Les Élus du destin (TERMINÉ 1er JET)

Chapitre 28 : Une découverte inattendue

Une découverte inattendue

Arrivée dans l'ancienne maison de mes parents, moi et Oréa, on commence à explorer les lieux en ouvrant les portes une à une tout en regardant scrupuleusement chacune de ses pièces, à commencer par la pièce principale. Ça me faisait vraiment bizarre de revoir tout ça et plus, on avançait plus, on pouvait entendre deux personnes qui se disputaient dans le couloir. Oréa me regarde et me dit.

— Il ne faut pas que tes parents nous voient parce que sinon ils vont se poser des questions et si on leur dit qu'on vient du présent, ça risquerait de leur faire bizarre. Mais est-ce que tu arrives à comprendre ce qu'ils disent ? 

— Oui, je comprends parfaitement ce qu'ils se disent étant donné que c'est une dispute que j'avais eue avec ma mère il y a plus de dix ans de ça... Dis-je en regardant Oréa d'un air triste. 

— Ah oui, ton frère m'en avait parlé et d'ailleurs, il pensait que vous étiez morts toi et votre mère. Il n'était pas au courant de ce tragique accident... Dit-elle en me répondant d'un ton triste. 

— Ah oui cet accident... J'avais dit à ma mère que j'avais une relation avec une femme et c'est à ce moment-là qu'elle m'avait giflé après, tu connais la suite... Ma mère voulait toujours avoir raison en se donnant le dernier mot.  Elle avait déclaré des choses déplaisantes à mon sujet, ce qui m'avait encore plus énerver, j'ai fini par perdre mon sang froid... Puis mon père est arrivé, il m'a mise à la porte, je ne suis plus jamais retourné après ça. Jusqu'à ce que j'apprenne que mon père est mort à son tour et qu'il m'avait mis à la tête du Human Génome Project ! Oh pardon, je ne voulais pas parler si fort, mais tu vois ou ça m'a emmené... Bref, toute façon, on n'y trouvera pas grand-chose ici, en revanche retournons à Human, j'ai besoin d'en savoir plus sur les recherches de mon père au sujet de mon frère. 

Oréa prend ma main et nous téléportions aussitôt dans notre présent directement devant le bâtiment dans lequel je vivais et travaillez avant. Nous regardons autour de nous, un peu plus loin, on remarque que la ville était en très mauvais états. Avec du sang et des bouts de chair avec des ossements humains et démoniaque, ce qui nous faisait froid dans le dos. On rentre dans mon ancien lieu de travail puis celle-ci verrouille la porte derrière nous en mettant en place un sortilège de protection qui est beaucoup plus puissant que celui qu'elle avait pratiqué auparavant. 

— Non mais que s'est-il passé dans cette ville ? S'exclame la Nephilim tout en me regardant d'un air interrogateur. 

Quant à moi, je commençais à fouiller dans le bureau en regardant les anciens dossiers qui appartenait à mon père, je relève la tête, puis-je répondis.

— Hein ! Heu oui, tu as raison, c'était assez flippant et heu glau... Je m'arrête de parler au moment où je tombe sur une carte magnétique qui m'était inconnue. 

C'était la première fois que je voyais une carte de ce genre, ce qui m'intriguait encore plus. Je referme le tiroir puis-je me dirige vers ma compagne et je lui montre la carte en reprenant la parole. 

— Tu te souviens un jour, je t'avais dit que mon père avait fait une découverte, mais que celle-ci n'a jamais été prouvé ni même abouti ? Il me semble que mon petit frère avait trouvé et c'est comme ça qu'il s'était transformé en un cyborg. Il me l'avait raconté l'autre jour... Bref et du coup cette carte pourrait nous amener à ses recherches justement ! Enfin ceux de notre père. 

Oréa me regarde et hoche la tête positivement puis nous partons en direction de la salle de recherche qui pourrait nous conduire jusqu'au laboratoire secret grâce à cette carte magnétique. Nous arrivons dans la salle de recherche et on commence à regarder un peu partout si on trouve une autre ouverture qui pourrait se cacher dans les murs. Oréa regarder à gauche, tandis que moi, je regardais à droite, le silence s'installer de plus en plus dans la pièce, ce qui me faisait froid dans le dos. Je tapote le mur en face de moi, puis-je prend la parole.