L'amour :
N'empêche comment l'amour peut changer deux personnes. C'est juste tellement beau. Deux personnes qui ne croyais plus en la vie qui ne voyais que la mort et rien d'autre. Deux personnes aggresives. Deux personnes totalement renfermé voulant absolument s'écarter du monde humain. L'amour nous a changé mon copain et moi. L'amour nous a rendu doux, émerveillé, heureux, épanoui, gentil, calme, attentionné. Même si on change pas totalement vu que souvent nos mauvaise manis reprennent le dessus mais maintenant on a quelqu'un sur qui compté entièrement qui peut nous comprendre entièrement. Maintenant nous ne sommes plus seul. Mais nous somme deux. Et nous formons plus qu'un. Le destin nous a fait se croiser car nous deux on été juste les âme soeur de l'autre. Au bout du compte l'amour nous a rendu plus forts. Mais surtout l'amour à fait de nous les personnes heureuses qu'on est devenu aujourd'hui. Juste une choses c'est que c'est pas prêt de se finir. Mon coeur a un lien avec le tiens. Ou même à distance j'arrive à ressentir toutes tes émotions à n'importe qu'elle moment et surtout j'arrive à te lire comme si tu étais un livre. Malgré la distance je vois tes émotions comme si tu était en face de moi. Comme si je pouvais les touché du bout des doigts. Mon coeur à décidé que c'était toi. Toi qui devait être mon âme soeur. L'amour c'est quelque chose de délicat comme de maléfiques. L'amour ça uni deux êtres. L'amour ça rends doux. L'amour c'est apaisant. L'amour c'est unique. L'amour nous a choisi pour qu'on s'unisse. L'amour nous a rendu fou amoureux de l'un et l'autre. Nous faisant se rapprocher pour finir par ne former qu'un spectres lumineux. L'amour nous donne la force.
Grâce à l'amour je me sens aimé, je sens de la confiance, nan ce n'est pas grâce à l'amour tout se que je ressens c'est grâce à mon copain. Mon copain un petit gars merveilleux, un petit gars qui ma montré se que ça fait d'être aimé. Ce petit gars qui a su me montrer ce que ça fais de se sentir bien. Il a su me donner se que j'ai toujours eu besoin, me montrer le chemin du bonheur et à su m'éloigner du chemin ténébreux. Maintenant je m'en suis éloigné mais la ficelle est si fragile. Mais je sais que maintenant j'ai quelqu'un qui sera me relever, qui sera m'aider à aller mieux. J'ai un copain qui me donne la force de vivre, cette force qui est si puissante qu'elle n'est indescriptible.Fragments 13 :
J'aimerais être plus qu'un être humain. J'aimerais tellement être plus que ça. Mais la vie n'est pas si simple on ne décide de rien. Je ne décide plus rien. Comme manipulé. Une peur peut devenir hyper dangereuse une fois qu'elle te contrôle. Sans contrôle elle te bouffe. Je suis sous extase mais une extase plutôt différente de celle qu'on connaît. Celle qui fait peur. Celle qui te bouffe de l'intérieur. Celle qui t'oblige à te renfermé pour resté qu'un simple petit cube.
Donnez moi une lame de rasoir je vous verserai mon sang. Donnez moi du sang je finirai par le renverser. Je suis au bout mais je ne vois pas de fin. Pourquoi je ne vois pas cette fin ? Peut-être que je ne suis pas au bout. Mais que faire si mon chemin n'a pas de suite. Vu qu'elle c'est effondrée. Il ne reste que des miettes parsemées de mélancolie. Détruite au moindre faux pas. Oú vais-je ? Je m'éloigne du chemin que je connais habituellement. Distrait par cette fin je m'aventure sur se chemin vaste et étroit. Je m'étouffe. Mon sang continue de couler sans que je ne puisse faire quelque chose. Une main se tent vers moi, mais je ne la saisis pas je n'y arrive pas. Je la sens comme si elle pénétrait mon âme. Je la laisse faire. Je sens mon cœur palpiter. Je vois mes plaies se refermer. Je me demande ce qui se passe. Je comprends qu'au final c'est cette mystérieuse main. Cette main lumineuse qui me montre le chemin à suivre. Chemin lumineux parsemé de vertus. Cette main sauveuse qui me permet de jour en jour de tomber amoureux de lui.
Je comprends ensuite que cette main m'a sauvé d'entre les morts. Moi, zombie, survivant, retrouve un chemin normal vers un vaste monde inconnu. J'ai l'impression d'être inconscient. De me dire que cette gaieté de ce monde n'est que mirage. J'aperçois que ce n'est pas un miracle mais bel et bien la vérité. Je peux me sentir vivant grâce à cette personne. Lame de rasoir dissipée. Je dissimule mes malheurs dans un couloir. J'accumule mais je laisse sortir. Cet amour me soulève. Mais au moindre faux pas je retombe. Aide moi. Guide moi. Aime moi.Fragments 14 :
Mes pensées divergent. Mes mots deviennent muets. Je transforme tous mes maux en amas de poussière. Un étant s'écoule comme une heure. Je me vois m'embaumé sur le sable noir. Je me couche. Je plonge dans un profond sommeil. Je me rends compte que rien n'est vrai et tout est un rêve. Révélation je m'embrume. La fumée apparaît sur mes mains. Mes doigts disparaissent sous son effet. Il ne reste plus que les os. La chaire devient transparente et envahissante. Je m'en sépare. Je deviens spectre.
Délibérément je fonds en larmes. Je me nettoie de ce fardeau. Tout d'un coup tout revient. Et cela recommence. Je perçois la tristesse et la colère du monde. Ça appelle à l'aide. Je ne peux rien faire de mes mains d'os. J'écris les maux de tout le monde. Mais impossible de les crier. Comme muet. Cette fois ci, c'est la bonne. Je retente ma chance, mais impossible de crier. La bouche en sang, les mains faites de cires. Sacrifiant mes ongles pour devenir la flamme. Lumière éclatante mais très peu lumineuse.
Ombrages obscures. Chemin noir. Je m'éclaire avec les flammes de mes doigts. Essayant d'éclaircir le passage. Rien y fait je continue de ramper sur les genoux pour éviter d'éteindre les flammèches si fragiles. Fragments de lumière. La voix sort enfin. Seulement le song n'est pas assez élevé. Juste le temps d'apaiser les flammes. S'éparpille de partout. L'endroit prend feu. Je me glisse dans ce dernier. Sans douleur. Je dors. Je m'éveille. Je sens une fois de plus un pincement. Je m'éloigne. Ça se rapproche. Je ne peux rien y faire. Mes cris sont si faibles comparé à mes écrits. Alors j'écris en écrasant mes maux. Feuille blanche se remplit de ratures. Puis deviens entièrement noir. Un torchon avec plein de grabuge. Peut on y voir mon hésitation ? Mes émotions sont elles si troublantes ? Peut-être bien.
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Les maux du cœur
PoesíaRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...