvre et les lumières s'allument avant qu'un homme entre dans la chambre, j'essaie de garder les yeux fermés pour faire genre... je dors.

J'entends ses pas s'approcher de moi mais je garde mes yeux closes.

Je sens qu'il me soulève alors je me mets à gesticuler en poussant des cris étouffés .... je veux pas mourir ici, loin de mon pays ou encore qu'on face de moi une prostituée comme je vois dans les films...

-moi: mamieee! etouffais je en larmes.

-lui: ooh ferme là toi! dit t'il.

Il pousse la porte et entre avec moi sur son épaule.
je me mets à fortement gesticuler en m'imaginant plein de scenario à la vue de cette pièce ..... il y'a un lit!

-moi: mmmmmmmh! hurlais je.

Je le vois se diriger vers le fauteuil, un fauteuil blanc en cuir.

Il me fait asseoir avant de sortir, je ne peux même pas essuyer mes larmes.

Je regarde la chambre, qui peut faire trois fois ma chambre, un grand lit... avant que je ne termine de contempler la chambre, la porte de celle ci s'ouvre.

Je bouge dans tous les sens pour m'asseoir correctement sur le fauteuil.

C'est un monsieur grand de taille, de teint clair...... on dirait que je l'ai déjà vu mais je me tracasse plutôt pour ma survie.

Il est vêtu d'un costume gris contrairement au autre, il me regarde et vient m'enlever le scotche à la bouche.... au moins il est gentil.

On se regarde, ses yeux sont tellement noirs et glacials que je baisse le regard, jusqu'à ce que je sens qu'il s'éloigne.

je me mets à tremble comme une feuille... mon Dieu que me veulent ils, je n'ai aucune information confidentielle, ni aucune puce coincée quelque part .... alors pourquoi tout ceci?

Il se dirige vers le lit tout en deboutonnant sa veste, tout en me lançant des regards.

-moi: je... je vous en prie, ne me faite pas de mal... dis je en larme. je vous en prie, laissez moi partir et je dirais rien à personne.