Film :
Montre moi un paysage que je ne connais pas et que toi seul puisse me montrer. Fais moi découvrir le plaisir qu'on peut avoir ensemble. Laisse toi aller. Aux rythmes de la mélodie. Qu'entreprend mes vas et viens. Je découvre ton corps par mes baisers. Que la brése enflamme. D'une douceur intense. Mes lèvres s'échauffent. Sur ta peau vierge. Qui brûle d'envie. Le désir nous prends. Se présentant comme l'amour. La pièce s'éclaire d'un rouge vif. Allongé dans un lit silencieux. L'un sur l'autre. Chevauchant ma verge vierge. Mon corps tailladé. Tes ongles s'enfonçant dans ma chair. Déjà marqué. Des traces violettes à mon cou. Des morsures apparentes sur ton corps. Entremêlés de passions. Nos jouissement se mélangeant à la musique partiel. S'entrelacent de sentiments.
La poésie en moi. En total ébullition. Se laisse poser. En engendrant l'amour et toutes autres connotations. Embrassé par tes mots. Mon esprit devient créatif. Embrasée par les chaleurs. Mes écrits sont sensuels. Échafauder un plan. Y faire passer des signes. Sans cesses. Recevoir des pierres en échange. Un cœur frêle. Qui a besoin d'amour. L'affection part de tes doigts. Remontant sur mon cœur. L'amour est tabou quand le sexe domine. Entre nos lèvres ne sort que des sujets palpitants. Sensible à tes tentations. La tension monte. Tes baisers augmentent ma libido. Mes actes n'ont rien d'anodin. Remplis de sagesse. Tes doigts cramponnant le matelas. Le plaisir est intense. Substitut de jouissance. Laissons nous aller le temps d'un instant. Qu'on puisse le gravé en nous.
Dérisoire. Mes cahiers se remplissent. Des mots se posent. Formant l'obsession. Mes maux sont doux. Quant aux tiens sont douloureux. Cramponnant le tissu. Brisons les substituts de nos mots. Les couleurs s'affolent. Effiloché par nos sourires. Démonter de nos plaisir. Nos plaies s'égarent. Illusion féérique. Pharaonique. Distantielle entre temps. Nos battements ne font qu'un. Quant à nos lèvres s'unissent. Le lit craque sous chaque gestes. Innocent et pervers à la fois. Quel chemin prendre. Introverti. Le tissu s'emmêle dans tes doigts. Formelle. Tes yeux brillent. Ta bouche tremble. L'orgasme est proche. Mes crocs dans ta chaire. Doucement mes vas et viens. Ainsi viens brutalement tes gémissements. Ton plaisir sous mes gestes. Je continue jusqu'à l'épuisement. Nos étreintes se resserrent. Nous nous endormons.Illusion :
Simple garçon je suis. Je me balade tranquille. L'ambiance est douce. Mes pas sont légers. J'ai l'impression de m'envoler sous tes mots. Tes paroles traversent mon esprit. Mes yeux rivés sur toi. J'allume avec enthousiasme ma cigarette. Je l'écrase entre mes lèvres. Tu t'approches. Tu l'embrasses. Pour l'éteindre. Nos lèvres sont proches. Mon souffle sur ta nuque. Je m'éloigne. Tu te lèves. On se rejoint. Je te cherche du regard. Ils se croisent ainsi. Le sourires coquin a la bouche. Clope au bec. J'enchaîne les verres. Tu défonces. Le temps que je me chauffe. Verre à la mains. Je le bois cul sec. Tu poses tes yeux sur moi. Je te fais signe. J'accumule les verres. Je suis plein. On se vide ensemble. Sur un divan. Dansons. L'amour.
Hallucination. J'en deviens parano. Mon amour est désiré. Il devient parfois difficile et dérisoire. Compliqué de le maintenir en cage. Il s'échappe. Claquant la première personne qui s'abat sur moi. Trace ta route il t'évitera. Soit indulgent. Tu risques d'être envoûté. Compilation. Embuscade. Frénésie archange. Dévoile moi tes intentions. Le temps d'une danse. Je déploierais mes craintes. Fugace mon cœur s'emballe. J'aperçois la contrainte. Les barreaux romps sous l'emprise. Tout s'échappe. Les enchaînements de pas s'interrompent. L'intensité augmente. Je clôture d'un baisé. Les battements de nos cœurs encombrent la mélodie. Musicalement. Parlant j'entrevois tes pensées. Je te laisse entreprendre le contraire. Seuls mots calmant mon amour. Je t'aime. Si simplet mais si complex à la fois.
Élégance. Plaidoirie. Tout est délicat. Entre-deux. L'essentiel délinquant. J'encadre son bonheur. Devenu plume. Bel être devenu robuste. L'acteur entre en scène. Une fois le pied destale installé. Le masque tombe. La mascarade fini. Je laisse voir mon vrai visage. Impossible de me poser. L'indésirable indécis contre l'irrésistible intelligence. Tout est faux. Entre nous. J'y arrive pas. Je ne suis qu'un lache. Je ne sais pas affronter les choses. Je suis juste affolé. Je ne peux pas une seconde fois. Problématique. Je devient professionnel. Prochaine étape j'esquive maladroitement. Le dessin se dégage. J'écris mes délires. Sur papiers cartonnés. J'ai cris mes émois dans le vide. Tu réalises que tout est vrai. Tout porte à croire qu'on s'aime. Je m'en souviens. Une pluie de larme. Un sourire. S'effiloché d'amour.Attente :
Je t'attends sans réellement t'attendre. Je t'aime sans vraiment t'aimer. Puis je dire que je suis amoureux ? Je ne sais pas je me demande bien ce que cela pourrais être. Trop de sentiments mélangés. Mon cœur encombré. Explose. Je m'imagine souvent toi et moi sous un couché de soleil. L'entrebâillement des volets. Me laisse m'exprimer. Interrompu par ton sourire. J'en perds mes sandales. Les sanglots s'effilochent. Le temps presse. Nos battements corrompus. Des éclaircies apparaissent dehors. Tu as toute mon attention sous cette tempête. L'orage en moi s'efface peu à peu. Mes peurs se déclenchent. Développer. L'incontournable je reste effrayé. Effrénés par mes pulsions. Je me demande pourquoi je n'arrive pas à t'avouer se qui me tracasse. Habillement je souris. Laisse moi te dévoiler mon cœur. Saccager d'enthousiasme. Je succombe à toi.
L'orage s'abat devant moi. Des grognements résonnent. La terre tremble. Rare. Une colère de rage. S'effondre tendrement. Tendis que j'écris mes peurs. Pour te rappeler que j'ai besoin de ta main. En soutiens. Sois mon pilier. J'engagerai l'amour. Je fuis bruyamment mes sentiments. Mes pas grognent. Je regarde autour de moi. Je te croise. Je souris. Rassurer. Je continue de me balader. J'ai envie de te prendre contre moi. Assure moi de ne pas m'abandonner. Pas en milieu de route. Je suis trop froussards pour avancer seul. Témoin d'abandon. Je me retiens de pleurer. Mais à l'intérieur c'est une explosion de frayeur. Je me calme seulement en ta présence. Je clasme au moindre choc. Je suis peut-être impur. J'ai juste énormément d'amour. A donné. Le problème le monde n'est pas prêt de recevoir un nuage d'amour. Il est affecté par l'égoïsme. Masqué d'amertume.
Mes pensées reflètent mon âme affectée. Mes écrits représentent mes pensées. Infecté. Le virus de l'amour prend de l'ampleur. Mon corps s'effectue. Mon cœur bat avec passion. J'englouti chacun de tes mots. Comme une résonance dans ma tête. Une mélodie incomplète. Entre dans mes tympans. Mes mots sont le complément de tes paroles. Transpercé de douceur mélancolique. Panaché mélangé. J'éprouve inconsciemment le raisonnement de mes sentiments. Entre juin et septembre je ne dévoile rien. De septembre à juin j'avoue t'aimer. Secrètement amoureux. Je ne fais que de rougir. Silencieusement j'écris. Un amour iconique. Intimement lié. Je ne peux m'empêcher de t'aimer. Activement je cherche le moyens de te le cacher. Sérieusement je te le cris. Amèrement ma jalousie me bouffe. Contraignant les mélodies se brusque. À la porte de l'orchestre. La musique de nos confrères si joue. Mélangeant nos attirances à nos interrogations.Babioles :
L'amour apparaît souvent d'un rien. Les sentiments viennent sans connaître la personne. Souvent de fois on est là subitement. Submergé par des émotions. Envahi par des sentiments incontrôlables. L'abandon creuse. Prends pied petit à petit. Les traumas reviennent. Je baisse les yeux pour cacher mes larmes. Mon visage rougeâtre dissipé sous mes cheveux. Je laisse mon cœur choisir. Sur qui il va battre amoureusement. L'attachement se démène dans mon être. L'attache se lie tout en niant les barrières.
L'abandon amoureux. Creuse sont chemin jusqu'à mon cœur. En le pétrifiant. Meurtri. Les peurs sont présentes. Beaucoup trop nombreuses. Incomprises. Mise en partie. Particulièrement terrible. Vivre avec sans en parler. Personne y prête attention. Quitte à rajouter d'autres angoisses. On y joue avec. On en rigole. Alors que rien n'est drôle. Tout est pris à la légère. Tu en souffres silencieusement. Une main se tend face à toi. Mais ta peur de la prendre. Effrayé et effréné par ce qui pourrais suivre. Barricader son cœur sans le laisser respirer. À cause de peur trop forte.
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Les maux du cœur
PoetryRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...