Chapitre 11-

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Les pas se rapproche de plus en plus. Je suis toujours debout à attendre mon visiteur. Mes yeux sont virés devant la porte. Je ne bouge pas j'observe juste ce qu'il va se passer. Deux petites minutes plus tard la porte s'ouvre, sur Marco.

- Bonjours mon ange,  je vois que tu es déjà levé.

Je resserre un peu plus mon peignoir.. il me regarde le faire avec précision.

- Bonjour, merci pour la couverture et la bouillotte. Mais j'aimerai savoir quand je peux sortir de cette cave. Elle pue c'est horrible, je me sens sale ça me répugne vraiment, et je ne vois pas ce que ça peut te faire si je suis dans une chambre comme la dernière fois.

Il me regarde avec un sourire provocateur. Tout en s'avancent vers moi

- Tu sais je pense que j'ai était trop gentil avec toi.. tu en as abusé.. alors je préfère te montrer ce que tu devais normalement subir. Je verrai si tu mérites de sortir de cette endroit. Parlons plutôt de la putain de grosse connerie que tu as faite à la boîte de nuit.

Il s'avance encore plus vers moi , il met sa main derrière mon dos, et me pousse sur son torse. Avec son autre main il relève ma tête.

- Car oui... tu as fais une très grosse bêtise. Je ne sais pas si je te l'avais dit mais nous étions dans une boîte de nuit très réputé pour nous les mafieux. Comment te dire que plusieurs d'entre eux était très attiré par toi mon ange.. tu l'es a intrigué comme aucune femme ne pourrai le faire. Après ta petite fuite plusieurs d'entre eux sont venus me voir pour parler d'affaire. D'affaire sur toi. Ils te voulaient, ils m'on proposé des prix exorbitants. Sauf que tu es à moi mon ange... et à moi seul.

D'accord alors je suis devenu une femme rechercher ? Par plusieurs mafieux... super... déjà qu'un seul c'est horrible mais là c'est une catastrophe. Il me regarde avec intensité.

- Je serais contraint de te protéger , ils vont pas lâcher l'affaire aussi facilement. Donc toi en attendant tu vas être une gentille fille... d'accord ? Une.. gentille.. petite... fille...

En disant cette phrase nos lèvres étaient qu'à quelque centimètre la tension était présente.. j'avais chaud beaucoup trop chaud. Son regard se poser sur mes lèvre pour revenir à mes yeux. J'étais toujours collé contre lui je pouvais sentir son cœur battre aussi fort que le miens. Nos âmes se désiraient.. mais nos corps se haïssaient. Je le regarde avec envie avant de lui répondre.

- Je serais une gentille petite fille... Marco..

Il me sourit et me relâche pour repartir. Me laissent à présent seule. Mon corps est brûlent... je n'avais encore jamais vécu quelque chose de si intense. Mes tétons pouvaient le prouver... je me rassois sur le sol en espérant pouvoir un jour partir de cette cave pour retrouver ma chambre qui m'a était dédié avant ma fuite. J'espère sincèrement qu'il me laissera au moins prendre une douche. Je pue.

**

Après avoir tourner en rond pendant au moins une dizaine de minutes je décide de crier le prénom de Marco. Je me dirige devant la porte et crie de toute mes forces :

- MARCO!!!

Je reprend ma respiration et attend qu'il vienne. J'allai retourner m'assoir quand je sens des pas lourd se faire. Ce n'est pas Marco. Je reconnais ses pas et je peux en être sûr que ce n'est pas lui. La porte s'ouvre sur Àlvaro. Il me regarde et me dit :

- Oh ça faisait longtemps ! Marco n'est pas là. Tu veux quoi ?

Je lui lance un regard froid avant de lui répondre :

- J'aimerais prendre une douche. Je pue.

- Je ne sais pas si il serait d'accord. Mais c'est vrai que tu pues alors va te laver. Tu sais où se trouve ta chambre. Mais avant je doit trouver les clés de tes longues chaîne. Je reviens.

Il repart referme la porte derrière lui. Je pensais sincèrement qu'il allait me dire non! Mais il a accepté ! J'espère juste ne pas croiser Émilie. Je ne la sens vraiment pas... elle est bizarre, elle a une obsession pour Marco. C'est louche. Pendant que je me faisais ces réflexions la porte se réouvre. Àlvaro se dirige vers moi prend mes poignets pour défaire les chaînes. Mes mains sont dorénavant libéré ce qui me fait un bien fous. Je lui demande donc si je peux aller dans ma chambre pour me laver. Il me fait un signe avec sa tête pour me dire que oui je peux. Je me dirige vers la porte mais avant que je n'y mette un pied il prend mon bras et me dit :

- N'essaie pas de t'échapper. J'ai pas envie de mourir. D'accord ?

- Oui.

Il me relâche et je pars en direction des escaliers. Je montes les marches ouvre la porte sors et regarde si je suis bien dans la maison que j'avais vu il y a deux jours. J'y suis bien tout est comme je l'avais décrit les jours précédents. Je pars en direction du salon pour pouvoir aller dans ma chambre. Je suis toujours aussi gênée après tout je ne porte qu'un peignoir. Au loin je vois plusieurs personnes sur le canapé. Ils parlent espagnol ? Mais attendez c'est Marco sur le tabouret en face des autres hommes ? Oh la la la.. qu'est-ce que je fous ici. J'allais repartir en arrière pour aller le dire à Àlvaro quand j'entends derrière moi un homme dire en espagnol :

- ¿quien es esta chica? ( qui est cette fille ? )

Putain c'est la merde. J'arrête de bouger. Je sens leurs regard sur moi. Je me retourne pour leurs faire faces.

- Excusez-moi faites comme si vous n'avez rien vus. Je vais juste dans ma chambre.

Je m'empresse de courir jusqu'aux escalier. Je l'es montes rapidement et m'enferme à toute vitesse dans ma chambre. Je glisse le long de la porte. La honte ! Rosalia la honte putain... Marco il m'a regarder comme pour me dire que j'allais mourrir. J'enchaîne les conneries c'est pas possible. Je me relève et pars en direction de ma salle de bain. Tout les vêtements qu'il m'avait acheter son encore là pareil pour les sous-vêtements. Parfait. Je fais couler l'eau met du savon pour avoir un peut de mousse. Je me regarde dans le miroir pour me voir. Mon reflet et immonde les cernes sont présente mon visage c'est affiné. Depuis mon kidnapping et autres je n'ai quasiment rien manger. J'ai du perdre énormément de poids. Si ma mère était présente elle m'aurait dit que je reflétai le reflet d'un montre. Ma mère n'a jamais était la mère qui aimait son enfant , au contraire dès que je faisais une bêtise elle se faisait une joie de me crier dessus. C'était mon père qui venait la calmer. Je n'ai que des mauvais souvenirs avec elle. Le jour de sa mort je n'ai pas pleurer. Elle le méritait, pour tout le mal qu'elle m'a fait, à moi et à mon père. Je retourne ma tête pour voir ou en ai mon bain. L'eau a bien monté je décide donc de rentrer dedans. La température est parfaite. Cette chaleur m'envahit. Je ferme les yeux, pour profiter de cette sensation extraordinaire.

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Hey ! J'espère que vous allez bien ! Voici le chapitre 11! Je m'excuse pour les fautes d'orthographes ! Et passer une très bonne journée /soirée à vous ! Aussi pour les intéressés j'ai TikTok ! Mon compte c'est : julia_rose114 ! Bisous bisous 💗

Julia. 💗

À la limite du raisonnable... T.1( EN RÉÉCRITURE !)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant