Chapitre 16.1 : Nuit torride

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Bonjour à tous ! J'espère que votre lecture de ma fanfiction c'est bien passé. Je sais que certains on été déçus de la fin brutale. Pour soulager votre peine je vous propose un chapitre alternatif avec lemon qui saura vous mettre du baume au cœur après cette fin tragique...
Elle se passe dans la semaine où Armin et Lucile sont en mission dans la même tente. Cette scène se passe après qu'Armin ai recalé Annie à l'entraînement.
Bonne lecture.

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La pluie tombait, je me hâtait de rentrer dans la tente. Je me demandais où était Armin. Quand je rentrais, n'entendît l'eau couler dans la douche. Je me dis qu'il avait du avoir une rude journée, je ne l'avais pas vu, il a du s'entraîner toute la journée. Je me dépêche de préparer des sandwiches pour qu'il puisse manger convenablement. Je suis dans la cuisine, dos à la porte de la salle de bain. Soudain celle ci s'ouvrît. Ne bouge pas. Surtout ne bouge pas. J'entends des bruits de pas. Il s'approche de moi. Calme toi respire fais comme s'il n'était pas là. Je sens son souffle dans mon cou.
- Qu'est ce que tu prépares de bon ?
- Je- Je me suis dis que tu aurai peut-être faim après ton entraînement intensif... alors je t'ai fais un sandwich.
- C'est gentil ça.
Il passe ses bras au dessus de moi et attrape le sandwich par dessus ma tête. Mon cœur bat vite. Pourquoi je perds mes moyens... il est si proche de moi. Il mange. Il souris. Il a l'air d'aimer.
- Hum merci c'est très bon.
- C'est pas grand choses tu sais...
- Tu t'occupe de moi comme personne... si, c'est une grande chose.
Je sens le rose me monter aux joues. Je me retourne. Il est maintenant en face de moi et je remarque qu'il a simplement un teeshirt et un caleçon, ses cheveux sont encore mouillés. Oh mon dieu.
- Tu ne vas pas t'habiller ?
- Pour quoi faire ?
Je te déteste Armin.
- Pour dormir...
- Qui te parle de dormir ?
Ok la c'est trop. Je passe en dessous de son bras et je me réfugie dans la salle de bain. Je ferma la porte à double tours. Non mais ça va pas de me dire ça ! Il a peter les plombs ? Lui qui est si... réservé. Bon sort de cette salle de bain, il va finir par croire que tu t'es enfuie. Bon d'accord c'est ce que j'ai fais mais la situation allait déraper... je me brosse les dents, je me met en pyjama et dodo. J'entends des bruits de pas dans la pièce à côté. Et si je l'avais vexé ? Il fait un pas vers moi et je m'enfuie comme une idiote ! Vite cours.
Je sort de la salle de bain en trombe.
- Attends ne part pas ! Je suis deso-
- Je n'allais pas partir.
Il me tends ses bras, comme si il me demander de me cacher dedans.
- Aller viens.
Je m'avance doucement pour aller me nicher sur son torse. Il me serre fort.
- Pardonne moi, je t'ai fais peur, me chuchote t'il.
- Non tu ne m'as pas fais peur, tu m'as juste surpris...
- Je ne recommencerai plus.
- Non ! Enfin... ça me dérange pas si tu recommence... maintenant je suis prête je sais que tu as changé.
- Je n'ai pas changé Lucile. Je me suis juste rendu compte que je voulais passer ce moment spécial avec toi, parce que je t'aime.
- Tu... m'aimes ?
Il eu un moment de blanc. On se regardais dans les yeux. Ses yeux bleus transperçait les miens. Le désir. Voilà ce qu'il y avait au fond de ce regard si puissant. Qu'est ce que je fais maintenant ? Dans un élan de folie, je m'approche de lui, me mettant sur la pointe des pieds. Nos lèvres étaient si proches l'une de l'autre. Il mit délicatement sa main dans mes cheveux et approcha encore plus mon visage. Quand je senti ses lèvres humides toucher les miennes, ce fut comme une révélation. Ce péché m'avais fais comprendre l'entièreté de mon amour pour Armin Arlert. Malgré moi, nos corps se rapprochèrent et le baiser devient de plus en plus langoureux. Il était si doux avec moi... Non. Garde le contrôle Lucile. Il me dit entre deux baisers :
- Toi aussi tu-
- Tait toi...
Je lui pris le menton et intensifia notre embrassade. Il se décolla de moi, il me pris par la main et m'emmena jusqu'au lit. Donc c'est maintenant...
- Armin je... je ne l'ai jamais fait.
- Moi non plus ma belle, ne t'inquiète pas j'irai à ton rythme d'accord ?
Armin n'avait il donc aucun défaut ?
Il m'installe sur le lit, et nous continuons de nous embrasser. Mon dieu que c'est bon. Je sens sa langue vouloir passer, j'ouvre un peu plus la bouche et il s'y jette comme un lion affamer. Mon corps réagissais tout seul à présent, et mon cerveau avait cesser de fonctionner. Il descendait de plus en plus bas, allant de mes joues à mon cou. Ces bisous étaient délicats et chaud. Il n'était pas agressif et pourtant je sentais tout le désir qu'il m'apportait avec de doux baisers.
Plus il descendais, plus je sentais ma partie intime de mouiller et mes seins se dresser. Il y arrivait justement.
- Je peux ?
Je fit un bref mouvement de la tête en signe d'approbation. C'est ainsi qu'il retira ma chemise, boutons après boutons, lentement, en me regardant dans les yeux.
- Dépêche toi Armin...
Il constata avec surprise que je n'avais pas de soutien-gorge. Mes tétons pointaient et il ne les firent pas prier en les attrapant avec ses dents et sa langue. C'était comme si des milliers de petites décharges électriques se rependaient dans mon corps. Puis, après de longues minutes de torture, il descendit plus bas, embrassant au passage mon ventre. Il saisit l'extrémité de chaque côté de mon pantalon et le fit glisser le long de mes cuisses et mes jambes. Il m'embrasse l'intérieur des cuisses.
C'est trop j'en peux plus... j'en veux beaucoup plus. Comprenant mon impatience, il se hâta a enlever ma culotte qui fit virevolter dans la cuisine. Il commença doucement a me caresser l'entrejambe. L'intérieur des cuisses. Puis il remontait. Ces doigts, fins comme ceux d'un pianiste effleurèrent mes lèvres extérieures. Son index vient se glisser sur mon clitoris ce qui me provoque un frisson incontrôlable. Il recommence cette action plusieurs fois, essayant d'analyser comment s'y prendre pour me faire le plus de bien possible. Il se mis à le caresser très délicatement, de plus en plus vite. Je sentais la chaleur monter. Comment puis-je t'avoir en entier ? J'aimerai me greffer à ta peau tellement je t'aime. Mon entre devenait de plus en plus mouillée et il se décida à mettre un doigt dans mon vagin. D'habitude quand je suis seule je ne vais pas jusqu'à là. C'est comme si le vide se remplissait et j'en voulais plus, malgré moi. Haletant, il me demande si j'aime ça.
- Oui... continue.
Je sens qu'il essaye d'en rentrer un deuxième. Je m'accroche au draps. Il fait le ciseaux a l'intérieur de moi, et va de plus en plus loin et de plus en plus vite. Ses doigts son longs et arrivent facilement au fond. C'est comme si mon corps entier répondais à l'appel de son corps désireux. Au bout de quelques minutes, sentant que je m'apprête à jouir, il retire ces doigts et se place au dessus de moi. Je lui retire son teeshirt. Je sens qu'il est gêné de retirer son caleçon. C'est censé être à moi là ?
- Tu veux que je...
- Si tu ne veux pas c'est pas grave.
- Si si. Je peux le faire.
Nous échangeons nos positions. Maintenant je peux pleinement voir son visage, éclairé par la lumière de la lune. Je l'embrasse, nous sourions en nous regardant, qu'est ce que c'est bon de faire l'amour à la personne qu'on aime.
Je descend sur son penis. J'ouvre ma bouche, j'hésite un moment puis le la met dans ma bouche. La sensation est vraiment étrange. La texture est bizarre. Je commence à faire des mouvements de vas et viens avec ma bouche. Il prends mes cheveux d'une main et de l'autre me pousse la tête pour que je le suce plus loin et plus vite. J'ai du mal à respirer. Il respire fort, je sens que ça arrive. Je me retire. Il prend ma tête et la ramène vers son visage pour m'embrasser. Ça y est. C'est le moment de la pénétration... je suis au dessus à califourchon, lui en dessous, son erection est plus qu'énorme. Il prend son penis, le rapproche de mon vagin. Il me fait un bref signe de tête, je lui répond. Je sens son gland toucher mon clitoris, il joue avec ça l'amuse et moi... ça me procure tant de bien. J'en veux plus et tout de suite. Je lui prend le penis, de force, et le met à l'entrée de mon vagin. On se regarde dans les yeux, malicieux. Et je me baisse sur son penis, lentement. La sensation est exquise. Petit à petit je sens son penis dans mon vagin, remplie tout le vide en moi. On se regarde. Encore.
- Ça va ? Me demande-t-il.
- Oui continue.
Il fait des vas et viens, j'ai l'impression d'être en extase. J'essaye de retenir mes cris.
- Ne... te... retiens pas. Je veux... t'entendre.
Entre chacun de ces mots il poussait des gémissements. C'était si bon d'entendre ça. Je ne retiens pas mes gémissements. Je prend le relai et maintenant c'est moi qui descend sur mon penis. Il attrape mes seins et les malaxent pendant que je le baise. Je sens que ça vient. Je gémis de plus en plus à la limite de crier. Lui, se retiens mais je sens que ça vient pour lui aussi.
- Encore... Lucile... plus... vite...
Dans un dernier élan, je jouis, et lui aussi. Nous restons dans cette position et je baisse la tête, il me regardais déjà. Il me souris. Un sourire que je n'avais jamais vu auparavant, il me prend dans les bras et me plaque contre lui, toujours son penis a l'intérieur de moi.
Ce fut, le câlin le plus doux du monde. Le plus réparateur. Il me faisait des caresses dans le dos.
- Alors comme ça tu m'aime ?
J'avais lâché ça soudainement. Il arrête ces caresses. Il semble réfléchir.
- Oui je crois... je suis désolée de ne pas te l'avoir dis avant, j'avais des choses à régler. Avec Annie.
- Oui je m'en doutais. Alors m'avoir fait l'amour est une preuve d'amour ?
- On peut dire ça comme ça Lulu.
- Lulu ?
- J'essaye juste de te trouver un surnom mignon...
- Juste Lucile ça ira...
Je sentais que je m'endormais. Je ferme les yeux lentement. Il me caresse les cheveux désormais.
Armin m'aime.

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