Chapitre 36: La longue nuit de plaisir

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Chapitre 36 : la longue nuit de plaisir

Attention!!! chapitre à caractère sexuel!

*Anthony Aliwa

Je les regarde et ce que je vois ne me plait pas du tout. Rien ne me plais. Qu'est ce qu'elle fout là avec ce type comme ça dans ce bout de tissu et qu'est ce que lui il a à la maintenir comme ça alors que elle ne veut rien de lui

Le monsieur : oui tu nous déranges. C'est quoi ton problème ?

Moi, m'énervant : je vais vous demander de la lâcher sil vous plait

Le monsieur : et en vertu de quoi ?

Elle, essayant de se dégager de son emprise de manière plus violente : Bob ! Ça suffit lâche moi, putain !!!

Bob : non pas que tant que je n'ai pas fini de parler avec toi

Elle, essayant de le pousser de toutes ses forces: ne me fais pas chier tu comprends !

Ils ont commencé à se chamailler violement où je le voyais devenir brutal. Je m approche d'eux et prends la main du monsieur que je saisis pour le placer haut dans son dos et le plaquer lui contre la voiture à côté de nous. Cela a été très rapide, il n'a rien vu venir.

Moi : cher monsieur, qu'est ce qui vous arrive ? Et pourtant la femme ne fait que vous dire qu'elle n'est pas intéressé. C'est quoi votre problème ?

Le monsieur se débattant comme un bon diable : LACHE MOI SALE BATARD !!!

Je tords encore son bras encore plus

Moi : pardon ?

Le monsieur : LACHE MOI J'AI DIT !!!

Moi : pas avant de t'être excusé auprès de la demoiselle

Je vois le monsieur qui essaye de résister alors je tords encore plus son bras à son dos encore plus et pendant plus longtemps où il se met à crier de douleur de toutes ses forces

Le monsieur : c'est bon ! C'est bon ! J'ai compris, je m'excuse. Excuse moi Charelle. Charelle excuse moi

Moi : bien. Je lui dis avant de le lâcher et de reculer tout en ne le quittant pas des yeux. Maintenant casse toi

Je vois le Monsieur arranger sa chemise avec le peu de dignité qui lui reste avant de monter dans la voiture où je l'ai plaqué. Apparemment c'était la sienne. Il finit par démarrer et s'en aller. Je me retourne et la vois parler au téléphoné.

Charelle : non je suis dehors Joëlla. Ne t'en fais pas, je viens déjà. Dit elle avant de raccrocher

Charelle et moi on se retrouve seuls maintenant sur le parking. Enfin je connais enfin son prénom

Moi : eh toi, on ne t'a pas dit que c'était pas prudent de se retrouver seule avec un psychopathe de ce genre. Maintenant si je n'étais pas là, tu allais faire comment ? Et puis c'est quoi cette façon de s'habiller ? C'est quoi ce petit bout de tissu qui te couvre à peine les fesses

Charelle, me regardant: ah toi, fous moi la camp ! Que je t'ai demandé de m'aider ? D'abord même qui t'a sonné ? Qui t'a demandé d'intervenir ? Je n'avais pas besoin de ton aide, je pouvais me débrouiller très bien toute seule. Et quant à ma tenue, tu sais ce que ma robe te dit ? D'aller bien te faire foutre. Mais regarder moi ça. Que c'est toi qui me paye les habits ??C'est toi mon père peut être ? Toi ne me fait pas chier aussi, tu comprends !!! Regarder moi l'autre chouagne comme ça. Dit elle en me toisant clairement

En un laps de temps moi, aussi je la prends et la plaque contre la voiture juste derrière elle et l'immobilisant de tous mon poids

Moi : toi là tu parles beaucoup à mon goût hein. Tu parles vraiment beaucoup

SECONDE CHANCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant