Lors d'une mission, la plus difficile de sa vie Adria rencontrera le caporal-chef Livaï, le soldat le plus fort que l'humanité est connue, une aubaine pour elle voulant devenir l'agent la plus forte que l'humanité est connue.
Agent dans L' ASR, Agen...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
☆☆☆
- j'en ai marre d'être ici. Je penche la tête en arrière sur ma chaise.
- viens. Livaï se lève et s'avance vers la porte.
- monsieur prend des initiatives. Je le nargue. Salue Erwin. Je lui fais un signe de main et sors de la chambre.
- on va où ? Demande le brun en fermant la porte derrière moi.
- continue dans ta lancer.
- bien.Il lève les yeux au ciel.
Nous sortons du bâtiment et commençons à nous balader. Nous descendons les rues et les villages pendant de longues minutes.
- c'est l'orphelinat où j'ai grandi. Je m'arrête dans une rue en voyant le bâtiment du petit village dans lequel j'ai grandi.
- on peut aller plus loin si tu veux. Le brun se veut rassurant.
Je mets ma main dans ma poche et en sors une enveloppe.
- c'est quoi ? Demande t'il.
- mon salaire pour ma mission au bataillon.
Il lève les yeux au ciel et me suit alors que je fonce vers la porte du bâtiment.
L'endroit est toujours aussi peut entrenu malgré que le bâtiment accueille des dizaines d'enfants.
J'arrive à l'accueil et sonne la cloche accrochée au mur. Livaï arrive derrière moi et pose une main sur le bas de mon dos.
PDV Livaï :
J'ai du mal à me dire qu'elle a vécu ici pendant quinze ans. Entre ses murs.
Une femme arrive au comptoir et salue Adria qui pose l'enveloppe sur celui-ci.
- encore de l'argent ? S'étonne la réceptionniste.
- prends-le et tais toi. Crache Adria ce qui m'amuse intérieurement.
- toujours aussi agréable. Souffle la blonde en face avant de prendre l'enveloppe.
Adria se penche au-dessus du comptoir et prend du papier et de quoi écrire. Elle écrit sur le morceau de papier et le tend à la blonde.
- dis à la directrice que je suis passée.
À l'instant où elle termine sa phrase un éternuement nous fait tous nous retourner.
Une petite fille assise sur un fauteuil nous regarde apeuré et s'excuse rapidement.
- ce n'est rien. Dit Adria en lui souriant. Tu t'appelle comment ?
