AFTER CHRONIQUE 1-2

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Salam les filles
1 )Alors déjà je suis tellement mal que le ramadan se termine, j’ai passé un mois magnifique entre les repas avec mes amis et ceux d’Issam, la famille a Issam etc sa ma fais énormément plaisir de voir les jeunes en bas ne pas vendre l’illicite inchallah qu’il se repentissent tous enfin bref. Donc en avance je passerais surement sur la page dimanche avant d’aller prier : SAHA AIDKOUM a toutes et tous votre famille également.

2) Ensuite j’ai eu un bug d’ordi donc tout mon dossiers chronique a été supprimée donc la mienne également je taper sur world pour si un jour je supprime la page je puisse l’envoyer, donc les afters que j’avais taper la nuit ont aussi été supprimer.
3) J’avais fais des montages mais Facebook ne les prend pas est ce que vous pourriez en mettre sur la page, de femme enceinte,etc

AFTER CHRO NUMERO 1 : « Laisse-moi raconter mon vécue, notre histoire, laisse-moi écrire une chronique »

Alors on était dans le lit c’était un vendredi soir, il regarder la télé et moi j’avais l’ordi je lisais la chronique de Sultane (d’ailleurs son histoire me fais pleurer).
Moi : Issam ?
Issam : ouais
Moi : tu sais j’ai pas eu une vie facile mais je suis heureuse la
Issam : ouais t’es marier au beaux goss quoi .
Moi : ok sahbi
Issam : ok cousine
Moi: Non mais sérieux j’aimerais bien partager ma vie sa peux servir
Issam : Non tu veux la partager a qui ?
Moi : Tu te souviens des chroniques
(Alors, je vous explique Issam a lu quelques chroniques avec moi parce que il était intriguer par ce que je fesais sur l’ordinateur, je lui ai fais lire Yanis : Tombé pour elles et Khalil. C’est pas trop son délire )
Issam : Arrete de tourner au tour du truc crache le morceau myriam
Je me suis rapprocher de lui, j’était face a lui donc il voyais pas la télé.
Moi : Je peux écrire une chronique ?
Issam : Non
Moi : Mais Issam, a croire c’est un crime déjà je te demande, j’aurais pu le faire sans ton accord
Issam : Déjà un tu le fais et me demande sa me concerne sahbi, et ensuite j’ai pas envie que pleins de personne connaissent ma vie
Moi : Déjà j’aurais surement 10 personnes qui me liront, et Issam stp (je lui fesais les yeux doux ce ou il peut pas resister)
Issam : Arrete avec tes yeux, ok mais Myriam déjà tu deviens pas accro, ensuite dans l’anonymat, tu mets pas nos blaz, pas de photos ni de toi, ni de moi, et encore moins de Lounes. Myriam je te fais confiance.
Moi : Je suis allée l’embrasser merci hbibi
Issam : De rien , mais fais moi des crepes
Moi : Vasi viens me tenir compagnie meme si je comprend pas pourquoi tu veux des crepes le soir.
Issam : Et toi tu veux une chronique
Moi : T'as gagner.

Donc j’avais créé la page, je lui ai fait lire quelques parties mais voila il est pas trop pour lire c’était mon délire d’après lui il m’a fait jurer de rester au maximum dans l’anonymat .

Et puis deux ou trois jours après, y avait Sarah( la petite sœur a Issam) a la maison, on parler elle avait besoin d’acheter des blazes pour une journée professionnel, je lui ai dit que j’en ai de toute les couleurs dans mon armoire donc qu’elle se servait, je suis assez fine je fais du S en blazer donc voila .
Après je lui ai dit de rester le temps qu’Issam rentre et la raccompagne, Lounes pleurait donc je suis allé dans sa chambre ,et j’ai donné l’ordi a Sarah pour qu’elle y aille sur Facebook. (JAI JAMAIS SUPPRIMER LES HISTORIQUES ET JE LAISSE MES MOTS DE PASSES ENREGISTREES PAREIL POUR ISSAM ON SE FAIS CONFIANCE)

J’ai pris Lounes dans mes bras, et je suis revenue et Sarah avait le sourire au lèvres elle m’avais cramer.
Sarah : Alors Myriam ?
Moi : Oui
Sarah : Ta fais une chronique ?
Moi : Tu m’as cramer bagra, oui issam est au courant sarah t’en parles a Personne aucune de tes potes doit etre au courant.
Sarah : Tranquille bon donne moi mon neveu
Moi : Tiens hbiba.

Donc voila pour l’after chro 1, Sarah je sais que tu me lis, big up a toi ma sarounette je t’aime très fort
Et je vous aimes aussi très fort vous mes lectrices, mes admins.
Les meilleurs .

Myriam .

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Mariée pour éviter la galère pour y être finalement confrontéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant