Chapitre 12 - Nuit d'amour

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Bonjour ! Tout d'abord merci d'avoir fait un joli accueil à ma première fanfiction sur Shingeki No Kyojin ça me fais très plaisir. J'espère avoir répondu à vos attentes. Je tiens à vous prévenir d'un changement de style d'écriture pour plus me rapprocher d'un style roman (sans sauter de lignes tout ça...). Je fais un essai et dites moi si cela vous conviens, sinon retour à la méthode initiale. Passez un agréable moment de lecture.

Jade.

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Ce matin là, le corps d'Armin était blotti contre celui de Lucile. Sa main enroulée autour de son ventre, le nez dans ses cheveux. On ne sait pas vraiment comment cela a pu arrivé mais voila, les deux sont collés l'un à l'autre. Lucile se réveilla la première et quand elle eu compris qu'Armin était contre elle à moitié nu, son corps avait réagis aussitôt en essayant de se dégager de son étreinte en vain. Il la serrait tellement fort qu'elle avait du mal à respirer. Seulement, à ce moment, elle senti le sexe dur de son begin contre ses fesses. Oui ce n'est pas de sa faute si son corps réagis comme cela c'est normal mais quand même. L'erection étant de plus en plus forte, elle était gêné et à la fois un peu excité de cette situation. Elle avait tellement attendu ce moment et il est enfin là. Elle se rappelle de ces nuits où elle rêvait de leur première fois ensemble.
- Bonjour murmura-t-il encore endormi.
- Bien dormi ?
- Comme un bébé.
- Tant mieux. Tu pourrai juste moins me serrer... j'étouffe, demanda t'elle.
- Oui excuse moi.
Il relâcha l'étreinte et les deux se mirent face à face, toujours allongé dans le lit.
- Cette nuit tu as fait un cauchemar et c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour te calmer. Je n'aurai peut-être pas du, s'inquiéta-t'il.
- Ah oui un cauchemar ? Je ne m'en souviens pas.
- Tu pleurais je crois, tu as même crié « laissez moi partir », « je ne connais rien de ma garce de mère », « je ne dirai rien ». Ça m'as fais froid dans le dos et peut importe ce que je disais tu continuais alors je t'ai pris dans les bras et tu t'es calmé.

Il se leva du lit et elle voulu faire de même mais il l'arrêta avec un geste de la main. Il se dit que c'est peut être le temps d'arranger les choses.
Puis il senti son érection monter à la vue de la femme qu'il aime dans son lit, en chemise de nuit, époussetant parfaitement la forme de ses seins, et ses cheveux ébouriffés. Il parti se soulager dans la salle de bain, sous la douche chaude, et s'habilla pour faire le petit déjeuner.
Dans la tente, il y avait un réchaud, un endroit réfrigéré, un lit, une armoire, et une cabane pour faire ce qu'on pouvais appeler une douche. Ce n'étais pas le grand luxe mais ils n'étaient pas là pour les vacances mais pour travailler. Deux semaines qui plus est. Deux semaines à me réveiller aux côtés d'Armin. Quel bonheur pensa t'elle. Il était là, dos à elle, en jean noir moulant, et teeshirt blanc qui faisait ressortir son dos musclé et ses bras, entrain de préparer le petit déjeuner pour elle. Inimaginable. Elle essaya de se pincer plusieurs fois pour se réveiller mais non c'était bien réel.
- Combien d'œufs veut tu ?
- Deux s'il te plaît, répondit Lucile.
Elle entendit les coques se briser, puis le chant des œufs dans la poêle.
- Dis moi Armin, demanda-t-elle soudainement, pourquoi cela tu gêne tant qu'on dorme ensemble, on est amis après tout.
Il se retourna.
- Disons que je n'ai jamais dormi avec une fille auparavant.
Et puis tu n'es pas seulement une amie, pensa-t-il pour lui même.
- Je comprends, moi non plus je n'avais jamais dormi avec un garçon. C'est gentil de m'avoir rassuré cette nuit.
Elle s'attacha les cheveux. Il se retourna vers les fourneaux et ajouta du sel et du poivre aux œufs. Elle sorti du lit. Elle s'approcha de lui et s'enlaça par derrière, puis elle posa sa tête sur son épaule. Il fut d'abord surpris alors il lâcha un haut-le-cœur puis il lui embrassa le front. Armin lâcha le manche de sa poêle, se retourna et la pris par les jambes et la taille, comme une princesse, et la déposa délicatement sur le lit. Maintenant c'était elle qui était déconcerté.
- Je t'ai dis de ne pas bouger Miss Je-Me-Mêle-De-Tout.
Il retourna vers la poêle, déposa les œufs dans l'assiette, lui versa du café dans une tasse, sorti les tartines grillés et y étala du beurre.
- Bon appétit, s'écria-t-il.
- Oh c'est merveilleux merci mille fois Armin.
- C'est pour me faire pardonner du lapin de l'autre fois, avoua-t-il.
- Tu es tout pardonné mon ami.
Mon ami.
- Merci, je vais rejoindre les autres, je dirai que tu es indisposé ce matin prend du temps pour toi, à tout à l'heure.
Puis il parti. Mon ami ? Mais quelle conne d'avoir sorti ça. Maintenant il pense qu'il est simplement un ami, pensa-t-elle devant son café au lait. Il s'était souvenu qu'elle détestait le café noir. Elle fini son petit déjeuner, pris une douche et s'habilla. Puis dans les 10 heures du matin elle rejoignit les autres.

