Chapitre 9 - Résistante

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Au petit déjeuner, elle était souriante. Malgré le fait qu'Armin l'ai remballé hier elle ne voulais inquiéter personne. L'amour c'est trop compliqué dans un milieu comme celui ci. Dans un milieu où chacun peut mourir à chaque instant. Même elle. Même lui. Alors elle riait à l'agonie avec Sasha, elle faisait des farces à Jean et elle souriait avec Connie.

Et sur l'autre table, Armin lui n'arrive pas à l'oublier. Je dois apprendre à oublier. Et en face de lui, Annie, s'inquiétait de le voir dans cet état. Laissez moi tranquille. Quand Levi leur annonça la fin du petit déjeuner, il fut surpris de voir Lucile se diriger vers la salle des équipements, et il regretta de ne pas allé la voir cette nuit douce de printemps.

Le paysage vert, entouré de quelques coquelicots et de ce vent frai faisait sourire Armin. La brise sauvage emmena deux biches au loin, puis avec le bruit des brindilles de bois, elle s'enfuirent. La vie serai simple si tu lui disait tout Armin non ? Non.

Elle naviguait comme pour la première fois entre les arbres. Ce fut comme si la liberté l'appelait de tout ces poumons. Elle ne se sentait plus faible. Maintenant c'était le plus forte du monde. Et plus tard quand nous aurons découvert le dehors des murs, nous vivrons d'en paix. Soudain une goutte tomba sur son nez. Il était sur le point de pleuvoir. Le temps se gâtait et devenait gris. Levi leur fit signe de se ranger à l'intérieur. Dans le grand hall, Armin et Lucile, comme collés par la foule se retrouvaient à côté et il la regardait avec des yeux désolé de chien battu. Elle lui pris le poignet gauche, encore trempé et entoura sa main avec. N'avait elle aucun défaut ? Ce petit geste ainsi que sa poitrine dévoilée par la pluie firent l'effet immédiat d'un choc dans le bas ventre de ce cher Armin. Il avait si honte d'avoir tant de désir pour elle. Son érection était tellement en ébullition qu'il en avait mal. Bordel Levi va t'il parler encore longtemps ? J'ai envie d'elle maintenant. De lui dire tout ce que je ressens et encore plus qu'elle m'appartienne.

- Durant cette expédition de deux semaines, vous serez séparé en huit groupe de deux selon vos aspirations mentales ou physique. Le reste qui ne sera pas nommé restera au QG pour préparer la prochaine expédition. S'écria Levi. C'est Hange qui nomme les groupes alors je m'en remet à elle.
- Bonjour à tous ! J'espère que vous allez tous bien. Le temps n'est pas magnifique ? Les grenouilles, les limaces et les escargots...
- Abrège.
- Oh ce que tu peux être rabat-joie. Regarde leur mines déconfite, il faut bien les entretenir ces petits.
- J'ai dis abrège.

Elle poussa un long soupir. Elle annonça les groupes.

- Eren tu sera avec Sasha, Jean tu sera avec Mikasa, Connie avec Historia, Armin avec Lucile, Ymir avec Reiner, Bertholt et Annie, Thomas et Frock et enfin Hitch tu sera avec moi. Allez préparez vos affaires nous partirons demain à l'aube.

Ils s'échangèrent un regard, elle avait le sourire aux lèvres et lui non. Elle lui fit un regard interrogateur et il détourna la tête de peur de faire quelque chose de mal.

Quelques heures plus tard, on toqua à la porte de Lucile. C'était Mikasa. Elle venait prendre de ces nouvelles à plus de 22 heures, c'était bien rare.

- Mikasa qu'est ce que...
- Chut ! Levi pourrai nous entendre. Je voulais te parler de quelque chose.
- Et bien entre.

Elle s'assit sur le lit et Lucile sur la chaise de son bureau rempli de portrait et de paysage sur des feuilles trop fines.

- Écoute, il faut que tu te détache d'Armin. Il t'as planté et tu lui cours encore après ?
- Quoi mais... comment est tu au courant ?
- Je t'ai vu hier soir par la fenêtre attendre jusqu'à pas d'heures. Laisse le il n'en vaux pas la peine et puis Annie est déjà dessus même si elle ne l'avouera jamais. Tu te fais du mal.
- Je sais Mikasa, mais je l'aime vraiment tu sais... et ce voyage sera l'occasion de mieux nous connaître puisque qu'on est ensemble ! Ce n'est pas merveilleux ? Oh aller fait pas cette tête, je suis solide.

Mikasa soupira et sorti de la chambre. Lucile se retourna vers son bureau et pris une nouvelle feuille. Elle pris son crayon et commença à dessiner les traits du blond. Les gouttes de larmes perlaient sur la feuille. Toute la nuit elle resta dessiner ses yeux bleus océan, les contours de son visage et de sa mâchoire carré, son petit nez. Elle s'endormit sur sa feuille à 3 heures passé.

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