Lors d'une mission, la plus difficile de sa vie Adria rencontrera le caporal-chef Livaï, le soldat le plus fort que l'humanité est connue, une aubaine pour elle voulant devenir l'agent la plus forte que l'humanité est connue.
Agent dans L' ASR, Agen...
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- j'y crois.Livai se relève à son tour.Depuis quand c'est moi l'optimiste dans notre duo ?
- on a besoin d'un peu de réalisme là.
- je t'ai déjà vu avec plus de cran bordel, qu'est ce qui te prend ?
- je suis à deux doigts de crever alors que tous va presque bien dans ma vie pour la première fois et je vais même pas pouvoir en profiter.
- on a fait le ménage de notre côté. Un soldat se pose à côté de nous. Il ne reste que les petits gabaris, ça ne devrait pas poser de problème. La question maintenant, c'est comment on va se débarrasser du titan bestial ?Il se contente de nous regarder de loin depuis tout à l'heure, il n'a pas bougé d'un pouce.
- ouais, je vois ça. Je crois qu'on a affaire à un dégonflé. Dit Livai et je m'assois écoutant la conversation des deux hommes.Ce titan n'a pas de couille au propre comme au figuré.
- elle est bonne celle-là.Je souligne en levant le bras.Mais tu as tort sur un point, ce n'est pas un dégonflé qui a peur, c'est simplement un génie.
- un génie, rien que ça ? Ricane le soldat.
- rie autant que tu veux, mais ce titan est plus intelligent que toi sans aucun doute crétin.
- revoilà la casse-pieds. Souffle Livai.C'est pas trop tôt on a failli t'attendre. Est-ce qu'il est plus intelligent que toi ?
- je n'en sais rien, je crois que nous nous valons, mais il n'est rien face à Erwin, Armin ou encore Hansi, si tu veux une idée de son intelligence.
- bien alors nous pouvons le battre.
- toi, tu te reposes pour t'occuper de lui,je me lève,moi, je m'occupe du reste. J'ai décidé que la mort ne m'aurait pas encore aujourd'hui finalement.
- voilà la femme dont...
- dont quoi ? Je m'approche dangereusement.
- dont je suis tombé amoureux.Chuchote-t-il pour être que je sois la seule entendre.
Je souris et mordille ma lèvre inférieure. Livai me fait signe de me rapprocher un peu plus et m'embrasse à pleine bouche.
- je ne veux pas déranger, mais...
- ta gueule ! Dit-on d'une même voix.
- tous à couvert ! Hurle un soldat non loin.
Nous tournons la tête et voyons les projectiles qui viennent vers nous. Je protège ma tête de mes bras et le brun se met devant moi instinctivement. Nous esquivons de justesse, mais pas tout le monde à la même chance, devant nous du sang gicle de partout et ceux qui ont réussis à échapper aux pierres se retrouve écrasé sous les bâtisses qui s'effondrent.
