Chapitre 7 - Le réveil

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- Alors comment elle va Hange ?

Jean eu une pointe de crainte et de peur en posant la question. Peut être ne se réveillerait-elle jamais ? Cela faisait maintenant 3 semaines qu'elle dormais paisiblement. Elle n'as pas bougé depuis.

- Je pense que son cerveau se remet du choc. Cela peut prendre tu temps encore mais je pense qu'on est sur la bonne voie.
- Mais et si elle ne se réveille jamais ?
- Elle se réveillera ne t'inquiète pas-
- Armin...

Ce fut comme un murmure... mais en même temps ce fut aussi comme si elle l'avait crié. Jean et Hange se retournèrent quand Lucile bougea un doigt, puis ces lèvres afin de dire la même chose que quelque seconde auparavant.

-Ar..min
- Oh bordel. MERDE Lucile tu es enfin réveillé !! s'écria Jean qui courru vers elle.

Il lui pris la main. Elle serra légèrement ces doigts.

- Armin... Armin...
- Lucile c'est pas Armin c'est Jean. Tu es vivante ! Quel bonheur quel-

Elle ouvrit les yeux et eu un mouvement de recul. Le choc la pris comme si il l'empêchait de respirer, elle se mis à convulser et hurler tout ce qu'elle avait contenue lors de son sommeil. Jean fut pris de panique et tomba de sa chaise. Hange la maintenait sur son lit.

- Jean ! L'aiguille sur mon bureau ! JEAN !

Son corps n'y arrivait pas. Jean était comme paralysé par terre. A ce moment là, Levi, alerté par les cris stridents qui provenait du sous-sol débarque en brisant presque la porte. Il pris la seringue, pris le poignet de Lucile toujours entrain de convulser, et piqua dans la première veine visible. Il pressa sur la poinçon et le liquide disparaissait dans ces veines. Quelques secondes plus tard elle se calma et se rendormi.

Jean était si choqué qu'il voulait crier mais rien ne sorti. Levi le pris par les bras et le releva. Maintenant sur ces deux pieds il reparti en direction de la porte et bientôt du dehors. Armin le croisa.

- Jean ? Tu n'aurai pas vu Hange ? Jean je te parle. Jean ??
- A l'infirmerie... Lucile...réveillé...
- Quoi ? J'ai pas entendu ?
- Lucile est réveillé ! A l'infirmerie...

Armin, pris un temps de réflexion, serait-ce judicieux d'y aller maintenant ? Hange dois sûrement faire des tests pour s'assurer de sa sécurité. Non. Il passerai plus tard. Il avait peur de gêner. Il fit demi tour et alla se poser auprès d'un arbre et il lit un livre. L'histoire se passe dans un musée, ou un homme nommé Steve trouve qu'un des portrait fait dans les années 700 lui ressemble. Une histoire merveilleuse. Sûrement une des préférées du blond.

Les champs de fleurs avaient laissé place à la neige quand Armin rentra dans le réfectoire.
Hange pris la parole pour dire que Lucile était réveillé et qu'elle allait bien. Les visites sont de 8h à 10h et il ne faut pas trop la brusquer, elle est encore fragile. Des applaudissements retentirent et tout le monde fini de manger dans le calme. Tout le monde alla se coucher.

Quelques jours passèrent et le monde s'accumulait pendant les deux heures de visite de Lucile. Historia avait apporté des fleurs roses et blanches, Jean avait apporté une omelette spéciale, Mikasa des magazines, et Eren faisait le bulletin quotidien de la veille. Tout le monde était vraiment aux petits soin pour elle. Tout le monde sauf Armin. En 4 jours il ne s'était jamais pointé. Elle posait des questions sur lui à Mikasa, elle lui dit simplement qu'il a beaucoup de choses à faire. Mais elle ne le cru pas.

Alors un soir de pleine lune, elle sorti de sa chambre discrètement quand Hange était assoupie. Elle grimpa tant bien que mal les escaliers en bois qui faisait un bruit monstre et traversa le hall. Dans celui-ci, une odeur de vieux bois et de cuir mal fait. Le tic tac de l'horloge résonnait dans le silence pesant de la pièce.  Elle monta les deux étages du dortoir avec ses béquilles en mauvais état, et repéra l'étiquette Armin Arlert sur une porte. Son cœur battait fort, son pouls s'accélère quand elle toque 3 coups à la porte.

Armin entendit des coups à sa porte. Il était 2 heures du matin et il ne dormais toujours pas. Il posa son livre et mis un teeshirt. Ces bruits de pas sur le sol résonnèrent dans le silence de la nuit. Quand il ouvrit la porte, il eu d'abord du mal à voir le visage de la personne, et puis il entendit sa voix.

- Bonjour Armin, j'espère ne pas t'avoir réveillé...

Elle était là. Pourquoi n'était t'il pas allé la voir ? C'était vraiment bête de sa part.

- Oh Lucile... Non je lisais... Mais entre si tu veux.

Le silence était si pesant que la gorge de Lucile était noué de peur. Ils s'assoient sur le lit.

- Écoute Lucile, je voulais vraiment venir te voir, mais j'avais peur de déranger et tu n'était pas vraiment en état de recevoir du monde. C'était bête de ma part désolé.
- Je t'en veux pas, tu me manquais c'est tout. Je voulais aussi te remercier, c'est toi qui m'as sauvé.
- Avec Annie, Mikasa et Jean.
- Oui mais eux je leur ai déjà dis merci... parce qu'ils sont venus me voir.

Il se leva, et Lucile remarqua qu'il n'était qu'en caleçon. Cette vision la fait rougir. Elle détourna le regard quand une main lui attrapa le menton. La douceur de la main d'Armin sur son visage lui fit l'effet d'une plume. Leurs regards se croisèrent, et leur souffle s'accélèrent. Armin colla son front à celui de Lucile. Elle pouvais désormais sentir son odeur. L'odeur du savon et des fleurs.

- Je suis tellement désolé que ça ne puisse pas arriver. Je dois me résigner à ne pas approfondir notre relation Lucile.

Ils se décolèrent et il parti dans la salle de bain, qu'il ferma à clé. Quant à elle, elle ratura quelques mots sur un papier et elle sorti de la chambre.

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