Lors d'une mission, la plus difficile de sa vie Adria rencontrera le caporal-chef Livaï, le soldat le plus fort que l'humanité est connue, une aubaine pour elle voulant devenir l'agent la plus forte que l'humanité est connue.
Agent dans L' ASR, Agen...
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- Livai fait moi dansez.
Il s'étonne, mais place sa cigarette entre ses lèvres, son regard d'acier se plante dans le mien, je soutiens son regard pendant qu'il se rapproche, son corps se colle au mien et un frisson me parcourt. Il regarde sa main qu'il pose sur ma hanche, son regard remonte le long de mon corps jusqu'à mon visage. Il retire le tube de sa bouche recrachant doucement la fumée vers ma bouche que j'inhale à mon tour. J'observe son si beau visage, remarquant ses traits si fin et délicat.
PDV Livai :
Je replace ma clope au bord de mes lèvres. Elle place sa main sur mon épaule et je prends l'autre dans la mienne entrelaçant nos doigts. Je tends mon bras et le sien sur le côté, je commence à la faire tourner, mais celle-ci m'attire vers elle. Je lâche sa main et retire le tube de ma bouche le plaçant entre mon index et mon majeur, ma main remonte jusqu'à sa taille mes doigts s'enfonçant légèrement, je la tire avec puissance collant nos corps.
- je ne suis pas ton petit ami qui te laisse mener la danse gamine, c'est moi qui commande. Je lui susurre à l'oreille.
- tu m'as regardée danser avec Erza tout à l'heure ?
- je t'ai regardé toute la soirée, cette robe te va à la perfection.
Un sourire s'esquisse sur son doux visage que je scrute millimètres par millimètres. Je ne sais pourquoi, mais d'être à son contact me plaît, je relâche la pression sur sa taille. La clope au bec, j'entrelace de nouveaux ses doigts et retends nos bras, menant la danse. Nos regards se plongent l'un sur l'autre tout le temps de cette danse, nos pieds, nos jambes, nos corps coordonnés au rythme de mes pas, c'est sensuel si je peux me permettre de penser cela d'une femme comme elle. J'aimerais que ce moment ne s'arrête jamais, j'aime ses yeux, son odeur, sa douceur, ses mains posées sur moi. Je frisonne et me demande comment ne pas perdre la tête. Es ce ça la maladie d'amour dont on m'a tant parlé ?
PDV Adria :
Je ne peux empêcher mes yeux de lui montrait mon désir grandissant. Son regard ne regardant que moi, il est ma chance, ma lumière malgré son air sombre. Je donnerais tout pour rester toute ma vie ou du moins quelques heures au creux de ses bras. Cette magie cessera à la fin de cette douce mélodie de piano. Mon corps qui frémit sous ses mains. Quand il me prend dans ses bras, me susurre à l'oreille mon cœur lui ouvre toute les portes et le supplie d'y entrer. Es ce ça la maladie d'amour dont on m'a tant parlé ?
- ferme les yeux. Chuchote-t-il.
Je lui fait confiance et m'exécute, sa main lâche la mienne, celle ci viens se poser son mon corps, ses mains emprisonnant ma taille. Il est si différent des autres, mais il m'est tellement singulier. Mes pied décolle du sol, il me fait tournoyer, il tourne sur lui même me portant par la taille. Il me pose et passe une main dans mes cheveux quand cette douce mélodie derrière nous se termine.
