Emprise

Épilogue| la fin et le début d'un nouvel air

Assalam Aleykoum

Désolée pour cette longue attente. Je sais que waron na bindeu dernière partie way occupations gnou beuri reck , bala samay lectrices yi dima porter plainte bindal nalen sen dernière partie pour mbeu am sama diam. J'ai vu vos messages nékété ni gen meu beugué ! Man tamit nonou la len beugué.. xol dey tassé. j'espère que cette épilogue vous donnera goût à la lecture et j'en profite pour vous remercier beaucoup pour cette longue aventure qui s'achève aujourd'hui, emprise tire à sa fin et j'espère vous retrouver dans une nouvelle aventure... merci.

Une question way? Team à l'envers du paradis ou vengeance mielleuse ?vous voulez que je continue quelle chronique ? Choisissez bien nagu lo xam ni dina arrangé gneup...je veux pas de Zah je veux l'autre chronique, je veux que tout le monde sois contente que tout le monde puisse suivre l'histoire que vous aurez à choisir .

Emprise 18

Madjiguéne : Tu pensais vraiment que j'allais venir vers toi mais je savais que sans toi cette famille ne sera rien même si ta tante et chérifa ont voulu m'en empêcher.

- ils sont où ?

Madjiguéne : là où ils doivent être, bienvenue en enfer Zahra.

Elle éclate de rire.

C'est l'envers du paradis !

Bachir .. 

Tout était noir, il faut que je réussisse à sortir d'ici pour chercher ma famille. Madjiguene est très intelligente, son âme est maléfique. Depuis plus de deux heures, j'essaie de sortir de ce cercueil, elle m'a enfermé ici prétextant quelle allait revenir et m'emporter avec elle quand elle se sera occupée de ma femme. Zahra! Oh Shit! Ma femme !
Elle doit être de retour, je pousse encore avec mes mains mais rien je me suis même coupé la main mais je ne m'arrête pas de pousser la porte, c'était noir et je commençais à suffoquer, il faut que je sorte d'ici pour ma femme, pour ma famille, je réussis à me libérer. L'air pompe mes poumons, je respirais difficilement, la pièce était noire, c'était son ancienne chambre, la chambre de madjiguene. J'empresse le pas et cherche le contact de la lampe que j'arrive à trouver et à ma grande surprise, je vois un énorme serpent devant la porte, il me fixait, je le fixais . Il faut que je trouve une solution sinon je finis dans son estomac, il s'approche de moi tandis que je recule résistant des hasidas, je tombe sur un couteau au sol, je le ramasse. J'avance pour le planter le couteau mais avec sa queue, il le jette et ce dernier se retrouve de l'autre côté, le serpent projette sa queue mais je recule , voulant me faire valser de l'autre pièce, je lui jette le peau de vase, il me frappe avec sa queue et je tombe près du couteau. Je le reprends quand le serpent commence à me s'enrouler autour de moi, je réussis à libérer ma main gauche, attrape sa tête de toute mes force, il se débat pour me mordre mais c'est une question de vie et de mort, soit je meurs ou il meurt et j'ai envi de rester envie pouvoir récupérer ma femme lui faire des choses pas très musulmanes, la faire hurler de plaisir, nous avons beaucoup de chose à rattraper, je pose l'outil tranchant sur son cou et l'égorger... il décontracte son corps et je me libére de son emprise et sors de la chambre en le regardant disparaitre. C'était un pièce et j'imagine que y a en pleins. J'attends un bruit venant de la cuisine et j'y entre, je retrouve chérifa attachée, j'acours vers elle et la libère, elle tousse.

Chérifa : zahra, zah.. zah

- oui il faut qu'on trouve une solution, je ne veux pas perdre ma femme. Tout ceci est de ma faute si je la perds jamais je ne me le pardonnerai chérifa, tu comprends.. c'est moi qui l'aie embarqué dans cette histoire.

Chérifa : calme toi Bachir ce n'est pas de ta faute mais ce sont les conséquences des actes de maam qui ont amené ça.

- sans oublier mon refus d'être avec madjguéne, si j'avais accepté ses avances il y a longtemps on en serai pas là !