Recuerdo

Chapitre 13

Buck stressait. Aujourd'hui, il était invité chez la grand-mère d'Eddie. Il y aurait aussi sa tante Pepa.

Son homme l'enlaça par derrière puis enfouit son visage dans son cou.

- J'aime que tu portes ce parfum.

- Je n'arrivais plus à la mettre depuis notre première nuit, car il m'y faisait y penser. Mais maintenant, j'ai retrouvé mon beau militaire, alors je peux le remettre.

Il ferma les yeux pour apprécier les baisers de son brun sur son cou.

- Tu es bien tendu.

- Je vais rencontrer deux des femmes de ta vie. Je suis bien plus stressé que sur une intervention.

Il sentit son sourire sur sa peau.

- Tu n'as pas à être aussi stressé. Elles savent que Christopher et moi, sommes heureux grâce à un homme, mon homme, Evan Buckley. Elles veulent rencontrer pour te demander comment tu fais pour me supporter.

Il sourit.

Il se tourna dans ses bras puis ils s'embrassèrent tendrement.

- Allons-y.

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Christopher rit en le voyant serré dans les bras de la grand-mère de son père alors que ce dernier souriait. La grand-mère posa ensuite ses mains sur ses joues.

- Qué niño más bonito. Je comprends tu es amoureux de lui, Edmundo.

Il rougit. Il avait une base d'espagnol, il avait donc compris qu'elle avait dit qu'il était beau.

- Isabel, laisse-moi le saluer.

- Désolée Pepa, mais il est si adorable.

Il fut ensuite prit dans les bras de la tante Pepa, mais moins longtemps.

- Nous nous rencontrons enfin. Eddie nous a beaucoup parlé de vous.

- C'est un plaisir. Il m'a aussi parlé de vous. Même Christopher.

- Si c'est notre petit Prince, alors ce n'était que des choses gentilles.

Il leur sourit.

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Il avait été un peu gêné par les gestes tendres d'Eddie devant les femmes de sa famille, il rougissait à chaque fois. Et la grand-mère trouvait ça adorable.

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Ils étaient dans le lit d'Eddie. Ce soir, il dormait chez son homme.

- Tu vois, tu n'avais pas à stresser, elles t'ont adoré.

- Elles sont vraiment adorables.

- Elles ont vu combien on était heureux avec Christopher depuis que tu es entré dans nos vies.

Son homme caressa sa joue gauche puis l'embrassa. Il posa sa main droite sur le dos de son brun, puis il la glissa sous son tee-shirt. Il adorait avoir un contact avec la peau d'Eddie.

Quand leurs lèvres se détachèrent et qu'il sentit celles de son homme se poser sur son cou, il le repoussa.

- Hors de question que tu me marques encore.

- Mais la plupart ont disparu.

- Et ? Je ne veux plus me remettre du fond de teint. Une plombe pour le mettre, et tout autant pour l'enlever.

- Mais j'aime suçoter ta peau.

- Mon corps entier est couvert de peau, pas seulement mon cou.

- Alors...

Son tee-shirt lui fut enlever.

- Eddie...

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Il avait onze suçons sur son torse. Cinq à l'intérieur de ses cuisses. Et vu le sourire de son amant, ce dernier était fier de lui.

- Un jour, tu me le paieras.

- Je n'attends que ça.

- Vraiment ?

Il se plaça au-dessus du brun puis il l'embrassa passionnément. C'était à à son tour de marquer son homme.

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Christopher avait ri en voyant les traces rouges sur le cou et la nuque de son père. Et il lui avait dit qu'il aimait qu'il dorme avec son papa car le lendemain, il avait toujours un très bon déjeuner. Il l'avait enlacé après avoir posé un baiser sur son front.

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Ils sortaient de l'appartement des Diaz. Ils allaient amener Christopher à l'école, puis ils iraient avec son homme à la caserne pour leur garde. Mais avant de rentrer dans la voiture, il vit son brun se figer et perdre son sourire. Il se demandait ce qu'il avait quand il entendit le petit crier ''Maman''.