Noël

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Une fois arrivé chez les grands parents de Joy, je me rend compte que il n'y a que nous, les parents de Joy et sont frère. Cela ne me dérange pas au contraire cela me permet de me reposer.

Nous parlons de notre nouvelle vie, de ce départ qui fais du bien et pas que à moi, Joy aussi va mieux et je m'en rend compte, elle sourie beaucoup plus.

La soirée ce passe très bien. Même si les voir boire m'a donné légèrement envi. Je sais que Joy n'en a pas trop parler à sa famille.

Le lendemain il y'a tout le monde et plus la journée avance et plus je me sens à l'étroit. Alors que pourtant je les connais, ils ne me veulent pas de mal, mais ils me sollicite beaucoup et cela m'épuisé. Je n'essaie de pas trop le montrer car je n'ai pas envie de encore une fois gâcher le Noël de tout le monde. Alors à la balade je dis à Joy que j'ai pris mes écouteurs et que j'ai besoin d'être dans mon monde. Elle me dit qu'elle est d'accord mais qu'elle veut me tenir la mains pour être sur que que je ne m'enfuis pas. Je lui teins alors la mains ça me fais du bien. Puis elle a les mains tellement douces. Je me décroche petit à petit du monde réel.

(Point de vu Joy)
Je vois sur le visage de Marion et dans la pression qu'elle exerce sur ma mains, qu'elle commence à ce détendre. Je soupçonnais qu'elle commençait à ne pas être trop bien mais je n'étais pas sûr. Puis une de mes tantes (Lore) arrive à mon niveau et me dis :

- Je voulais te poser une question ?

- Je lui répond Oui je t'en pris.

- Elle me dit donc Je me demande comment tu fais pour... comment dire... supporter toutes ses crises, le faite qu'elle doit beaucoup d'alcool...

Elle n'a pas le temps de continuer que je dis :

- Marion ne doit plus depuis un moment et même si ça a été et est encore difficile elle a arrêté et je ne supporte pas des crises, je les accompagne, puis elle ne le fais pas exprès. La tu vois par exemple aujourd'hui ça a été une peut dur, alors elle se met dans son monde pour se détendre.

- Elle me répond Oui mais être dans son monde n'est pas une solution faut qu'elle se confronte à la réalité.

- Je lui dis Tu sais la réalité elle la connais et mieux que personne. Elle a pas eu une vie facile, car elle a une maladie mental, car elle a des traumas qui sont vraiment horrible. Donc tu ne peux pas dire qu'elle ne connais pas la réalité, mais comme tout autiste elle a besoin d'aller dans son monde quand un moment il y a trop de stimulation.

Elle ne répond rien, enfin pour un moment seulement, car enchaîne avec :

- Mais c'est quoi ses traumas comme tu dis ?

Je n'ai pas trop envi d'étaler toute sa vie ni de la faire passer pour une personne à plaindre. Je dis alors :

- Pour faire cour, elle a découvert son cousin qui était beaucoup de chose pour elle, elle l'a trouvé dans la baignoire avec les veine ouverte. Sous le choque elle a crier et après a essayé de se donner la mort avec lui en se noyant à ses côté. Puis y'a aussi ses parents mais je ne vais pas m'étaler dessus.

Elle ne dit rien. Elle me demande comment je sais tout ça ? Je lui répond que en partie elle ma l'a raconté et aussi parce que j'étais là.

Puis mon petit cousin vient vers nous et me dit :

- Tu veux jouer avec nous au chat ?

- Je lui répond Désolé mon grand mais je dois rester avec Marion.

Il me dit qu'elle peut venir jouer avec eux. Mais je lui fais comprend gentiment que ça va pas être possible.

(Point de vu Marion)
Je commence à revoir le village, car nous étions partie nous balader en forêt. Une fois arrivé je retire mes écouteurs cela m'as fais du bien.

Drôle de vie [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant