PARTIE 9-10

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Partie 9 on y go :

Il m'a appelé et j'ai répondus pour une fois :

Moi- Allô ?
Lui- Oui Myriam pour une fois tu réponds !
Moi- Oui qu'est qu'il y a ?
Lui- Rentre s'il te plaît ?
Moi- Dit a ma cousine de venir et basta ..
Lui- Non mais rentre wallah ..
Moi- Qu'est ce qu'il y'a ?
Lui- C'est ton grand père Myriam il est partis ..
Moi – QUOI , OU SA ?
Lui – Au ciel ..

Quand il m’a dit ça, j’ai rigoler je m’en rappelle encore , j’ai ris comme jamais mais c’était un rire nerveux.
Lui- MYRIAM ?? Ça va ? T’es ou faut qu’on y aille en Algérie
Moi- C’est pas vrai arrête tu me fait pas rire
Lui- Si si wallah je viens te chercher. Et là j’ai pas pu m’empêcher de crier, de pleurer de me griffer la cousine a Hichem n’a rien compris et a pris le téléphone
Elle : Tu lui a fait quoi, ?(elle était affolée)
Lui************************
Elle : Allah y rahmou et là elle lui a donné son adresse.

Elle me tenait les mains enfin elle essayer, une fois que Issam sonna, elle alla ouvrir.
J’étais vraiment dans un salle état, je me griffait, pleurer et sa n’est rien pas rapport à la suite.
Djedou c’était mon deuxième papa, mes parents sont partis lui aussi ,tout ce que j’aimais commencer à partir. Allah Y Rahmou

Issam : PUTAIN MYRIAM ARRETE SA LE RAMENERAS PAS

Il m’attrapa mes poignets et me pris dans ses bras sa m’a choqué mais ça me rassurer vraiment, je commençais a être seul dans ce monde, j’espérais que lui allait être là pour moi en toute amitiés.
Il salua la cousine a Hichem et moi également, moi en larmes, j’avais des griffures sur le visage, les bras, la peur de la voiture partit vite vu que c’était pour mon grand-père. Issam fut choqué quand j’ai ouvert la portière. Pendant le long du trajet, silence total, j’étais stressé je me rongeais les ongles il le remarqua et roula lentement. On arriva devant la maison de mes grands-parents ma grand-mère quand elle me vis était choquées :

-Benthi tu t’es fait quoi ?
-Rien, c’est vrai il est vraiment partis ?
-Oui benthi il a rejoint Allah, et moi je ne vais pas tarder, benthi ne pleure pas, je ne pleure pas il ne voudrait pas il voudrait nous voir sourire.

Elle avait tout arrangés afin qu’il soit enterrés en Algérie prés de sa fille et de son beau-fils. On rentra dans la maison, ou il y avait cette odeur de Musc, Issam me tenait dans ses bras et sans vous mentir sa me fessait du bien vous connaissez se sentiment d’abandon d’être seul face au monde, Mes parents, Djedou, et bientôt ma Djeda il allait me rester qui ? Personne j’espérer pouvoir me dire que il me rester Issam, enfin j’avais oublié une certaine personne Chainez, d’ailleurs elle était là en larmes avec ma tante quand elle vit Issam, elle se leva et alla se réfugier dans ses bras sachant qu’il me tenait et m’a limite dégager sous le regard de ma grand-mère et de ma tante, Issam fit une chose qui me choqua il la retira non brusquement pour me prendre, on était dans le salon et quand je vis la place de Djedou vide j’ai pas pu m’en empêcher je crier, pleurer me griffer et puis je vis des petits points noirs et après plus rien. Je mettais réveiller dans mon ancienne chambre, dans mon lit auprès de Issam qui dormez. Quand il s’aperçu que j’étais debout :

Issam : Sa va mieux ? On part demain, pour l’Algérie .
Moi : Hamdoullah, je me suis évanouie c’est ça. D’accord
Issam : Ouais on passe à l’appart récup nos papiers , et des vêtement sois se soir soit maintenant ?
Moi : Pourquoi il est quelle heure ?
Issam : Il est 11heures ta dormi toute la nuit
Moi : Ah, on y va, je voudrais bien y aller en métro si ça te dérange pas
Issam : Non, vu la crise que t’a faite hier, je roule doucement wallah.
Moi ; ok

Je me lava le visage et me regarda je m’était pas rater vraiment en plus j’étais en tee shirt ,et mes bras était couvert de griffure . Une fois a la porte, j’ai salué ma grand-mère et ma tante , Chainez arriva :

Mariée pour éviter la galère pour y être finalement confrontéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant