20. Aiuto

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𝐈𝐬𝐲

Je n'ai même pas le temps d'aller le secourir, qu'un homme apparaît derrière moi et me tire violemment l'épaule ce qui me procure une vive douleur et me fait tomber au sol. Je me relève avec un juron et me positionne devant l'homme. Enfin plutôt devant les hommes.

En tout, il y a en a cinq qui m'encercle de toute part. L'un est armé d'un couteau, deux ont leur armes en main et les deux restants ont simplement leur mains pour se battre.

Je n'hésiterais pas à tuer et il faut que je sois stratégique, alors je commence par m'occuper des deux premiers qui tiennent leur armes devant moi. Je subtile une première arme et envoie la poignée du Glock dans le nez de mon agresseur, ce dernier commence à pisser le sang, il met ses mains sous son nez. Son geste inutile et idiot me permet de l'attaquer, j'envoie mon pied dans son ventre et tourne directement sentant l'autre homme dans mon dos. J'appuie ma jambe sur les genoux du pisseur de sang et envoie ma seconde jambe dans le ventre du deuxième homme qui est arrivé derrière moi.

Tous les deux recule d'un pas, mais un troisième s'ajoute comprenant que ses collègues ont besoin d'aide. J'ai donc deux hommes armés de couteau ou d'un pistolet, puis d'un dernier qui ne lui reste plus rien.

Le troisième s'ajoute mais avant qu'il n'arrive à me toucher un de mes poing atterrit sur sa mâchoire puis mon autre poing vient s'abattre sur son ventre. Je m'abaisse au moment où l'homme a voulu me planter avec son couteau et m'appuie sur le sol de mes mains pour envoyer mes deux pieds en l'air, rencontrant la mâchoire du troisième agresseur.

Les coups que je viens de lui envoyer le sonne quelques secondes me laissant le temps de m'occuper des deux autres, avant que d'autres de leur collègue interviennent.

En me retournant je vois Angelina se défendre aussi avec tout son corps. Elle est aussi agile que moi et à nous deux nous faisons qu'une bouchée de ce gang. Elle envoie plusieurs fois ses poings dans l'un des hommes et subtilise une arme. Et sans que personne ne l'ai vu venir, une détonation se fait entendre, résonnant dans tout le hangar.

Elle vient de tuer son agresseur sans remords. Je souris fièrement et admirablement devant cette prestance et ce courage dont elle fait face.

Je n'ai pas le temps de l'acclamer qu'un de mes agresseurs me vise avec son arme, je lui prends facilement des mains, lui tordant son poignet et en le faisant hurler de douleur. Puis je viens remettre encore mon pied entre ses jambes. Ses mains viennent directement se poser sur ses parties intimes et coup le renferme sur lui-même à cause de la douleur. Encore une fois je prends toute occasion pour moi, et cette fois-ci je projette mon genou sur son nez, comme son collègue, il pisse le sang et jure dans sa barbe.

Le second homme qui était en retrait, par peur, s'avance comprenant qu'il ne reste que lui et ses deux collègues qui se cachent dans le noir derrière lui. Ils pensent que je ne les ai pas vu et qu'ils vont arriver pas surprise, mais malheureusement pour eux je les ai déjà vu depuis le début du combat.

Le dernier homme au couteau essaye de toucher mon cou pour m'abattre facilement mais je l'esquive. Cela lui permet de m'attraper par la taille, mais je prends appuie sur mes deux jambes puis saute en utilisant le torse de mon agresseur comme appui pour propulser mes deux jambes dans les airs en direction d'un quatrième homme, qui a enfin daigné sortir de sa cachette.

Je retrouve enfin le sol et immédiatement je viens abattre mon coude dans les côtes de mon agresseur derrière moi. J'ai réussi à me détacher de son emprise et je me retrouve maintenant encerclé par deux personnes, la troisième est toujours cachée dans l'ombre.

Un des bonhomme essaye de me taper de son poing, mais je réussis à l'éviter et attrape son poignet en plein vol, tirant violemment et l'emmenant près de moi, puis je m'abaisse et le fait passer au-dessus de moi.

NEMAINOù les histoires vivent. Découvrez maintenant