Moi - Et du coup tu compte faire quoi ? Tu vas accepté ?
Il soupire tout en me regardant l'air désespéré, ah gros c'est toi tu voulais bosser.
Moi - *Sourire* parce que moi je veux bien te donner toute mes économies mais *riant* pas sure qu'il y'est...
Il ouvre la porte et je l'entends les saluer puis les diriger vers le salon. ______________________________________
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Je tourne ma tête vers l'encadrement de la porte du salon, et je vois deux personne âgée. Le Noor sur leurs visages m'a amèrement étonné, sûrement ses parents, sa mère est voilée et très petite de taille elle a des grosses joues et un corps bien en chaire. La même tâche que son fils sur le front et le menton. C'est ça qui m'a mis la puce à l'oreille, c'est sur maintenant. C'est sa mère.
Son père est par contre très grand, comme lui, je dirais 1m95 et ce qui m'a marquer c'est la sagesse de sa barbe toute blanche et ses yeux vert, rien à voir avec son impoli de fils qui dégage que de la haine, lui, il dégage de la bienveillance à perte de vue, je ne peux m'empêcher de le fixé, mais il avance donc je baisse légèrement les yeux.
Ensuite derrière eux, ils y'a deux jeunes hommes tout aussi grand que Saphir et son père, ainsi qu'une jeune fille très élancé, sûrement ses frères et sœurs. Je ne peux pas m'attarder sur leurs physiques car...
A la fin de ce défilé, j'aperçois Saphir le sournois originel, il a dû baisser sa tête pour entrée dans mon salon, tellement qu'il est grand. Pas besoin de le préciser.
J'ai laisser mes pensées l'espace d'un instant l'imaginer se cogner violemment contre l'encadrement de cette porte. Ça m'aurais fais plaisir, malheureusement ce n'est pas arriver.
Mon père se lève, par respect pour toute les personnes entrée au salon.
Papa - As salam Aleykoum.
Eux - Aleykoum Salam.
Ma mère, mon frère, et ma soeur se lèvent a leurs tour afin de leurs faire la bise, moi je reste assise, choquée par la situation, c'est entrain d'arrivé. Ce jour est là. Il est entrain de se produire.
Maman - Vous avez trouvez facilement ?
Sa mère - Oui ma chérie, ne t'inquiète pas.
La voix de sa mère elle est si douce, un peu comme lui mais en femme, c'est tellement étrange ce que je ressens tout de suite. Je fronce les sourcils en regardant mes mains s'entremêler, je ne suis pas impoli, c'est pas dans mon caractère. Mais mon corps et mon cerveau sont en total état d'absence.
Je te passe les présentations, je suis resté assez silencieuse tout du long, j'ai parler peut être deux ou trois fois à tout casser. Je ne sais pas où me mettre, je suis trop mal à l'aise.