Lui, l'exception de ma vie

Chapitre 1

Coucou tout le monde !

Je n'ai pas résisté bien longtemps et après quelque temps en n'ayant rien publié j'ai craqué, voici donc ma nouvelle histoire :)

Pour les personnes n'ayant jamais lu mes autres oeuvres, je vous conseille vivement de les lire si vous voulez comprendre toutes les références mais cela ne vous empêchera pas de suivre cette histoire ;)

Je rajouterai aussi que les écritures en italique sont celles d'un personnage bien connu de mes histoires : Conscience, mais vous comprendrez bien vite à quoi elle sert.

Sur ceux, on s'envole pour le dernier continent avec cette nouvelle histoire en espérant qu'elle vous plaira autant que les précédentes.

PS : j'ai galéré sur les noms des perso principales alors excusez s'ils ne sont pas aussi originaux que ceux des autres histoires !

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Télévision : c'est la police qui, ce matin, a découvert le corps d'un membre du célèbre gang qui contrôle les rues de Dontos. C'est déjà le deuxième en moins d'un mois et la police craint qu'ils se vengent en entraînant la ville dans une guerre sans fin.

Je frotte mon crâne encore douloureux en essayant de trouver la maudite télécommande pour éviter que le bruit n'accentue mon maux de tête dû à la soirée de la veille.

Télévion : mais ce n'est pas la première fois qu'-

En voyant l'idiot avec qui, en ce moment, je passe la nuit  en échange d'un logement j'éteins la télévision que je ne regardais même pas.

Ce n'est pas le premier meurtre dans ce quartier pourri et ce ne sera sûrement pas le dernier mais ici tout le monde connaît la règle : ne pas se mêler de ce qui ne nous regarde pas au risque de le regretter.

L'homme, dont j'ai déjà oublié le nom malgré qu'il me l'ait répété une centaine de fois ces derniers jours, me rejoint dans le lit après sa douche tandis que je suis toujours en tenue d'Adam.

Étant allongé sur le ventre, je remonte légèrement le drap pour recouvrir une fine partie de mon corps qu'il a l'honneur d'admirer ces derniers temps bien qu'il ne le touche presque jamais.

En réalité cet imbécile n'est que l'idiot que je dépouille en ce moment et bien que je doive parfois payer en nature, je vis chez lui le temps de trouver un autre endroit où squatter.

Il me sourit en venant embrasser mon dos sachant bien que mes lèvres lui sont interdites.

Homme : tu sais que je t'aime Angel ?

Pour un ange t'es sacrément.... juste toi.

En comptant cette fois-ci, ça doit faire 52 fois et pas une seule fois il ne l'a vraiment pensé, c'est vraiment désolant de voir à quel point il est faux.

Je préfère encore qu'il ne ment pas, c'est ridicule de dire des mots pareils sans les penser, en fait je ne les pense pas non plus mais moi au moins je me tais.

Moi : tu m'aimes ?

Ses lèvres laissent échapper un rire qui ne m'amuse pas du tout tandis que sa main effleure mon dos.

Homme : bien sûr que je t'aime bébé

Que quelqu'un l'étouffe ou je jure que je lui arracherai la langue.

Ce surnom me donne envie de vomir, je suis nu dans son lit et il m'appelle bébé ? Je comprendrais jamais mais bon de toute façon tous les surnoms sont ridicules alors je les laisse faire, en général ils pensent que ça me plait..