Du 31 janvier au 6 février 2022
Deuxième semaine de ce deuxième semestre en L1 Etudes germaniques mineure pédagogie à la Sorbonne Nouvelle. D'ailleurs, nous étions quatre en septembre, et bien seulement deux en début février. Ca décourage un peu, pourtant les cours sont originaux !
En ce lundi, j'avais pour la deuxième fois un énorme trou de 12h30 à 18h30, mais j'ai su bien m'occuper ! Mais avant ça, en italien, nous patientions tous dans la salle, un peu en avance certes, les Italiens sont connus pour leur retard certes, mais à partir de 10h, une demi-heure après, j'étais convaincue que le professeur ne viendrait pas. Pendant tout ce temps, nous étions quatre, sur le même banc, à discuter de nos origines, la multiculturalité (encore !). Je confie mon hésitation à devenir journaliste à une camarade que je connaissais du premier semestre, et qui a en fait - tenez-vous bien - 46 ans ! Cette femme est donc quasiment aussi âgée que ma propre mère quoi ! Elle me transmet alors un contact.
(humour hein :D)
Je pars ensuite pour rejoindre Pauline devant la salle 241 pour le journalisme, elle arrive tous les lundis à neuf heures pourtant. Le cours de journalisme était super intéressant, nous avons débattu de cinq thèses sur ce que doit être ou pas un journaliste, à partir d'un article. Puis, comme la semaine précédente, nous allons nous poser dans la 386 avec notre enseignante. Ensuite, nous avons un peu déambulé dans les couloirs, puis fait la queue au BET pour des changements de cours, mais c'était si long car il y a eu une panne technique jusqu'à jeudi, donc tout a pris du retard ! Et nous sommes remontées au deuxième étage de l'autre bâtiment, pour rester par terre dans le couloir jusqu'à l'heure du cours de traduction. Pendant ce temps, je retranscrivais un morceau et je regardais un épisode de la saison 6 de Doctor Who, ce qui n'a pas manqué de faire sourire mon amie, puisque c'est elle en personne qui m'a persuadée en un rien de temps de regarder cette série.
Le cours de traduction était super bien, on fait de la version, donc de la traduction de l'allemand vers le français. Et aujourd'hui on a commencé des groupes de travail pour commencer à analyser et traduire le texte ; je n'ai pas vu le temps passer ! Enfin, mon acolyte m'a proposé plus tôt d'aller voir la Tour Eiffel, vêtue de bleu et des étoiles européennes pour la dernière fois. J'ai accepté évidemment ! C'était magique. Nous avons sans cesse pris des photos de tous angles, et apprécié aussi pleinement la compagnie de l'autre. Même si nos doigts ressemblaient de plus en plus à des Mister Freeze, cette soirée est gravée dans ma mémoire. La preuve, c'est que dès mardi soir, la voyant de ma fenêtre, le jaune habituel m'a rendue nostalgique.
(mot pour mot, cette chanson décrit parfaitement l'instant. <3 Et tout autant l'épisode "crêperie". cf. chapitre 15)
Mardi, nous avions écritures narratives, et c'est très dur à suivre, bien que plutôt captivant. Comme il y a quatre mois, les Allemands répondent au quart de tour et cernent très vite de quoi on parle, pendant que silence radio chez les Français. Grammaire l'après-midi, et je redoutais tellement un test de vocabulaire comme la prof était courroucée la semaine dernière, et en réalité, elle a changé totalement de comportement, et même tenu un petit discours sur son opinion de l'écriture inclusive, ce qui a bien fait plaisir à plusieurs étudiant.e.s. (zéro ironie)
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Journal de bord : vie étudiante à Paris
Não FicçãoJ'avais promis à mes amis d'enfance un petit récit concernant mon entrée à la Sorbonne Nouvelle à Paris, ma vie étudiante et évidemment toutes les galères quotidiennes qui peuvent m'arriver, alors le voici ! Certes, la mise en page se rapproche d'un...