Les maux du cœur

Partie 1 : La Découverte de mes maux

Premier texte :
J'ai de plus en plus l'impression que je ne deviendrais jamais moi-même. J'ai de plus en plus l'impression que mon âme m'abandonne de plus en plus. Mon cœur s'arrête. Mon corps s'évanouit. Tout le reste s'évapore. Mon esprit abandonne tout. Je crois que l'espoir d'être moi-même à définitivement disparu a croire que j'en ai jamais eu, à croire que je vais devoir me faire à l'idée que je serais à jamais prisonnier dans se corps de merde, dans se corps qui n'a jamais été le miens. Je meurs intérieurement du coup personne le remarque comme incompris dans se monde.

Second texte :
Mon moral n'a jamais été aussi bas. Je ne me suis jamais sentie aussi mort. Tout le monde ne me comprend jamais. J'ai jamais été compris dans se monde. J'ai toujours été incompris. Maintenant le problème c'est que plus je hais mon corps plus je me hais je deviens énormément agressif voir violant, j'en perds même le contrôle jusqu'à dire des choses blessantes ou dire des paroles sans savoir se qui peut se passer derrière comme si on été deux en moi comme si le garçon violant agressif prends le contrôle de moi. Je me sens manipulé par moi-même. Mais je ne reste toujours aussi incompris. Je me sens incapable de devenir moi-même de garder le contrôle je pense que je suis juste mort et un démon a pris possession de mon corps. J'ai souvent des absences ou je ne contrôle rien. Je suis pas fais pour cette vie. Je suis pas assez fort pour surmonter la pente. J'ai beau faire semblant mais au moindre truc je vais me mettre à chialer comme une merde. L'enfant sage est calme à disparu à tout jamais. Je ne suis plus l'enfant que vous avez connu.

Troisième texte :
Pourquoi moi ? Pourquoi autant de haine de souffrance dans une seule personne. Je ne vis plus je survis. Je suis amoureux mais j'ai tout foiré. Je ne suis qu'un monstre. Je n'ai plus rien d'être humain en moi. Je voyais une fin heureuse cette fin c'est fini tragiquement. Mon cœur c'est affaibli je vous laisse deviner comment c'est affreux. J'ai vraiment l'impression que je ne suis pas utile. Je passe mes journées à dormir. Je ne fou rien de mes journées, tellement que ma motivation est partie avec ma joie de vivre. Je ne comprends pas pourquoi je suis plus celui que j'étais avant. Le changement c'est pas pour moi. Être prisonnier dans un monde ou tu ne peut pas être toi-même ou personne te comprends. Ton corps fini par se remplir de haine, d'une haine immense jusqu'à l'inondation de toute mes parties. Je ne suis qu'une boule de nerfs qui explose à tout moment. Un nerveux. À vrai dire je suis immonde, tellement immonde que personne ose s'approcher de moi. Je suis tellement impuissant devant se cinéma comme si j'observais ma vie qui se déroule tout en se déchirant. Les deux parties séparées font deux êtres totalement différentes.

Quatrième texte :
Je crève alors que les flammes s'embrase devant moi. Je ne suis pas du genre à vouloir la pitié des gens nan je suis plutôt du style je reste dans mon coin. Je me suis toujours demandé pourquoi la société ou les gens sont si méchants. La meilleure solution c'est de passer pour un fantôme. Mon cœur c'est une fois emballé pour ensuite se faire démonter. Maintenant je vais juste me monter pourquoi me faire démolir. Je suis pas mort j'étais juste en mode survi. Mon corps c'est affaibli mon cœur c'est embrasé. D'une flamme à l'autre je deviens nerveux. Je crois que ma flemme engage énormément de conséquences d'embrasement. Je vous démontre que ma vie n'a jamais eu de sens. Mon amour c'est complètement fais enflammer. Je suis le chamboulement qui fais que n'arrive plus à parler. Ma langue est une étincelle incroyablement fine mais très maladroite. Mon poison n'est que malsain. Tout ça pour vous dire que je suis sorti de l'ombre pour rejoindre la lumière qui est l'amour sauf que ça ma remis dans le chemin ténébreux.

Cinquième texte :
J'ai déraillé. J'ai foiré. J'ai frôlé. J'ai battu j'ai fini abattu. L'amour, qu'est-ce que c'est dite moi ? L'amour c'est quand ton cœur palpite, que ton corps tremble de chaleur, une sensation agréable mais vraiment inexplicable. J'ai fini piétiné. Suis-je amoureux ? Bien sûr que oui. Mon état a tout simplement dégringolé. Je me suis retrouvé pendu par mes émotions. Je me suis détourné de cette passion pour finir abasourdi. J'ai éternué pour attraper ton coeur. Je me suis apitoyer pour au final prendre l'envol. J'ai gémi alors que mon coeur frétille. Mon enveloppe c'est corrompu. Ma carapace fissuré. Mon amour c'est évacuer. Tu as su me déchirer pour me contrôler. J'aime cette image qui a changé mon avenir. Je veux juste pas que tu te brûle, je ne veux pas te retrouver en brése.