Gardienne • The Avengers

ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ ɪɪɪ

Point de vue inconnu extérieur :

(Lieu Russie)

Il faisait nuit, seules les lumières des lampadaires éclairaient les routes goudronnées. Les étoiles étaient voyantes et reflétaient dans le ciel noir de la nuit. Un vent frais passa dans l'air, le bruit d'un véhicule résonnait. Les rails en fer tremblaient sur le sol de terre. Un train portant un nombre de wagons roulait sur les rails de fer. Juste à côté, un bâtiment démoli par l'âge résidait, il n'y avait presque plus rien. Les fenêtres étaient cassées et détruites. Le bâtiment ressemblait à une vieille usine abandonnée. Il restait que l'encadrement des portes et fenêtres. Les murs en pierres, ravager par la végétation sur l'extérieur. Puis les poutres en acier ainsi que le toit en tuile non régénéré. Une faible luminosité apparue à l'étage supérieur. Des armes et des tableaux religieux étaient positionnés un peu partout.

Au beau milieu, une jeune femme était attachée sur une vieille chaise en bois, les mains liées au dossier de la chaise. Trois hommes étaient debout, la regardant fixement sans rien dire. La jeune femme était d'une beauté froide, son carré chevelue roux ornait le tour de sa tête, elle portait une fine robe noire ainsi que des collants transparents noir. Sur ses paupières, une fine couche de maquillage puis sur ses lèvres, un rouge à lèvres foncé presque violet.

L'un des hommes était plus vieux que les deux autres, cheveux gris, yeux féroces. Il portait un uniforme de général russe vert puis des souliers noirs. Les deux autres étaient plus jeune, cheveux marrons chêne, yeux foncés presque noir, barbes de deux jours puis des vêtements simples.

L'un des hommes, qui se trouvait à droite de l'âgé, s'avança vers la jeune femme sans là quitter des yeux. De sa main droite, sa peau vint claquer le visage de la femme. Elle émit un gémissement de douleur. Par le choque, sa tête vira vers l'autre côté avant de redevenir droite.

"Je n'imaginais pas cette soirée ainsi, avait dit le vieil homme en russe avec un sourire affiché sur son visage.

- Je sais bien comment vous l'imaginez. Croyez-moi, c'est mieux, répondit la jeune femme en russe.

-Vous travaillez pour qui ? Lermentov, c'est ça ?

Le même homme, qui l'avait frappé, appuya sur le dossier de la chaise afin de la faire balancer en arrière. Derrière la jeune femme, un trou y était. Si l'homme l'avait lâché, elle serait tombée puis probablement morte.

- Il s'imagine, qu'on a besoin de lui pour envoyer la cargaison ?

- Je croyais le Général Solohob chargé des exportations.

- Solohob ? Un simple intermédiaire. Vos informations périmées vous trahissent. La célèbre « Veuve Noire ». Avec un si joli minois.

- Vous me trouvez vraiment jolie ? Demanda la femme avec provocation.

L'homme fit signe à un des deux hommes. Celui-ci s'avança vers elle puis prit sa mâchoire entre sa main droite avant de la tordre.

- Dites à Lermentov qu'on se passera de lui, pour le transport de nos cargaisons. Dîtes lui que c'est un homme fini. En fait...

L'homme s'avança vers une table où était placée plusieurs outils. Il prit l'un d'eux. C'était une grosse pince en métal.

- Vous feriez mieux de l'écrire."

La mâchoire toujours tordue, elle lâcha un bruit de crispation. Une sonnerie de téléphone retendit dans le bâtiment, l'homme le plus éloigné des deux autres, porta son regard vers la poche de son pantalon puis sortit le téléphone puis décrocha.