Partie 3.2 : Pluie de Maux

0 0 0
                                    

Ciel :
Coucher dans l'eau je regarde les voyageurs se promener. Je suis comme une anémone regardant le ciel devenir gris. Enfermé dans mes pensées j'en oublie qui je suis. Me créant une nouvelle personnalité. Lire c'est comme une noyades plus douce entre des mots. Entre des lignes touchantes mais foudroyantes. On s'y perd souvent et tout peut devenir grabuge. Un voyage que je pourrais créer dans un rêve ou une imagination. Tu apparais comme un rayon de soleil dans cette eau si trouble. Tu illumines se chemin si foncé. Ta lumière réchauffe cet océan mais il n'y a que moi qui puisse l'apercevoir. T'approcher c'est pas possible. Seul moi peut voir cette lumière. Lumière de nos cœurs fait des éclairs. Tout est flou comme si c'était tout illusoire.
Les nuages s'envolent. Quand tu m'embrasses tout s'efface. Pour un instant. Mon cœur s'emballe à me faire devenir rougeâtre. Mes joues surchauffe à ton contact. Ta douceur me perturbe. Je me perds facilement sur ce chemin si fragile. Mon âme s'éloigne de tout pour pouvoir profiter au mieux de ses moments si rare. La noyade devient si douce dans tes bras. Tes paroles deviennent des mélodies. Un chanson que je pourrais écouter pendant des heures. Mes rêves sont si réels. Je continue de rêvasser en silence jusqu'à la prochaine fois. Mes rêves m'envahissent. Cela devient tellement imposant. Je souris car je sais que tu n'es pas loin. Je sais que nos cœurs sont liés. T'embrasser c'est comme rêvé les yeux ouverts. Si inattendu. Si paisible. J'en rêve et je vais continuer d'en rêver toute les nuits. Je suis frêle à tes côtés mais à la fois si puissant. Je n'ai pas de mots. Juste muet à t'observer. Tu es si attentionné. Si doux. Si mignon. Je ne montre rien mais mon cœur lui explose à chaque instant. Mes joues si rosâtre, si voyantes. L'explosion en moi devient des papillons dans le ventre. Une chaleur amène de mes joues.
Puis je me fondre dans tes bras ? Y verser quelques larmes tout en souriant ? Puis je m'étaler contre toi pour sentir ton cœur ? Puis je me faufilé pour sentir ton odeur ? Puis je simplement t'aimer sans envergue ? Puis je simplement te prendre dans mes bras et tout simplement te prendre contre moi ? Peut on simplement se câliner ? Peut on se reprendre une dernière fois dans les bras ? Nous unir une dernière fois ? Une première accolade si maladroite mais tellement apaisante. Pourquoi ai je réagis si maladroitement ? Sûrement le manque d'expérience. La prochaine fois sera meilleure. Une accolade qui durera plus longtemps mais aussi une expérience où on pourra mieux ressentir les choses. Je continuerai de voyager grâce à toi. Tu es mon simple voyage. Mes joues remplies de larmes avec les yeux rouges je te regarde.

Des Pensées :
pensées s'infusent comme le thé se dissipe devant mes yeux. Droit devant l'horizon. Droit derrière l'enfer. Ce qui fait que chaque mouvement est calculé. Dispersé dans l'eau, tes pensées se mélangent. Le labyrinthe se renferme. La sortie n'est plus accessible. Tu creuses tel un calvaire. Tes mains bleus s'écroulent. Tes yeux rouges explosent. Tout s'effondrent. Pris au piège. Tu suffoque. Le sol s'embrase. Les flammèches s'affolent. Les cendres s'intensifient. Pourtant ton corps ne se réchauffe pas. Le froid s'intensifie. Le feu émerge. Aucun ressenti sous cet ordre chaotique.
Mon cœur est un cristal rempli de pureté mais à la fois si fragile, qu'il peut éclater à tout moment. Des éclats de cristaux si coupeux. Peuvent ils te transpercer d'amour ? Je ne vois que ça pour t'envoyer mes sentiments. Transparent face à se mur. La puissance le transperce. Mes doigts passent à travers. Pouvoir te toucher qu'une seule seconde. C'est devenu une simple illusion. J'empoigne mon cœur pour te l'offrir. Translucide mon sang gicle. Je te souris. Tes bras se renferme sur moi. Captivé par ses éclats de cristaux. Mes yeux se posent sur toi. Mon embarras change d'horizon. Tu deviens mon obsession. Finalement mes bras se relâchent sur toi. Pour ensuite te chuchoter je t'aime à l'oreille.
Bizarrement aimer c'est en quelque sorte prendre son envol. Être un oisillon qui deviens un oiseau. Des ailes te poussent dans le dos. À tout moment la chute. La relève est assurée. Cette âme qui te sauve. Puis cette magie dans ses mouvements ne peut pas te permettre d'échouer. En face de lui tu veux être celui qui réussit tout se qu'il entreprend. Souvent le mensonge ensuit la vérité. La divagation est très perplexe. L'harmonie ne fait pas l'amour. L'amour ne fait pas le bonheur. La communication c'est une délivrance. Une fois arrivé tes yeux lâches. Un sanglot suivi de pleure incontrôlable. Les mots te manquent quand les maux inverses te dépassent. Enivrant par tes larmes. Tu te morfonds jusqu'au bout. Ton regard se relève empli de larmes. Une silhouette approche. Tu apprécie sa présence. Tu commence à tendre les bras pour l'attraper. Tu plonges ainsi dans son être. Un câlin est tout s'efface. Puis tu finis par sourire amoureusement à cette personne.

