The hunter love

chapitre 13

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Enola

Nous sommes bientôt en week-end.

Jeudi

Je suis en cours avec Angelo. Il ne me parle toujours pas trop depuis qu'il sait que je parle avec Hadès.

Il faudrait qu'on est une discussion.

Ce matin, nous avons aussi cours de sport. Je me dirige en apercevant Angelo parlé avec un ami. Je suis donc seule.

Après m'être changée, je rejoins les autres et entame mon premier tour de course. J'ai toujours était très sportive.

En passant devant un groupe de jeunes, un des gars me claque le cul.

Non mais je rêve ?

Je m'arrête instinctivement et pivote vers lui.

- C'est quoi ton problème ? Je lance

- Ton gros cul

Ils se marrent tous. Je me rapproche et le gifle sans réfléchir.

Je repars en courant vers ma classe, tandis qu'il m'insulte de tous les noms.

Quel connard

Le cours était ennuyant, entre les élèves qui ne font rien et le professeur qui parle sans arrêt. Nous n'avons pratiquement pas fait de sport.

A la pause méridienne je rejoins Hadès. Je l'embrasse sur la joue et nous nous installons.

- Comment tu vas vita mia ?

- Ça va.

J'ai toujours pas oublié ce qui s'est passé lors du cours de sport. Je sais que Hadès le prendrais très au sérieux et ça risquerait de mal finir.

- Qu'es ce qu'il t'arrive ?

- Rien du tout. Tout va bien

- C'est un mec ?

Je ne réponds pas tout de suite.

- Oui..

- C'est qui ? Il a fait quoi ?

- Je sais pas. Je crois que c'est un garçon de la fac, je l'ai déjà vu dans le coin.

- Il t'a fait du mal ?

Il était énervé et ne touchait plus du tout à son assiette.

- Bah, il m'a touché le cul

Ma voix tremble.
Hadès serre sa mâchoire et je distingue ses muscles se contractés.

- Je vais le retrouver.

- Hadès ce n'est pas la peine !

- Si si. Personne touche à ce qui m'appartient.

Il vient vraiment de dire ça ?

Le soir venu je décide de rentrer chez moi. Mon repos fut de courte durée quand on frappe a la porte. Je me lève lourdement de mon canapé et vient ouvrir.

Hadès. Comme par hasard

- Pedro ! M'exclamais-je pour l'énerver

Il m'attrape par le cou et me plaque contre la porte. Quel sauvage ce garçon.

- Je t'ai dis de ne pas m'appeller comme ça vita mia

Je me tais et observe ses traits de visage. Il est carrément canon.