À la limite du raisonnable... T.1( EN RÉÉCRITURE !)

Chapitre 26-

Nous sommes dans la voiture, pour partir en Espagne. Notre nouveau cartel doit être prêt dans 2 mois maximum, je sais c'est très court mais il le faut, Marco rentre dans la voiture avant de me regarder ,puis de démarrer.

- Tu es prêtes ? Demanda-t'il.

Si j'étais prête à vivre une nouvelle vie avec lui ? Bien évidemment que je l'était. Je le voulais que pour moi, je voulais vivre une vie d'amour comme je l'ai toujours rêvé.
Je pense que je le mérite d'avoir cette vie, j'ai tellement souffert.
Je le regarde avant de sourire.

- Bien évidemment que je suis prête chéri.

Il laisse échapper un léger rire avant de partir en direction de l'autoroute, il dépose sa main sur ma cuisse tout en l'a malaxent légèrement, Àlvaro et Louisia nous on quitter hier soir, ils sont parties en Russie pour vivre leurs vie à présent, Stefan lui, il est déjà en Espagne, il est partie plus tôt pour préparer la réunion que nous allons avoir à notre arrivée avec tout nos coéquipiers, les miens seront présent également il doit donc tout géré.

- Marco ? Tu décrirais comment notre relation ? Demandais-je

Il continue d'observer la route, avec un petit sourire.

- Je dirais qu'elle est à la limite du raisonnable.. dit-il. Après tout nous sommes censée nous détester, nos parents on étaient ennemis , jusqu'à s'autodétruire, mais ton âme m'a séduite.

Il avait raison, notre relation n'était pas permise, mais nous avons échoué sur nos sentiments. Je pose ma tête sur la vitre avant de fermer les yeux, je veux tout de même lui poser une autre question.

- Pourquoi tu n'as pas réagit quand j'ai tuer Émilie ? Demandais-je

Il n'avait pas réagit, il était juste partie car à ce moment là, il se doutait que j'étais belle et bien celle qui pensait.

- Je n'ai pas réagit car je ne l'aimais pas, et que de toute manière je l'aurais buter, je savais depuis longtemps qu'elle était bizarre, ça devenait beaucoup trop étrange, elle commençait même à avoir une obsession envers moi... c'était répugnant. Dit-il avec dégoût.

Salope.

Je referme mes yeux avant que celui-ci ne me pose une question.

- Raconte moi l'histoire de Sofia, je sais que tu sais, j'aimerai savoir comment elle était avec toi.

Je souffle un bout coût avant de me re assoir correctement.

- C'était une personne extraordinaire, c'est la première à être venu me voir quand j'ai intégré la fac en Espagne. Elle était si ravissante et joyeuse quand je l'ai vu, elle inspirait la joie de vivre, l'envie de vivre surtout. Elle m'a tout expliquer, toute les règles et les choses chiante, mais elle arrivait à faire passer ces choses en quelque chose de plaisant.
Malgré sa bonne humeur, elle était très émotionnelle, elle n'avait pas confiance en elle à cause de son père, elle subissait des violences aussi, elle en ai énormément souffert.
Elle me racontait souvent la fois où son père est venu chez eux bourré et qu'il l'a prit, la pousser, traîner , dans toute la maison, qu'il l'a frappait jusqu'à qu'elle ne voit  plus la lumière, elle était tellement terrorisée par ça, qu'elle en faisait des cauchemars je l'entendais souvent la nuit crier, en disant : « Papa arrête s'il te plaît » ou bien « je serais gentille s'il te plaît je ne recommencerai plus » ça me faisait terriblement mal au cœur de la voir comme ça, au début je ne pensais tellement pas qu'elle avait subit ce genre de traumatisme, elle savait juste bien les cacher.

Je repris ma respiration avec difficulté, je n'aimais pas ce genre de souvenirs. J'aurais préféré racontez la fois où elle m'a souhaité mon anniversaire, en dansent devant mon lit. Je repris.