20. Pathétique ☆

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Au levé du soleil nous avons enfin croiser des soldats qui étaient à notre recherche, Lyvie était à leurs côtés, saine et sauve.

Livaï a été pris en charge par un médecin, ils nous ont menés au camp. Le long du chemin, j'ai pris soin de rester coller à la charrette où se trouvais le blesser.

Personne n'est là, mes amis sont partis à ma recherche. Je m'assois alors sur un tronc à l'entrée du camp attendant leur retour.

Les heures sont longues, mais des bruits de sabot me réveillent.

- Adria, tu nous as fait peur putain.

Ma meilleure amie me serre dans ses bras.

- nous refait jamais ça. Dit mon meilleur ami en me portant sur son dos.

Je les sert tous dans mes bras chacun leur tour pendant de longues minutes en leur disant à quel point je les aime et les admire.

Je croise le regard de mon bien-aimé et nos amis nous laissent seuls.

- tu m'as fait une de ces peurs. Sanglote t'il.

- tais-toi et prends moi dans tes bras. Je ricane.

Ses bras musclés m'enveloppent, sa tête penchée au-dessus de la mienne.

Je suis bien ici.

Dans ses bras.

Je suis protégé.

Et vivante.

Je m'éloigne de sa poitrine pour poser mes mains sur celle-ci.

J'ai compris. Il a compris. C'est maintenant.

Sur la pointe, des pieds je rapprochent mon visage du sien. Il ne bouge pas, attendant juste mon approbation.

Mes lèvres frôlent les siennes, il prend mon visage entre ses mains et intensifié notre baiser.

Notre premier baiser.

C'est tendre, c'est chaud, c'est amoureux et passionner tout ce dont j'ai besoin et envie.

- je t'aime Adria.

Je colle ma tête contre son torse.

- besoin de se le dire pour le savoir, c'est pathétique.

Cette voix sarcastique, je la reconnais bien.

- ferme la Livaï. Je recule de mon bien-aimé. Tu ne peux pas t'empêcher de gâcher les bons moments des autres.

- personne ne me dit de la fermé.

Je m'approche de lui sous le regard désespéré d'Erza.

- ferme ta gueule Livaï.

Une agent plus que spéciale // Livaï X OcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant