Chapitre 17

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Kaiya ne comprend, elle vient de rencontrer l'Impératrice, et les gars n'ont aucune réaction. Ils sont même gênés. Après, si ça ce trouve elle interrompu quelque chose. Elle se met a ricané. Hiromasa est mal à l'aise, Anami, lui apporte une carafe d'eau et en propose à Kaiya. Celle-ci accepte. Une fois a table, les trois colocataires discutent comme si cela fait des années qu'ils se côtoient. Anami a une question que le taraude, elle rode dans son esprit.

Anami : Es ce que vous savez vous battre ?

Les deux autres se redressent se regardent et explosent de rire.

Kaiya : Mais *fou rire* tu viens d'où toi ?

Hiromasa : Tout le monde sait se battre ici ! Voyons Anami !

Il lui tape l'épaule en signe de réconfort face a la question qui paraît idiote.

Anami : On pourra s'entrainer alors, s'il vous plaît.

Hiromasa : Euh ouais, si tu veux. Mais Je vais t'éclater !

Kaiya : Je vous prend un 1vs2, je vais vous ratatiner !

Anami : On verra bien.

Le repas terminer, ils débarrassent la table et filent se coucher. Demain, réveil à 6h30 pour l'entraînement. Anami se couche avec une sensation bizarre. Son œil, il brûle.


Pdv d'Anami :

Ca recommence, une autre vision... Je ferme les yeux, mon oeil chauffe, Arashi, il est près de moi, il m'emmène. Dans le passé ? Je revoit la jeune femme aux cheveux noir et aux yeux bleue glaces. Et c'est à ce moment que j'ai compris. La "jeune femme" c'est Maman, elle tue, beaucoup, elle nous en a pas dit autant. Elle a l'air d'aimer. Je la reconnais pas, près d'elle, il y a son dragon à elle. Un double d'elle bleuté flotte au-dessus d'elle, le clone est immobile, il attend. Et a chaque mort, le dragon fusionne un peu plus avec le clone. Arashi m'explique.

Arashi : Cela fait pas si longtemps que j'ai fait un pacte avec les Kororo, c'est avec le père de Kuruera, la grand mère d'Akuma, que le pacte s'est fait. Son alter a ton arrière arrière grand père était de lire le future. Il t'as vu toi, et de grand chose. Il a voulait à tout prix que tu es toutes les chances de ton côté. Alors il m'as contacter, j'étais au bout de ma vie, mais grâce au pacte je suis encore vivant et puissant. Et je suis là pour t'aider Anami, J'ai pris les qualité de ton arrière grand mère et de ta mère ( même si de base je devais me lier a Kage ).

Anami : Je vois pas où tu veux en venir...

Arashi : Regarde mieux le dragon de ta mère.

J'y crois pas. C'est...c'est moi ? Je suis Arashi ?

Arashi : C'est bon ? Anami nous sommes une seule et même entité, j'ai failli ne pas survivre à la mort de Kuruera. Mais j'ai survécu et je suis là, maintenant regarde moi.

Je me retourne, Arashi est bleuté, c'est plus un dragon. Non... ça n'as jamais été un dragon...c'est moi, cela l'as toujours été. C'est juste que je n'avais pas bien observé. Il ressemble au clone de maman. Je regarde la scène qui se déroule devant mes yeux. Maman attaque une femme, soudain, Arashi (moi), l'invite et l'aide a la tuer. Je met mes mains sur ma bouche, non seulement Arashi est ce qui paraît être mon âmes mais en plus, c'est moi...c'est moi, qui est tué tous ces gens... Une montagne de cadavre apparaît devant moi... Et au sommet...Non...C'est pas possible...


Pdv Narrateur :

Akuma et Dabi sont épuisé de leur "repas", c'est pas un "repas" c'est un banquet ! Deux longues heures à table sans bouger. C'est long. Enfin, ils sont retourner dans leur chambre respectives. Akuma enlève ses armes et son manteau. Elle se jette sur son lit, depuis la mort de l'ami de Juki, il y a quelque chose de bizarre. Elle comprend pas, elle est perdue. Oui perdue. Elle fait les cent pas, attend, attend quoi ? Elle ne le sais pas. Elle prend un tabouret et le balance violement contre le mur. Et rien. Rien. Rien ? C'est ça, elle a trouver, où est cette voix qui l'incite à tuer ? Cette appelle au sang ? Cette aide qui lui dit d'achevé ses victimes ? Disparu, envolé ! D'où viens cette voix bon sang ! Elle ne trouve pas, Arashi ? Elle n'est pas sur. Sur ce elle essaie de s'endormir. S'endormir ? Non, trop risqué. Elle s'adosse sur le mur, son sabre poser sur son épaule. Elle ferme les yeux, mais pas totalement. ( Pose de Kenshin le Vagabond pour les connaisseurs;) ) Son sommeil, n'est pas du tout profond, elle surveille.

 ( Pose de Kenshin le Vagabond pour les connaisseurs;) ) Son sommeil, n'est pas du tout profond, elle surveille

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Dabi de son côté, il ressort la carte de la ville, il raye le bar et entoure le hangar. Il inscrit "1ere division : Toga". Il range la carte dans son manteau et se laisse tomber sur son matelas. Il prend une grande inspiration.

Dabi : Ouh ! Je pue moi ! Allez à la douche.

Il rentre dans la cabine de douche et laisse l'eau tiède couler sur son corps. Il baisse la tête. Regarde ses bras brulés. Sa teinture sombre coule, sa gorge se serre un peu. Anami... dans quoi ils l'ont emmener. Au fond de lui il s'en veut. Au bout du compte, il ne peut rien faire. L'humain est comme ça. Il a soif de pouvoir, il est égoïste, et parfois, dans le pire des cas il en devient aveugle...











Il fait sombre, le serviteur toque à la porte. On lui répond qu'il peut rentrer, il pousse les deux grands battants de métal avec difficulté. Une fois entré dans la pièce, il se met a genoux, et tend devant lui une enveloppe. Une jeune femme la saisit, celle-ci est toujours aux-côtés de son empereur. L'empereur est sa famille. Elle est vêtu d'un kimono sombre, les cheveux rassemblés en chignon serrés et ses yeux parfaitement maquillés lui donne l'allure d'une entité mystique et terrifiante. Son nom ? Elle ne le connait pas. Soit on l'appelle "princesse" ou "votre altesse". C'est la fille de l'empereur. Elle coupe l'enveloppe avec ses ongles et sort le papier blanc. Elle le déplie et lit à son père :

"A l'attention de l'empereur,

L'impératrice est dans le repère de la division de Toga, elle a déjà fait des ravages. Elle a bien marquée son retour. Elle n'est pas seule, Dabi est présent aussi.

Une autre personne a été repéré dans le même secteur, ils nous semblent assez jeune 15 ans maximum. Et cela peut paraître fou, mais son alter est estimer à 10 sur 10.

Le rapport de la division d'espionnage 2"

Une fois fini, elle tend la lette à l'empereur, celui-ci se met a rire. Un rire dissonant résonne dans la pièce...

AnamiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant