Partie 2.3 : Des Maux en Vin

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Fragments 7 :
Libert moi. Ouvre moi la porte de la liberté. Je te livrerai mon cœur. Offre moi la joie de la liberté. Je te donnerais ma reconnaissance. Libre à toi de m'aimait. Libre à toi de me laisser crever. Nous sommes libres. Nos choix sont se qui provoquent la liberté. Libération. Délibération. Juste illusions. Nos choix sont tous contrôlés. Nous sommes tous concernés. Libérant ton toi le plus profond. Reproche toi d'être libre sous contrôle. Comme un contrat signé depuis ta naissance avec le monde adulte. Plutôt la société pour laquelle nous sommes liés. Cette société qui nous complexe en nous emprisonnant dans des misogyne de genre. Je me sens oppressé. Libert moi. Je t'en serais reconnaissant.
L'amour n'est que chimère. Qui nous emprisonne par des chaînes qui absorbent toute sorte d'énergie. Menottés cette emprise impossible de s'en libérer. Cette embuscade que l'amour provoque. L'enfer nous envoie l'amour mais il peut aussi le reprendre pour nous démonter comme de simples robots. Nous vivons le paradis mais parallèlement nous sommes paralysés dans les entrailles des démons. Je me fais bouffer.

Confusion :
Quand ta tête veut ou pense à quelque choses mais que ton corps ne suis pas la pire des sensations, un sentiment de haine mais bien évidemment un sentiment de honte. Tu as l'impression de te sentir trahir par ton propre corps. Entre ampleur et déséquilibre compliqué de faire face. Les brimades ou moqueries de mes condisciples. Corps et âme n'ont jamais fait qu'un. La preuve ton corps pourra vouloir quelque chose mais ton âme le refuseras et inversement. Quand je regarde le ciel je peux y voir de l'encre rouge couler, jusqu'à débordement comme une faille dans l'intérieur. Misérable. Mieux vaut encaisser que d'esquiver.
Trahison. Manipulation. Merde. Que dire ? Que penser quand c'est les seul mots que tu puisse connaitre ? Comment faire quand on te balance ça en pleine gueule ? Trahison. Manipulation. Respiration. Dépression. Hallucination. Déréalisation. Délectation. Des mots qui tournoient en boucle dans ma tête. Des mots qui se battent entre eux. Impression. Dévastation. Tous entoure le mépris. Méprisé par un haine. Cœur tomber. Cœur qui c'est cendré s'envole en poussière. Une frontière c'est ouverte mais la lumière de tomber. Embrassades. Dépourvue de ratures mes pages deviennent noir. L'hiver perdure dans mes cicatrices. L'humiliation décrite en plusieurs variétés.

Rupture :
Chaque rupture et une fracture en moi. La politesse c'est comme la politique. La politique te fais dire de beau discours ben la gentillesse c'est exactement la même chose que de beau discours, que de belles paroles. C'est la décadence des choses qui sont tellement irréalistes certaines sont même des supplices. La résignation c'est d'oublier le vérité.
Je m'éclipse quand tu souhaites t'excuser. Une éclipse pour une excursion. La lune est une illusion dans les ténèbres. Elle apparaît seulement quand le ciel est à découvert mais quand le ciel est recouvert elle disparaît pareil quand le jour est levé. Le divertissement que la nature m'offre est silencieux.
Certains noms, certains visages, me hantent et tout cela me poignarde. Une torture remplis de solitude. Un abandon c'est tellement cruel, une peine écœurante. Se sentiment d'agonie qui est une horreur. Tristesse. Une désolation mais une convalescence. Étrange comment on peut être consumé par une chose. La peur nous fait prendre un isolement. La souffrance nous fait perdre toute lumière. Le déchirement devient énervant et sombre. Les blessures me tourmente. Mon cœur bleuté par manque d'oxygène. M'infliger c'est excès d'angoisse en moi jusqu'à m'en tordre de douleur.