Des Mots 2 :
Il m'a suffit de pas grand chose pour t'aimer. Quelques petites secondes et j'étais sous ton charme. Quelque seconde on suffit pour t'aimer. Mais il m'a fallu plusieurs mois avant de te l'avouer. Cacher derrière mais lâcher une fois avoué réciproquement. Ça va faire une annonce bientôt. Mon amour ne fait que d'augmenter. Or de contrôle. Je me suis laisser envahir. J'ai du mal à me contrôler. J'ai du mal à faire les chose à moitié. Je fais toujours les choses trop. Beaucoup trop. J'ai du mal à me contenir. Ça explose en moi. Mon cœur s'emballe dès que je te parle. Je souris comme un abruti devant mon téléphone. Puis ma jalousie devient énervant. Elle me ronge. Me bouffe mais rien d'anormal. Je lui mets des barrières. Derrière une prison infranchissable. Même si dès fois ça déborde. Mais ça reste dans le contrôlable des choses.
Dès fois il me suffit de pas grand-chose pour t'aimer. Un mot et je peux m'emballer. Une caresse et tout par en vrille. Dès fois je peux imaginer les pires scénario dans ma tête et me mettre à chialer. D'autres fois je vais imaginer les meilleurs scénarios et sans m'en rendre compte je souris comme un abruti avec les joues rougeâtres. D'autres fois mes joues seront remplies de ruisseau de larmes de joie comme de peine. Mon cœur se réchauffe à chaque instant ou tu me parles.

La peur :
La peur est un sarcasme angélique remplis de défauts souvent semé d'embûches. Réincarné par des émotions effroyables. Tout dégénére en face de tes yeux abasourdis. Relecture de sacrifices. D'envoûtement assombri. Pour ensuite enivrer ton cœur de noirceur. Méfiance paradisiaque. Tout ça pour éviter à ton cœur de devenir pierre. Paranoïa féérique. Enchanté par tes démons. Ruisselant tes maux sur mon corps. Un torant senjaille dans mon être. Enflammé par le désespoir. Le désert s'abat de nouveau. Tout comme si cela été un mirage et fini par s'envoler.

Des Mots 3 :
Je suis amoureux de toi mon cœur à toujours ses palpitations du début et mon sourire est la toujours là, quand tu me parles, quand j'entends ta voix c'est une tempête de papillons dans ma ventre, quand je regarde ta bouille des frissons s'empare de mon être. Puis mon amour envers toi m'envahit pour pouvoir te transpercé. J'aimerais pouvoir te le dire. Rien ne sort. Je reste muet face à toi. C'est comme si mon esprit était ailleurs. Je pourrais t'envelopper de tout mon amour. Ça serais comme si je t'enlasserais d'un spectre chaleureux. Bouillant tel est mon amour pour toi. J'espère que tu arriveras à sentir cette chaleur t'envahir en écoutant mon amour envers toi. Tout se que je peux dire c'est que toi tu me fais voyager dans cette chaleur. Je me sens si prêt de ton cœur mais en même temps je me sens si loin de lui. Une muraille transparente qui m'empêche d'y accéder et de pouvoir le serrer de mon amour. J'en serais le gardien comme tu es le gardien de mon cœur. Je t'aime réellement et j'en suis heureux.
Mon cœur est une bombe. À tout moment il peut exploser. C'est un détonateur. Tu appuies dessus à tout moment tout peut se finir en un instant. Un cœur fragilisé par des fissures. Une brisure de plus et tout peut exploser. Tout peut servir de détonateur. Un mot. Un regard. Un espoir perdu. Tout s'envole. S'évapore comme les fleurs en hiver. S'évader par des failles microscopiques. Tel un tourbillon flamboyant. Tourmenté par le vent glacial. La brése s'éteint sous la pluie de tes yeux. Remplis d'amertume. Le regret s'échappe de tes lèvres. Le cœur est la mais l'esprit ailleurs. Une pensée sur la détonation. Tout s'écroule. Le sourire que tu affiches en public n'est qu'un masque. Fissuré en face de moi. Tes yeux me parles. Ils me crient. Je t'enveloppe de mes bras. Tout en nous éloignant de nos détonations.

Les maux du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant