Vide :
J'ai tellement peur. Vivre est si effrayant. La mort m'attire. Sans tristesse j'épargne mon envie. J'envie tellement de chose. Je ne devrais pas. J'en risque mes peines. En les clouant. Face à moi j'en sombre. Je déglingue mes armes. Sans marnes. Les larmes à feu. Mon sang se glace sous l'archipel. L'architecture m'exaspère. Encore une fois de plus sous dopamine. Sans xanax ni seropamine. Pour que ce cauchemar dur sans cesse. Dégradation de mes pensées. Tourmenté ma santé. Tout s'incline. Une total rechute dans le précipice de la dépression. J'ai peur de moi-même. J'ai peur de se que je peux renfermé en moi. Je sais que ce n'est point docile. Je me murs dans le silence sous les murmures de mes démons. Demoiselles, messieurs, faites attention je ne suis plus moi. Je ne me sens étrange soudainement. Étranger sous l'horizon. Un cauchemar sans fin. Fuis le loin. Aussi loins que tu pourras. Écrase le avec temps de bonté. Tendre sont mes nuits. Perturbé par le moindre bruit. Je me secous. Me recroqueville sur moi. Me faire petit sans rien affronter. Gonflé d'angoisse. Je ne rajoute que stupeur. D'aiguilles en échelons je vagabonde dans ton cœur. Quand tu éclipses mes pensées. Jumelé d'écailles. Lumière brune sous un feu ébahis. Écouler de flamme étoilée. D'un sourire écarlate. Tout devient fou. Je ne cherche rien. Juste à écrouler mes plumes. De rose épineuse. Suspection d'amour paresseux. Reinfusion d'oxygène. Dioxyde de carbone en clair voyance. J'élargie mes enjeux. J'enfile mon horloge. Tris d'argile incohérence diverge. De la poudre en extase pour me déplaire. Tu en tires rigueur prétentieux. Ton conquit mon âme en la détruisant minutieusement. Le sol me paraît si loin quand tu enclenche le rituel. T'en dévore mon cœur tout au long de vie. À bouffé mes entrailles sinistrement. D'obus macabres. Tu m'en lance pour m'égosiller la tronche. D'un pas de dance tout s'illumine mais aucun song. Une utopie sous les yeux plutôt idyllique.
Je ne suis qu'un péché. Détruit par autrui. De couleur d'or. Sans bravoure d'avance. J'écris sans fin. Avec absinthe sous un arbre. Je suis absent de mes pensées. En évasion j'eccule mes peines. J'essaye juste d'être moi. Un divan sans visage. Vivant dans les environs. Esprit paranoïaque défendu par le marbre. Écorché d'amour. En dérision dans l'espace temps. Je navigues sur vos larmes. En vague mes pleures. Mes pagaies s'égarent. Perdu entre vague et marée. Je vous enchante de mots. Sans intérêt. De compliment d'amitié. Je laisse libre cours au vide. Non seulement l'écart s'écaille. En pluie de bouteille je bouillonne. J'allume un écran. Le marathon commence. Assailli de bleu je pêche mes maux. Doux été tes coups. Dur ont été tes mûres. Murmures à moi-même des rediffusions. Moux ont été tes pouls. J'encaisse d'un regard fascinant. Je me dis que cela n'est pas la réalité. Juste une dérision. Alternative à ce qui pourrait m'arriver. D'autres coups m'attendent. Je ferme une nouvelle fois mes yeux. Enflé par les rejets. Je ne renais pas. Je renie tout se qu'il m'a fait. J'ignore même les dégâts causés. Il ne reste que des traumatismes pourtant. Essoufflé d'erreur. Mes paupières s'abaissent. S'abattent délicatement tes mains. Sur mon corps frêle. Frénésie historique. Cela t'amuse en amplifiant tes pulsions. Laissé des traces sur ma peau si fragile. Je me retrouve avec les yeux vitreux. Une éponge qui vagabonde. Rempli d'ecchymose j'essaie de les cacher avec mon pull ébréché. Ébranlé d'incertitude. Embrayer d'échos. Je choppe mes fringues. Sans me réfugier. Je refuse toute aide. Restant dans l'agonie. Tu me manipules de ton poison ingrat. J'en savoure les circonstances. Des séquelles marquantes d'un trait rouge. Tu baignes dans ta souffrance. Tendis que tu me noies de tes roucelles. La monotone de ta voix rassurante. Des promesses en l'air. Tu le refais chaque nuit. Me roué de sarcasmes encore. Enchante moi de tes clous. En claque les pessimistes. Je subis ta rancœur. Aucun sons de vengeance sort de moi. Des je t'aime à tout va. Pour chaque balade forte. Je ne suis qu'un péché que tu démolis chaque jours.
Un papier froissé. Emplis d'ecchymose. Jeter l'air de rien. Je frissonne d'élégance. Dédouanement de ton intérêt. Tu mens à tout va. L'arbitre de tes flingues. Que tu plantes en moi. De tes morsures tu y déposes ta toxine. Tu t'éclates à démolir mon système immunitaire. Si fragile tu en joues. Déjouant mes faiblesses. Tu ricanes des plaies que tu me laisses. Terrassé de sortir. Je me réfugie dans un coin. Silencieux. Je regarde toute tes coups. En me recousant. Dans des pleures monstrueux. Des échos de mélodie dans son sens. Charbonne en boucle dans mon crâne. De ma tête évanouie. Je convulse mes peurs. De penser mes craintes. Brutalement sous l'effroyable. Bord de mer j'agonise. Déclare moi mort rien est important. Je titube dans les bois. Plumé d'emblée. J'espère vivre encore. Sans peine de coup. Basculez d'un palier à un monde. De tes messes basses. À tes coups bas. Tu m'abats avec ton couteau si visieux. D'un regard amoureux. Je prends gare à tes nons dits. Je méfie dans le réconfort. Je pris garde. À l'instant où tu poses tes yeux sur ma peaux bleutées. Étourdi de mots. Mes paroles deviennes acryliques. Un emblème poignant sans roi. Jadis mes ecclésiastiques. D'un pull noir je me couche. Sous un plis le chaos. D'un chantier brumeux. Le cœur en applomd. Sous un plomb tordu. Le ciel se réincarne. D'un sourire honteux. Quand le doute s'y installe. Un tremblement sous un tremplin. Une ambition courte. D'un amour pâle. Mes yeux se reflètent d'étoiles tendi que les tiens se noircissent.Éclats :
Je suis noyé par ses larmes. De cet amour incomplet. Incertain j'ai coulé dedans. Se fossé régresse face à moi. Mon cœur s'enclume. Une infection me prend part. J'en cris impuissant. Des écrits rhétoriques. J'aimerais tout te dire. Seulement les mots se bloquent. De mes entrailles enfantines. Ses mots se brusques. Enlace mes souvenirs. Menace de sourire. Sans me soucier de l'espace temps. Embrumé d'éponge. Je pense à toi encore une fois. Pourtant ta voix me berce. D'élégance sans tromperie. Trouvaille d'écart. D'étoiles plein les yeux. Les illusions se sont faites. Avoué un ressenti sans migraine. Des couplets sans rimes. Des vers accrus. D'où la sensibilité d'éclat. Brumeux de mes tremblements. Arrosé décliné. L'obscurité l'avale. Un jour je te le dirais. Quand je trouverais se que cela signifie. En attendant faisons un tour de manège. Fait moi encore rêvé de ton ignorance. Dans tes bras c'est le chaos escompté. J'ai des cicatrices invisibles. Que tu n'en vois pas mes traumas. Je t'envoie pourtant mes pensées. Dans la peur et l'angoisse j'en panique. Alors je laisse mes feuilles se submergeaient d'encre noir. Sublimé par mes sentiments. Délicatement la pieuvre découle. La plume s'égare. Dégage d'opium. Le troubadour que je suis. Ne deviens qu'un simple voyageur. Dégringole par mes erreurs. Sous des pulsions amoureuses j'emprunte un chemin blanc. Sous les ténébreuses lumières. De bougies en échelons. Puissant déclencheur. Décalage en soirée. Décompose mes clous. De mes crises. La souplesse du vent m'emporte. Une bohème de plus à en faire rimer les autres.
La souplesse de mes mots résonnent. Quant à la souffrance de mes sentiments s'égarent. Dans peu de temps je me serais entièrement noyer dedans. Déglutit de mes écrans. Je crains mes envies de te le dire. Sous le poids l'obtention des écris. Je cris à tour vas mes clopes. Dans la main pulvérisée de sang. Matraqué sur les murs. Des murmures acoustiques. Sonnes dans mes oreilles. Par des sifflements de mélodies. Je me rappelle de ta douce voix. La mélancolie m'affole. De l'express vocalise. Durcis les mélopées entreposées. De clef de sol continuant pas des si. La suite de do re mi fa sol la si do. La comptine s'élance à mon égard. Sous paroles décisives. D'esquise d'Ambroise. La clôture flotte. D'amour fleuri de syllabes en syllabes. Toute folie engrange l'éclat étincelant. D'un sourire perpétuel. La lune brillait nos claquement. La brise soulève nos battements de cœur. Écarlate de plus. D'un soleil lointain plumeux. Je creuse mes plaies. D'un côté pimenté regorge d'élégance. J'ai commis tellement de crimes dans ma vie. Que mon médiateur fais de l'escrime. Balayant mes balafres. Mes erreurs en terme d'ecchymose. Un échec d'éclair. En permanence dans le tambour. Sous un tableau ensablé je ne veux que t'embrasser. Dans le sable d'or brûlant. La paresse s'invite. J'investis mes élans. Grisaille dans broutilles. Empli de brouillard. Remplis de gaillards faible. La pluie coule sur mes joues rougeâtre. Tendis que tu créés des fossettes sur mon visage. Dans un village tu m'y transporte. J'embarque la balle de vague. Sous l'aîné de l'écrivain. Persuadé par les manières. En bannière de la marge. Une marguerite tatouer. En guise d'amour.
Les souvenirs entrent. Quand l'attiraille se pend. La bataille s'écoule. Dans l'avenir les écailles s'élancent. Je m'écailles de pleures. Sans manquement la balle atterri. En plein fouet tu vises mon cœur. Le soucis c'est que je remplis de noir. Sans t'ensoucier tu t'incarnes. Comme si tu t'éloignais. C'étais le cas la distance c'est installé. Mon sourire c'est effacé. Se réincarnant en larme. Maraude sont mes pleures. L'enclume lançais de peur. Un génocide s'abat. Sous la tutelle de mes bas. J'encaisse encore une fois ton manque. Initiant mon mal-être. Connais tu l'abandon que tu semes en moi. Celui qui c'est creusé une virgule. En conclusion d'un point. Le sanctuaire saccagé. M'accable d'illusions. L'amour donner ne se vend pas. Ainsi va le far west. De mes yeux s'égoutter des séries de tsunami. Je ne donne plus. Le peu qui le reste. Sanction de vie. Mélodieusement sous les mémos. La mémoire déraille. Souscrit la mélatonine de mon corps. La mélancolie s'effraie un chemin. Avec la sérotonine qui tourne. Rien ne va. Perpétuellement j'égale mes sentiments. D'ouvriers à patron. Aucun contrôle. Je suis perplexe. D'explorer tes atouts. Exploiter nos mains. Sers moi à m'en faire exploser de rire. Sans me laisser. Je me suis noyé sous les regards indécis. Pointant mes dires d'un fait. J'en conjure intimement. De t'aimer sous l'averse. De te hair sans paraître. J'écoute tout les battements qui bourdonnent. J'aimerais crier abondamment se que je ressens. Mais rien ne cesse de sortir. Tout restes prisonnier. Dis moi que je ne suis pas fou. J'en deviens pourtant paro. Laisse moi dessiner tes traits sous l'esquisse de mes crayons. Encore une bohémienne sous le poème. Que je captive. Par mes plaies ingrates. Je défile mes cheveux le temps que tu enfiles tes bas.
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Les maux du cœur
PoetryRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...