20. Impatience ☆

185 11 47
                                    

☆☆☆

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

☆☆☆

PDV Livaï :

Après tout cela, nous sommes rentré au QG du bataillon épuisé par toute cette histoire.

Adria prépare du thé et je la regarde assis sur le plan de travail.

- tenez caporal. Elle se tourne vers moi et me donne une tasse.

Je passe mon bras autour de son cou et la tire vers moi.

- l'heure du couvre feu est passé soldat. Il serait temps de retourner dans votre chambre. Je répond.

- et si je n'en ai pas envie ? Elle se penche vers moi avec un air provocateur, mettant son décolleté en valeur.

- je me verrais dans l'obligation de vous punir. Je ne lâche pas du regard sa poitrine.

- ça m'intéresse, elle pose sa main sur ma joue, jadore vous voir rougir mon caporal. Elle me sourit. C'est adorable.

- je vais te montrer si je suis adorable. Je descend du plan de travail et pose ma tasse.

Elle me souri malicieusement en reculant d'un pas. Je l'attrape par la taille et la colle à moi.

J'en ai marre d'attendre, je l'embrasse de toute mes forces et ressert ma poigne sur ses vêtements.

Je lâche sa bouche et me presse de retirer sa chemise de son pantalon avant de le baisser brutalement.

- et si quelqu'un arrive ? Demande telle.

- j'en ai rien à foutre. Je l'embrasse et deboutonne mon pantalon.

Elle maide à baisser mon sous vêtement et je grogne impatient.

Je la retourne et la plaque contre la porte des cuisines.

Je décale sa lingerie en dentelle et entre en elle. Elle se contracte et j'attends que son corps s'habitue à ma présence.

Je m'appuie d'une main contre la porte et commence mes vas et viens.

Elle s'abandonne à moi en penchant sa tête sur mon épaule. Je regarde ses joues qui commencent à rougir.

J'entoure mon bras libre autour d'elle dans un instant de protection et donne des coups de reins.

Sec et violent pour taper le profondément possible.

Nos respirations se lient et l'air dans la pièce commence à se faire rare. Mes jambes musclées prennent le relais pour nous deux quand les siennes la lâchent.

Je cale ma tête dans le creux de son cou et atteins mon apogée. Je sors d'elle essoufflé, elle se retourne et s'effondre de fatigue dans mes bras.

Je l'aide à se rhabiller alors que ses jambes tremblent. Nous rejoindrons ma chambre, pour une fois, je vais dormir dans un lit.

Une agent plus que spéciale // Livaï X OcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant