Chapitre 18-

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Deux heures que nous sommes rentrés, j'ai pris ma douche je suis toujours couverte d'une simple serviette, je n'ai pas de pyjama. Alors je décide d'aller voir Marco pour qu'il m'en prête un. J'ouvre ma porte sors et pars en direction du salon, Stefan et Àlvaro sont là ils regardent un film, je leurs demande où est Marco, ils me font signe qu'il est dehors, je  commence à m'avancer pour aller dans le jardin quand la voix de Stefan m'interpelle.

- Rosalia fait gaffe , il y a du vent... tu as qu'une simple serviette à tout moment elle s'envole,c'est pas que je ne veux pas voir ton magnifique corps mais Marco me tuerait si il apprenait que j'ai regarder... alors fait gaffe s'il te plaît.

Àlvaro le regarde avant de lui mettre une petite tapette sur la tête tout à lui disant:

- Pourquoi tu lui as dis ! Là il a une bonne raison de te buter idiot ! Cracha t'il.

Je ne perd pas plus de temps et sors. Je traverse le jardin quand je le vois , il est avec Émilie. Cette salope, je ne m'approche pas plus j'essaie d'entendre ce qu'ils peuvent bien ce dire. Stefan avait bien raison il y a beaucoup de vent ! J'ai super froid !

- Laisse moi Émilie , je fais se que je veux. Si je veux la baiser je la baise , si je veux lui faire l'amour je le fais aussi, si je veux qu'elle devienne ma femme elle le deviendra maintenant arrête de me faire chier. Dit-il

Me dite pas qu'il parle de moi ? Bah si Rosalia ! Vous vous êtes embrassés comme un couple remplis d'amour et de compassion ! Tu t'attendais à quoi ! Qu'il te jette comme une merde ? Oui. Je pensais qu'il allait le faire, Mais non, maintenant tout se complique que sommes-nous réellement ? Amis ? Ennemi ? Amoureux ? Non impossible.

- Tu ne peux pas faire ça ! N'oublie pas que tu l'as prises pour une raison ! Tu n'as pas le droit de tomber amoureux d'elle ! Et tu le sais car si c'est elle...

Marco lui coupe la parole.

- Non ça ne peut pas être elle. Dit-il avec réflexion

De quoi ils parlent ? De quoi veut-elle en venir du fait que c'est sans doute moi ? Je ne comprend plus rien. Plus les jours, semaines, mois passent plus le suspense est là. Pourquoi ma t'il pris ? J'en avais Parlé avec Stefan il m'a dit que ce n'était pas à lui de me le dire. Mais combien encore faudrait-il que j'attende pour avoir une réponse ? Je commence à grelotter de froid. Je décide donc de rentre,Stefan se retourne en me regardant avec inquiétude.

- OH MON DIEU ! il s'empresse de venir à mon niveau Princesse ! Ta lèvre, jambes, pieds sont bleus !! Je ne pensais pas qu'il faisait si froid !!! Vient vite dans ma chambre je vais te donner de quoi te réchauffer, sinon tu risques de tomber malade.

J'allais le suivre quand il m'arrête.

- Non , non je te porte. Dit-il

Sens que je n'ai le temps de riposter il entoure ma taille de ses bras. En un seul mouvement je me retrouve contre son torse. Il se dirige vers sa chambre , il pousse la porte grâce à son pied. Il me dépose sur son lit et part chercher un pyjama j'imagine. Je me couvre avec sa couverture car je commence a avoir terriblement froid.

Deux petites minutes plus tard la porte s'ouvre sur Stefan , il est revenu avec un long tee-shirt noir, ainsi que des grosses chaussettes. Je suis toujours allongé dans son lit la couverture au dessus de mon cou.

- Tiens princesse va te changer.

Il me tend les vêtements , je l'ai prend et me dirige dans sa salle de bain. Je ferme la porte une fois à l'intérieure. Je laisse glisser la serviette sur mon corps , une fois la serviette par terre je m'empresse de prendre un caleçon de Stefan , je n'ai pas pensé a lui demander une culotte. Une fois habillé je sors de la salle de bain , Stefan est toujours là il me regarde et me dit avec sa voix joyeuse :

- Eh bien princesse je ne pensais pas que mes vêtements t'aller mieux que moi je suis jaloux Rosalia. dit-il tout en tournant sa tête à gauche pour montrer une sorte de jalousie.

Je le regarde et lui souris , tout en lui souriant je suis prise d'une maudite toux ! Je tousse fortement , Stefan me regarde avec incompréhension. Il s'approche de moi , pose sa main sur mon front.

- Mais ! T'es brulante ! Tu as sûrement de la fièvre je vais vérifier ça attend moi là je ne vais pas être long promis !

Il s'empresse de sortir de la pièce , je me retrouve seule , je décide de m'allonger dans son lit en attendant qu'il arrive. Je commence a fermer mes yeux quand j'attend la porte ce claquer fortement.

- PRINCESSE! ouvre moi ses yeux me dit pas que tu es morte ! s'il vous plaît pas elle ! Elle ne peut pas mourir alors qu'elle ne c'est pas faîte foudroyé le cul par le grand Marco ! dit-il tout en faisant mine de pleurer.

j'ouvre mes yeux après avoir entendu cette horreur. Il me regarde avec son sourire qui s'élargit face a mon réveil.

- Enfin réveiller, bon j'ai le thermomètre. Nous allons vérifier si tu es bien malade.

J'hoche la tête de haut en bas , avant qu'il ne place le thermomètre sur ma tête je ne peux me retenir de tousser. Il recule puis se ré avance vers moi. Il pose l'objet sur ma tempe. Il appuis , nous attendons un petit bruit, il regarde se qu'il y a d'afficher.

- 39,8... tu es bien malade princesse ! dit-il tout en me regardant avec une mine de peine.

Génial... je suis malade. J'ai dû attraper froid. Voyons Rosalia tu croyais que tu étais tomber malade par magie? aussi personne ne sort en serviette dehors quand il fait froid ! t'en pis ça m'apprendra. Stefan s'approche vers moi il me regarde avant de me demandé si je souhaite un gant de toilette humide. J'accepte , Il arrive un peu plus tard avec la serviette il me la pose sur ma tête , il me regarde avant de me dire :

- Il faut que je prévienne Marco. Alors reste là je vais aller le chercher.

Il sort de la chambre. Je commence à jouer avec mes doigts, si je suis malade je vais devoir rester dans la maison pendant au moins une semaine. Je ne pourrais donc pas aller voir Igor,avec tout se qui c'est passé je n'ai pas eu l'occasion de lui reparler... alors disons que je vais en profiter, je suis malade se qui veut dire que je vais pouvoir demandé à Àlvaro de m'aider sur ce coup, Stefan ne veut plus m'aider il me la fait comprendre durant notre voyage. Àlvaro lui il aime le danger ça se voit. Je dois juste essayer de sympathiser avec lui, la porte se réouvre sur Marco et Stefan. Marco s'avance vers moi , Stefan reste devant la porte, Il pose sa main ornés de bagues sur ma tête se qui me fait frissoner. Il la retire avant de me regarder.

- Madame est malade, bien tu vas donc devoir te reposer se n'est pas négociable. Tu dormiras avec moi, pour que je puisse te surveiller si il t'arrive qu'elle que chose pendant la nuit. dit-il

Me surveiller ? il se fous de ma gueule là? Il crois sincérement que je vais gober ce mensonge ? Je le regarde , sans mis attendre je tousse. Il me regarde en retour ,avant de sourire, Connard, il doit se dire que je suis plus ''fragile'' dans cette situation. Il s'avance vers mon corps allongé il passe son bras son mon dos et me soulève. Je ferme les yeux et profite de la sensation d'être transporter dans les bras d'une personne,je sens la fraicheur se glisser sur ma peau , je frisonne. Il me dépose sur son lit, j'entend une ceinture tomber par terre , alors je suppose qu'il est en train de se mettre en pyjama, le sommeil commence à m'envahir. Je m'endors.

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Hey! J'espère que vous allez bien ! Voici le chapitre 18! Sorry pour les fautes d'orthographes ! Et à bientôt pour le chapitre 19! Bisous ! 🫶🏼

Julia. 💗

À la limite du raisonnable... T.1( EN RÉÉCRITURE !)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant