chapitre 3

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19h45

Enola

Ca fait un moment qu'Hadès est parti, mais je pense encore à lui. Il m'a laissé son numéro au cas où je re fasse un crise.

Il est tellement bienveillant.

Dans l'après midi, j'ai enfin eu le courage d'aller faire quelques courses. Mon premier soir où je peux me faire a manger, c'est dingue. J'ai optée pour une petite poêlée de légumes avec des tagliatelles, il faut bien des féculents.

Les pâtes cuisent doucement dans l'eau bouillante, tandis que je découpe le sachet de légumes pour les verser dans une poêle.

Mon repas est prêt ! Je m'installe sur l'îlot central et place des tagliatelles dans ma fourchette.

**

Nous sommes dimanche, ce qui signifie que demain, je commence la fac. J'appréhende un peu cette rentrée. J'ai promis à mes parents de leur téléphoner après mon premier jour.

6h00

Cette abominable sonnerie me réveille. Je me lève bien doucement pour ne pas me brusquer. Je pars sous la douche et laisse couler l'eau sur ma peau.

En regardant autour de moi, je me rappelle la matinée passé avec Hadès. Dans cette douche. J'en rigole un peu jusqu'à me rendre compte qu'il a du me prendre pour une folle a pleurer pour rien.

Après un petit café dans ma cuisine je suis partie avec mon sac de cours. J'envoie un message à Hadès.

Pardon de t'avoir causé tant de soucis hier. Je pars à la fac, souhaite moi bonne chance.

En rentrant dans mon car, je remarque que mon message n'a pas était lu.
Il doit sûrement être occupé.

Le car démarre, nouvelle vie qui démarre.

Hadès

Je la pénètre de plus en plus vite. Elle gémit d'avantage. Puis après mon travail finit je me détache d'elle.

Mais elle n'en n'avait pas finit. Elle m'attrape par le cou et m'embrasse sauvagement. Ce n'était pas le même baiser doux et savoureux de Enola.

- Tu fous quoi ? C'est bon là. lui criais-je

- C'est une blague ? C'est toi qui veut plus coucher avec moi. Tu ne ressens plus rien c'est ça ? T'a trouvé un meilleur coup ?

- Exact.

Elle part en colère, claque la porte derrière elle.

Ouf ! Débarrassé !

N'attrapez pas ma veste je ne fais pas référence a Enola.

Je n'ai trouvé personne d'autre, seulement que j'en ai marre des blondes.

Enola, cette belle brunette aux yeux marrons noisettes.

Je mets mon jogging après avoir remarqué que j'avais débander depuis longtemps.

Cette meuf ne m'a jamais attiré, mais c'était la seule potable pas loin de chez moi.

The hunter loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant