Moi - Et du coup tu compte faire quoi ? Tu vas accepté ?
Il soupire tout en me regardant l'air désespéré, ah gros c'est toi tu voulais bosser.
Moi - *Sourire* parce que moi je veux bien te donner toute mes économies mais *riant* pas sure qu'il y'est...
J'essaie de trouver un peu de positivité dans tout ça même si c'est difficile. Je me dis que chaque épreuve nous permet de grandir et d'apprendre. Je vais essayer de trouver la force de surmonter cette tristesse et d'avancer vers un avenir meilleur.
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Je n'arrive plus à me concentrer sur ma conduite, donc je m'arrête, avant de me garer au milieu de nul part. Je n'ai jamais ressenti une tel détresse émotionnelle et psychologique de toute ma vie entière.
J'en ai littéralement des crampes à l'estomac. Mon coeur ne cesse d'accélérer, et ce dès que j'imagine le visage de Saphir, c'est à dire toutes les secondes de chaque minutes.
Mes larmes ne cessent de couler sur mes joues, j'ai trop mal. Une séparation c'est toujours douloureux, surtout quand tu a des sentiments pour la personne. Mais je n'ai jamais eu autant mal à cause d'une séparation de toute ma vie entière. Je n'ai qu'une envie c'est de faire demi tour.
Si je peux être honnête avec toi, c'était pas seulement l'homme de ma vie en y repensant bien. Oui, c'est l'amour de ma vie, et j'ai tellement mal à l'idée de le laisser partir, de le voir me filer entre les doigts. Tout ça parce qu'il ne veut pas être objectif.
Moi - *pleure* Mais putain !
Je repense un instant au visage de Lisa éclater sur le le sol, puis je sors de la voiture avant de faire les 100 pas. Il me manque déjà, je n'arrive pas a voir, non. Je n'arrive plus à voir le mauvais en lui malgré ce qu'il vient de faire.
Je ne veux pas qu'on se sépare. Il ne peut pas me faire ça, il a pas le droit. Pas après tout ce que j'ai endurer pour lui, pas après tout ça. Je vais dans mon journal d'appel, et je l'appelle en masqué. Je m'en fiche, il vas pas se débarrasser de moi comme ça.
Appelle entrant : #31#Saphir.
Le numéro que vous avez composé n'est pas-
Un violent haut le coeur me prends, dans la panique je remonte dans ma voiture avant d'appeler Oussama. Je ne sais même pas à quoi je joue, je suis juste complètement paniqué, et je veux pas lâcher l'affaire.
C'est paradoxal dans un sens parce que ce moment je l'ai quand même attendu longtemps. Et puis il arrive et je ne veux plus qu'on se sépare. C'est étrange comme sensation, mais j'agis sans vraiment trop réfléchir. Je fais comme bon me semble, et ce quitte à passer pour une folle.