Sur le tableau des taches, elle était assigné à l'entraînement d'Eren pour sa transformation en titan. De quoi lui changer les idées. Hange était là.
- Je croyais que tu était malade, constata Hange.
- Ça va mieux donc je viens vous aider. Sérieux Hange me mettre avec Arlert ! T'avais pas meilleure idée pour me mettre mal à l'aise ?
- Oh si mais tu serai déjà partie je crois.
- T'as de la chance d'être ma supérieure Hange.

De son côté, Armin s'entraînait sans relâche dans la salle de sport pour espérer avoir un jour le niveau de Mikasa. Cette nuit avec Lucile l'avait re motivé et il redoublait d'effort pour lui plaire. Alors qu'il faisait des tractions, Annie débarqua pour faire son entraînement de boxe quotidien.
- Alors cette nuit avec Delacroix ? Vous vous êtes si bien amusé qu'elle était indisposée.
- Serai-tu jalouse Annie ?
- On est là pour travailler Armin, pas pour ses plaisirs personnel.
- Nous n'avons rien fait, affirma Armin.
Il changea de machine pour travailler ses abdos.
- Je n'ai jamais demandé à être dans la même chambre qu'elle, lâcha-t-il.
- Et ce qui s'est passé entre nous tu l'oublie ?demanda t'elle.
Il détourna le regard et se concentra sur ses exercices. En effet, il y a quelques mois, alors que Lucile était enfermé dans cette cave, Armin était tellement désespéré qu'il avait besoin de réconfort. Alors une nuit il est allé dans la chambre d'Annie, ils ont discuté puis elle l'as embrassé. Au premiers abord ce baiser était dégoûtant pour lui, puis il ne pensa plus à Lucile et ces lèvres fondirent dans celle d'Annie. Après cet événement, Armin fut si déçu de lui, qu'il l'évitait à tout prix. Mais il n'avais jamais osé lui dire qu'il ne ressentais rien pour elle. Elle était là pour lui mais pas comme il le fallait.
- Annie je sais ce que tu pense mais moi je ne pense pas pareil pour toi... enfin je veux dire toi tu m'aime bien mais moi je t'aime bien en ami, fini-t-il par avouer.
Elle détacha ses gants, les posèrent et sorti de la salle. Armin s'en voulait de lui faire du mal mais c'était ainsi. Maintenant il pouvais vivre son histoire avec Lucile sans blesser personne.

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