Fragments 8 :
Une émotion je contrôle mais une avalanche d'émotions je pers tout notion du temps comme une explosion qui se produit leur d'une éruption. Je tel un volcan débordant d'émotions qui est sur le point de finir en morceaux par chaque débordement. Je serais plus que lave et cendre. Mes émotions sont comme une vague elles s'envolent mais reviennent dans tout les cas comme les cas et viens de la mer sur le sable doré, tel la caresse d'une vague.
Je suis juste une fissure. Au moindre choque je vais me briser. Souffrance fantôme. Souffrance abat moi. Souffrance prend garde je me fissure. Souffrance épargne moi. Il est désormais trop tard tu m'as envahie puis suivit de très près par ton ami le désespoir. Vous avez dessiné des traces au fer noir. Maintenant imprégné en moi devenu impossible à enlever. Vous continuez de m'enveloppé. Je reste enfermé dans cette bulle noir. Une main me tend mais impossible de l'attraper vous m'y empêcher. Vous préférez me voir mort que vivant. Je suis enroué, je rouille, et me défonce jusqu'à temps que je ressente la douleur. La douleur que vous ressentez reste fantôme seulement si elle est mental si la douleur devient physique alors la douleur devient réelle.
Je pose mes maux là ou il y a des mots. Souvent mes maux sont plus forts que des mots posés. Écrire mes maux sonnent faux comme un écho. Ses maux résonnent dans ma tête. Jamais un mot pourra remplacer tout ses putains de maux. Je suis mauvais. Mes mots résonnent faux. Les maux fond une souffrance épanouie. Est-ce que de simple mots peuvent guérir des maux ? Je pense que rien ne puisse guérir des maux. L'espoir fais vivre ou peut guérir des maux mais c'est faux. Dieu non plus ne sera jamais la pour vous aidez. Si Dieu existé jamais ils laisserais crever les gens. Votre Dieu c'est que de la merde des bobards. Désolé mais dans se monde il n'y a aucun Dieux qui existe. Ouvrez juste vos yeux c'est tout se que je peux vous dire. Vos maux ne seront jamais guéris juste enfouis au plus profond de vous comme enfoncer dans votre mémoire. Un coup de poignard et tout reviens. On sera toujours rattrapé par nos maux même ceux qu'on croyait effacer.

Fragments 9 :
J'aimerais retourner à cette merveilleuse époque de l'insouciance ou nous étions tout inconscient ou les problèmes n'étais pas là ou on ignorait la souffrance. Cette époque où nous étions juste des enfants. Des enfants qui joué entre eux qui ne faisaient aucune différence entre les genres. Cette époque de l'ignorance totalement qu'on ne chercher pas à comprendre. C'est moment passé à rigoler, pleurer pour un petit bobo. Cette époque étais le feu. Aujourd'hui c'est l'enfer. On c'était découvert pour au final se découper. Cet enfer je le vis enfin j'y survis. J'essaie. Je m'effondre. J'encaisse. J'endure. Et je regrette d'être né.
Ma plume écrit se que mon corps cris. Des cris muets que la plupart n'entendent pas. Des sons qui ne sorte pas comme bloqué dans une cage. Mon corps, cette prison infranchissable qui détruit chaque sons se fracassant contre la façade. Total échec. Rien ne sortira de ses parois beaucoup trop épaisses qui me sers de corps. Une prison incassable et infranchissable.
Des idées utopiques me laissant couler dans des rêves idylliques. Être démoniaque c'est comme être une chimère. Tu peux être vivant grâce aux sibylles. La croyance des gens font que tu deviens réel, une fois leur croyance détruite tu disparais. Vos idées sont juste mensongères. Vos yeux ne sont pas capable de percevoir le monstre en moi. Je ne suis qu'un simple mirage qui éclate dans vos esprits. Une illusion temporaire qui deviendra transparente. Le doute monte en vigueur comme un vague d'incertitude. Je suis juste un rêve rempli d'ombre.

Les maux du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant