Professeur : mademoiselle....?Moi : Sarah, Sarah SANTIBANEZ
Professeur : vous êtes étrangère, je suppose.
Moi : je suis béninoise.
Professeur : avec ces traits, cette couleur de peau et ce patronyme ?
Moi : je suis béninoise par adoption.
( D'ailleurs, je porte mon matronyme, selon que PAPA m'a révélé quelques semaines plus tôt, non mon patronyme, comme plusieurs le croit, pensai-je intérieurement ).
Opposé au patronyme, le matronyme, du latin "mater" mère, désigne un nom de famille qui se transmet de la mère à l'enfant.
Il n'est pas spécifique aux mères célibataires. Un enfant issu d'un couple marié, peut porter le nom de sa mère.
Le nom matronymique peut également être, dans certaines cultures, le prénom de la mère d’une personne, rappelé avec le prénom propre de cette personne ; il change donc à chaque génération.
Professeur : bien, je comprends mieux.
J'aime vôtre détermination, toujours assise au 1er rang en amphi, avec vôtre chaise, telle une 1ère dame, suivant attentivement les cours.
Vous donnez l'image d'une étudiante, qui reste consciente, de ce qu'elle est venue chercher à l'université, contrairement à plusieurs.
Des murmures et chuchotements s'élevèrent dans l'amphi.
Pouvez-vous nous rappeler, ce dont nous avions parlé au cours précédent ?
Moi : au précédent cours, nous avions parlé de la psychologie clinique, comme la branche de la psychologie, ayant pour objet, l’étude la plus exhaustive possible, des processus psychiques d’un individu, ou d’un groupe dans la totalité de sa situation et de son évolution.
Nous avions traité de son objectif, consistant à conduire les patients, dans l'accès à la cessation de leurs souffrances psychiques.
Par ailleurs, nous avions vu que le rôle de la psychologie clinique est d'accompagner des patients, qui peuvent être des enfants, des adolescents, des adultes, des personnes âgées ou handicapées, des malades, des prisonniers, ou tout autre individu en souffrance psychique.
Pour finir, nous avions noté que la fonction principale d'un psychologue clinicien est d'organiser le suivi psychologique des patients et des malades, par des entretiens, qui occupent une place généralement importante, dans l'emploi du temps du psychologue clinicien, puis tout au long de sa carrière.
Professeur : vôtre éloquence verbale me fait du bien, mademoiselle. Je le dis ouvertement devant tous vos camarades.
Continuez d'être aussi studieuse. C'est la condition pour un brillant cursus universitaire. Vous pouvez vous asseoir.
Moi : merci docteur ( nos professeurs ont le titre de docteurs scientifiques et sont ainsi appelés par nous, les étudiants ).
PAPA : ma psychologue clinicienne, c'est dans cette option que je veux que tu te spécialises.
Moi : j'étais choquée, très étonnée.
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Sarah : L'amitié avec DIEU, LE SAINT-ESPRIT
Espiritualhistoire chrétienne, inspirée par LE SAINT-ESPRIT, LUI-MÊME pour se révéler à la multitude de toutes les personnes qui désirent sincèrement le connaître et qui LE cherchent de tous leurs cœurs afin de glorifier le nom de JÉSUS-CHRIST. IL s'est chois...